Nouveautés.

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- Ça serait si facile si c'était seulement « sa », je dis pensive.
J'avoue être étonnée qu'il m'en parle mais je ne ferais aucune remarque, chez ses hommes en parler c'est parce qu'ils ont une confiance aveugle en nous, en moi en l'occurrence.

Il soupire comme s'il avait retenu sa respiration des heures.
- Tu as avancé sur son anniversaire ?
- J'ai trouvée quelques trucs oui mais bon il fouille tout ce que je fais il vas falloir que je donne mes consignes et que quelqu'un fasse sa pour moi, il faut que tu me trouve sa, tiens tout est écrit sur ce papier.

Il glisse directement le papier dans sa veste de costume.
-Allez viens on vas manger et boire, ça soigne tout les maux, dit Dom'.
Je lève les yeux aux ciels, encore de la nourriture...
Nous traversons la cours, discutant de ce que je veux et ne veux pas pour l'anniversaire de Massimo.
- Bonjour tout le monde, je finis par dire.
- Bonjour madame, répondent t'ils.
Massimo ne dit rien, il continue de parler avec l'un de ses ami.
Ça me pique en plein cœur, je ne sais pas si je dois rester ou partir ou hurler ou ne rien dire.
- Installe toi Valentina, dit Mario.
Je pince les lèvres, je cherche une sortie de secours pour moi là mais rien ne me viens. Fais chier. Je me sers un verre de jus d'orange histoire de faire semblant d'être occupé, je ne peux rien avaler tellement j'ai l'impression que des aiguilles ce trouve dans ma gorge. Aucun regard de mon mari, ni de gestes tendres. Je fini par en avoir marre et je quitte la table.
- Veuillez m'excusez je vais aller me préparer, je sourit faussement aux hommes.
Il font des signes de têtes en signe d'approbation. Je ne regarde plus Massimo beaucoup trop préoccupé à savoir ce qu'il ce passe dans sa tête.
Je me déshabille et ouvre l'eau chaude sur mon corps frêle. Je me lave les cheveux espérant calmer toute ma tension mais rien et ce n'est pas près de s'arranger quand il entre dans la salle de bain, se déshabillant à son tour. Je tente de ne pas regarder et de rincer mes cheveux, il entre sous la douche et se place lui sous le deuxième jets d'eau.
- Est ce que tu m'aimes encore ?
Les mots sortent seuls de ma bouche , je ne l'es ai pas retenus.
Il me regarde choqué que je puisse poser cette question.
-Je suis fou de toi à en crever Valentina, comment tu peux poser cette question de merde ?
Sa voix est tendue, il perd patience.
- Parce que tu ne m'a pas dit bonjour en arrivant, que je n'ai aucune nouvelle de toi depuis notre dispute, tu n'a aucun gestes tendres ni aucune parole d'amour envers moi.
- Et toi Valentina ?
- Quoi moi ?
- Aime moi comme moi je t'aime déjà pour commencer.
- Mais tu te fou de moi ? Ça crève les yeux que je t'aime Massimo !
- Alors avance et fais ton deuil, j'aimerais qu'on puisse parler librement de la mort de notre bébé sans que tu te braque, je veux des enfants avec toi, des tas d'enfants.
Je baisse les yeux, ne sachant pas quoi dire à part hocher la tête.
-Je vois pas notre avenir séparément mais...
- Oui je te laisse le temps qu'il te faut je l'ai bien compris.
-Soit pas fâché...
- Je le suis pas, je suis juste vraiment en colère contre moi même d'avoir laissé ses femmes dans nos vies, j'ai l'impression d'avoir loupé des choses et maintenant on en est là.
Les images me reviennent...
- Ton fils, comment il vas ?
- Mon fils est beaucoup plus malin que moi.
Il prend son gel douche et se savonne, je n'en loupe pas une miette.
- Est ce que tu as remis en question notre relation ses temps ?
- Non jamais de la vie.
Il se tourne vers moi les yeux yeux torturés.
- Pourquoi toi si ?
- Non certainement pas.
Je m'approche de lui et le savonne.

Nous sommes dans la bibliothèque, moi je lis de mon côté pendant que Massimo s'occupe de papiers importants.

-Qu'Est ce que tu penses du prénom « Milo » pour un garçon ? Je lui demande naïvement.
Il me regarde par dessus ses papiers, il lève un sourcil.
- Milo ? J'aime bien oui.
Je hoche la tête faisant mine de lire à nouveau.
- Et pour une fille ? Dit il.
-Je ne sais pas trop... Jaime bien le prénom « Lio » mais j'ai peur que sa fasse bizarre.
- J'aime bien aussi, dit il pensif.
Je pose mon livre pour le rejoindre à son bureau, je déboutonne ma robe chemise laissant apparaître ma poitrine sans sous vêtements dessous.
-Viens ici toi, dit il affamé.
Je me mord les lèvres. Je passe à califourchon sur lui, je l'embrasse prenant son visage dans mes mains, je prend son visage pour l'amener à mes tétons déjà durs de plaisirs, il en prend un dans sa bouche et le lèche, le suce, le mord en gémissant.
-Putain oui... je souffle.
Il attrape l'une de mes fesses dans ses mains et je me cambre encore plus, il suce mon autre téton en même temps.
- Je veux que tu m'encules mon ange...
Ma voix est à peine audible mais un grognement puissant sort de sa gorge.
-Tes désirs sont des ordres.
Je me lève et fais glisser mon string par terre, lui se déboutonne et fais glisser son chino aussi, il lui reste que sa chemise.
-Allonge toi sur le bureau sur le dos.
Je ne me fais pas prier.
Il se rassied sur son fauteuil, comme si il était à table près à manger son repas.
-Écarte les jambes mon amour je veux voir ce qui m'appartient.
J'écarte les cuisses lui offrant toute mon intimité déjà bien humide, ses yeux brilles de malice.
Il s'approche et me lèche chaque centimètres, suçant mon clitoris au passage. J'attrape ses cheveux et je frotte ma chatte sur son visage, il m'agrippe les fesses et enfonce sa langue dans mon trou me baisant avec sa langue, je crie de plaisir.
-Tes tellement bonne bébé putain...
Il penche mes jambes en arrière puis il crache sur mon anus, enfonçant sa langue là aussi, j'ai l'impression d'être au paradis.
Il fais glisser son érection entre mes lèvres mouillées, je pourrais jouir rien qu'en le regardant faire. Il s'enfonce dans ma chatte, il me pénètre tendrement avec des vas être viens puis il s'enfonce dans mon cul, ma bouche forme un « o » de plaisir ma tête pars en arrière tellement je prend mon pied.
- Tu as mal ? Demande t'il.
- Oh non, seigneur non.
Avoir dit sa c'est comme invité le diable à entrer chez sois, il me pilonne le cul sans merci.
Son pouce jouant avec mon clitoris et là je perd pied et je joui de tout mon être. Lui ne tarde pas et ejacule a l'intérieur de moi, il m'attrape par les cheveux pour  l'embrasser férocement.
- Jaime autant ton cul que ta petite chatte maintenant.
Il s'enlève de moi puis remet sa bouche sur ma chatte,je retiens un cri,il active sa langue sur mon clito me faisant jouir à nouveau quand ses doigts entre dans mes fesses. Il remonte en embrassant ma peau partout, suçant mes seins au passage.
- Je t'aime, je dis en cherchant ma respiration.
Il enfonce sa langue dans ma bouche, enlève ses doigts de mes fesses puis il me porte pour me mettre sur le sol en levrette.
- J'adore la vue, dit il tout sourire.
Je ris à mon tour.
-Ferme là et prend moi, je dis.
-Oh sa oui je vais te prendre.

Massimo&Valentina 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant