Massimo&Valentina 2

Bibliothèque.

- T'es vraiment un monstre, je lui dit.

- J'en ai rien à foutre, ce fils de pute ne méritais pas de respirer plus longtemps. 

- C'était un gars bien.

- Il ta gentiment demandé d'aller en taule et tu as suivie tête baissée, vous baisez ensemble ou quoi ? 

- Actuellement ça serait compliqué de baiser avec lui mais bon après...

Je sais pas si le regard qu'il me lance c'est censé me faire peur ou m'exciter, j'hésite encore.

- Enfaite tu sais quoi je te répondrais pas, avec qui je couche ça ne regarde que moi, je lui sourit malicieuse. Par contre je voulais te dire, je suis désolée d'avoir embrassée Domenico, je n'ai aucune attirance pour lui ou quoi que se soit c'était seulement pour te faire vriller et que tu pètes les plombs, c'était pas très sympa mais sur le moment j'ai pas réfléchie, alors je m'en excuse.

Il fronce les sourcils, se lèche les lèvres cherchant ses mots.

- Je sais pas si j'ai bien entendu et intégré les informations que tu viens de me dire alors on vas re faire étape par étape tu as l'aires d'oublier que tu m'appartiens entièrement. 

J'allais répliquer mais il me coupe :

- Ne gâche pas tout alors que tu viens de t'excuser, laisse moi savourer.

- Nan mais j'hallucine là, je secoue la tête pour cacher mon sourire. Allez maintenant je me casse.

Je rentre dans la maison inconnu pour moi et j'essaie de trouver une chambre ou je pourrais potentiellement mettre des habits et pas un pyjama mais d'abord une douche ne serais pas de refus.

J'entre dans la salle de bain, je me déshabille mais quand je vois ma blessure je me dit qu'il vas falloir faire doucement sous la douche et je me dit surtout qu'une autre cicatrice vas être sur mon corps à vie. Je me met sous l'eau et je la laisse couler un moment avant avant de commencer à me laver, je passe ma mains partout sur mon corps je passe sur mon entre jambe, ça fais longtemps que je n'ai rien fais sexuellement, que se soit avec moi même ou avec un homme, depuis Massimo il n'y a eu personne, au bout de six ans sa commence à faire long. Je m'attarde un moment sur mon clitoris mais ma tête est loin, des flashs de moi et Massimo entrain de faire l'amour nos corps transpirants, le bruit de ses coups de hanches contre mes fesses, de sa bouche sur ma chatte, de son énorme queue bronzé me pénétrant sans pitié... Je me fais jouir en pensant à ses souvenirs, je serre les cuisses et je retiens mon crie. Putain c'était intense.

Je reprend ma respiration, je fini de me doucher puis je sort. Bon maintenant il faut qu'on me dise où sont mes affaires, je sort en serviette et je pars dans la maison à la recherche de personnes pouvant m'aider.

Je suis dans un hall d'entrée et la porte s'ouvre, Massimo, Domenico et des hommes de Massimo entrent. Je tiens tellement fort ma serviette par peur qu'elle tombe, Massimo est au téléphone alors seulement ses yeux parle pour lui, la fièvre de la colère et du désire c'est ce que je vois dans ses yeux.

- Heu... Je cherchais juste des vêtements, je dis.

Massimo raccroche à la hâte.

- Le premier qui regarde je lui arrache les yeux et je lui fais bouffer, c'est compris ?

- Alors juste pour petit rappel messieurs, je suis entièrement célibataire et je fais totalement ce que je veux et avec qui je veux.

- Cassez vous tous avant que je vous butes. Pronto !

Ils s'en vont tous me laissant seule avec le grand méchant loup.

- A quoi tu joues Valentina ? Tu cherches à me foutre en rogne dès que tu en a l'occasion ? Joue pas à ce jeu parce que je vais péter un câble et ça finira mal et tu le sais.