Un lourd passé...
Toujours comparée à un objet de pouvoir...
Et si un humain se désignant comme l'héritier de la lune bleue pouvait tout changer en elle ?
Je n'ai pas trouvé d'histoire sur les mémoires de Vanitas... et si tu en as cherché, toi non p...
"Je serais toujours là... même si je dois partir un jour..."
"Tu ne me sert à rien ! Si ta mère te voyait elle aurait honte !"
"De toute façon, on y passera tous. Nos espoirs sont à jamais bloqués dans cette cage"
"Sale monstre ! Suceuse de sang !"
"Qui crois tu pouvoir aider ? Tu es bien trop faible !"
"Je suis tellement désolé ! Tout est de ma faute... Ouuuh..."
Ah ah ah !
Ah ! Ah ah !
Aaaah !
"Tu as peur n'est ce pas ? Tu es rejetée... Mais moi, je te comprends. Et je vais t'aider..."
Ah ah ah ah !
Ah Ah Ah!
"Pitié ! Laissez la tranquille !
"Tu seras ma volonté, Celle qui gardera ma puissance"
Aaa aaaa
aaaaa aaah !
"Allons, cesse de pleurer. Et réveille toi, Mémoria!"
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J'ouvris les yeux doucement. Encore ce rêve... Nous sommes au 19ème siècle, et je suis dans la baleine, vaisseau volant en route vers Paris. Je viens de finir mes études en médecine, et parcours le monde à la rencontre de patients. Mais suite à de longues réflexions, j'ai décidé de loger et d'établir mon cabinet au coeur florissant de Paris. Je me nomme Mémoria et je suis à la recherche des Mémoires de Vanitas, un artefact mystique qui recèle les pouvoirs du fameux et craint Vanitas, vampire de la lune bleue. Pourquoi ? Pourquoi chasser les légendes, et quelque part la terreur ? Pour résoudre de bien dangereuses et étranges situations. En ce moment, un grand nombre de "maudits" apparaissent. Leur origine serait cet ouvrage, qui entre de mauvaises mains, influerait sur les vrais noms des vampires, et les rendrait fous et dangereux. Mon but est de les soigner si possible et de retrouver le fauteur de troubles, afin de mettre fin à ses agissements néfastes. Comment puis-je les soigner ? Je me le demande moi même, parfois. Que dire d'autre ? Je suis une jeune femme assez banale, au fond, essayant de passer inaperçue malgré mes longs cheveux bleus et mes yeux clairs comme le sulfate de cuivre. De taille moyenne, et me lançant dans l'aventure de la médecine à 18 ans, j'appartiens à la partie sombre du monde, celle des "suceurs de sang".
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