J'ai tant souhaité avoir un enfant
J'ai trop peur de moi même pour me le confier
J'ai déjà tuer auparavant.
Je ne lui veux aucun mal pourtant
Mais Je risque de le crucifer
Je souffrirait comme judas à l'envers
De me voir condamner à la croix irrémédiablement
Ce qui m'est le plus cher.
J'infligerai ainsi mes dérèglements
À tous ce que j'aime
À tous ce qui m'aime
Et le sang coulant
Je ne respire qu'en mourrant
Et en souffrant du soulagement de l'isolement
Poème non relu
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Le Miroir De Narcisse
PoetryDans mon cœur à moi, les joies sont si éphémères, leurs beautés fanent si vite et partent en poussière, qu'il m'est impossible de vraiment les observer. Contrairement aux douleurs qui font partie de la famille des immortelles, et qui, au côté des pe...