No more dream [ Chifuyu X Reader ]

Chapitre IV

• Précédemment •

Je regarde pendent environ 10 secondes sa main tendu vers moi avec le sac au creux de sa paume. J'essaie de reprendre mon souffle, mon corps tout entier ressent l'adrénaline du moment, mes mains tremble, je n'arrive pas a le regarder dans les yeux. Je fini par me décider de relever la tête vers lui, nos yeux ce croise, un regard soutenue. Ma gorge ce noue j'ai peur que le son de ma voix s'échappe mais j'ai tellement envie de lui parler, d'entendre sa voix.

Moi: ...C...Chif...Chifuyu....
___________
Chifuyu: On sait déjà rencontrer au par avant?

• Mes pensées •

Ou là j'ai presque oublier, c'est notre première rencontre, il ne sait absolument pas qui je suis. La gourde, comment je vais faire pour me sortir de cette situation. Qu'est-ce qui c'était passer il y a de cela 12 ans. Je ne me souviens plus tellement de la jeune fille que j'étais à cette époque. Ok, je dois rester calme. Souris, incline toi, remercie le et puis pars avec ton sac. Oui je vais faire cela.

• Fin des pensées •

Moi: Je...vous remercie d'avoir arrêter ce voleur et... merci pour mon sac... je dois filé alors bonne journée....

Je pris mon sac, m'inclina et fis demi-tour en direction de chez moi. J'ai marché le plus vite possible, j'étais tellement gêner et de le revoir devant moi. Cela me procure de la joie mais aussi beaucoup de tristesse. Si je reste trop longtemps dans ce rêve, je ne vais jamais vouloir me réveiller.

Pourtant tout ça je l'ai vécu? Mais j'ai l'impression que tout ça est bien réelle. Comment je suis sensé me réveiller?

Le long du chemin de mon ancien quartier résidentiel qui dans mon futur, n'existe plus, il a laissé place à une zone commerciale. Je me rappel qu'avant c'était un lieu de rencontre, les mères de familles si retrouvées toutes ensembles après la sortie d'école. Les enfants y jouets tous, c'était le moment de détente qui anime ces murs d'immeubles qui avaient des années de vie. Mais c'était surtout l'endroit que j'avais pris l'habitude d'observer par la fenêtre de ma chambre du 5 ème étages, toi et Baji.

J'aimai vous voir tout les deux soudés, je n'avais jamais osé t'adressé la parole. Il faut dire que mon existence même t'étais à proprement inconnue. La première fois que je t'ai vu tu suivais mon frère comme si il était le dieu en personne, tu n'arrêter pas de rire à gorge déployé, tout le lotissement vous entendez à travers les fenêtres fermer. Je n'étais pas là quand tu as annoncé à ma mère que mon frère c'était donné la mort pour protéger l'amitié de ses amies d'enfance. Ma mère m'avait tout raconté à quel point tu te sentais coupable et impuissant. J'aurai voulu pouvoir te dire que tu n'avais pas besoin de te rendre responsable des propres choix de mon frère, il n'aurait pas voulu que tu te morfond pour cela.

Je me retrouve devant la porte de mon bâtiment, j'aperçois le linge étendu sur le petit balcon. Je vais faire face à ma mère après temps d'années écoulée sans n'avoir pu lui parlé, sans n'avoir pu m'excuser de vifs voix.

Je pris une grande inspiration et inséra la clé dans le local, une fois la porte ouvert, j'entre dans le hall d'entrée. Le bouquet toujours dans mes bras, il a un peu morfler le coup de courir avec, mais tempis, il en rigolera j'en suis sûr. Je pris les escaliers le temps de me préparer mentalement aux retrouvailles, même si pour ma mère cela ne fera que quelques heures, pour moi cela fais une éternité. Arriver devant le porte d'entré, je pris une grande et lente respiration, j'ouvre la porte.

Moi: Maman je suis rentré...

J'observe le couloir, la décoration de l'appartement, cela fais si longtemps, le meuble à chaussures de l'entre principale où repose une photo de mon grand frère, ainsi qu'un mini recueille même si dans le salon il est plus imposant, ma mère voulait en mettre un à l'entre dans l'espoir qu'un jour il reviendrait à la maison. Une fois ma prière et mes chaussures déchausser, j'entre dans le salon ma mère et allonger sur le canapé et elle y fait sa sieste de l'après midis. Je me dirige vers la cuisine, le frigo est pleins je décide de préparer le fameux curry.