Une Nouvelle Chance

Chapitre 7

Le lendemain de la rencontre avec les gobelins passa rapidement pour Harrison qui fut occupé à finir les achats utile auquel il pouvait penser mais aussi à se procurer une baguette, il préféra ne pas aller chez Ollivander trop sur que sa présence serait dénoncer à Dumbledore dans la journée s'il se présentait dans la boutique, alors à la place il s'était dirigé dans une rue secondaire du chemin de traverse moins connue et qui par principe avait la même utilité que l'Allée des Embrumes mais qui avait su garder sa réputation neutre, la bas il avait trouvais une fabricante de baguette personnaliser donc elle lui avait fait choisir le bois de sa baguette et le noyaux qui irait dedans. La sorcière sembla peut surprise quand Harrison se retrouva avec deux morceau de bois dans la main quand elle lui avais demander de lâcher un peut de sa magie et de voir vers quelle bois elle l'attirait, il avait apparemment obtenue le bois d'if comme dans sa vie précédente mais également du bois de mancenillier , un arbre mortelle puisque toxique au contacte et Harrison aurait presque trouvais ça risible mais se n'était pas une blague et il était sur que thanatos avait quelque à voir avec sa, sa ne pouvais pas être un hasard, il pouvait presque entendre la divinité glousser dans son dos. Au grand malheur de Harrison la sorcière n'avais était que remotiver dans la fabrication de sa baguette et avais assuré qu'avec des gants en peau de dragon elle ne craindrez rien et lui avais également affirmé que seul lui pouvais tenir la surface du bois sans se faire infecter par la toxine, heureusement ou à sont grand malheur il fallait qu'il ai également deux noyaux de baguette, une plume de phénix noir puisque la vendeuse n'avais jamais rencontré Fumseck, ainsi que des crins de Sombral, et puisqu'il faillait qu'il sois étrange jusqu'au bout , il lui avais fallut une poigner de crins entière pour que sa n'entrave pas sont noyaux magique. Finalement la sorcière se mis au travail devant lui et en 20 minute sa baguette avait été forgée, durant le processus il avais pus sentir la baguette se lier à sa magie, alors quand il la pris finalement en main il ressentit seulement le sentiment qu'il avait maintenant quelqu'un pour le soutenir, il savait quand même que ça n'était qu'une moindre réplique de la baguette de sureau mais il s'en satisferait pour le moment. D'apparence la baguette était vraiment belle elle se présentais comme une fine mais solide baguette sombre voir noir, elle était de taille moyenne mais Harrison savais que c'était pour ne pas entraver avec sa puissance, et exceptionnellement la baguette ne possédais aucune irrégularité se qui était rarement vue chez les sorciers.

Quand la journée se finissait enfin Harrison était content de ne pas avoir à faire plus de magasins que ça, il pouvait supporter une petite quantité quand c'était nécessaire mais pas plus merci beaucoup. Le jeune sorcier avait emballer toute ses affaire depuis un moment déjà quand la lettre qui servait de portoloin s'agita finalement, il raffermit sa prise sur Seth et Hedwige qui avait refusé de voler jusqu'à la propriété, puis il attrapa la lettre et aussitôt il sentit le sentiment qu'ont tirez sur son nombril avant de disparaître sans plus d'attente. Il réussit miraculeusement à atterrir debout même s'il pouvait voir que l'amélioration était dus à sa nouvelle apparence, en levant la tête il aperçu qu'il se trouve maintenant devant le manoir qu'il avait vue sur les parchemins, et il trouvait ça beaucoup mieux après l'avoir vue pour de vrais. Comment ne pas voir les grandes façade en pierre ancienne ou les vitraux qui se trouvait sur certaine fenêtre sans parler du fait qu'il était sur d'apercevoir une tour de l'autre coté du manoir, surement un volière Hedwige serais ravis, les statuts rendais également le cadre irréel, composer de toute sorte de race d'animaux magique elles se dressaient l'air secrètement fière de garder le manoir.

Harrison se donna finalement le courage de rentré par les lourdes porte d'entré et se qu'il vue le figea d'abord puis le laissa sans voie tandis qu'il s'aventuré un peut plus dans le grand halle, des arabesques en ors couvrais les murs élégant de couleur bleu roi sans parler de la peinture impressionnante au plafond qui portait un lustre fais de cristal et de diamant qui semblais faire rayonnais la pièce, les meubles en bois sombre donner à la pièce un effet enchanteur. Quand il eut finis de contemplé la pièce Hadrien remarqua finalement le tas d'elfes de maison qui attendait visiblement qu'il se rende compte de leur présence pour lui adresser la parole