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Je remonte dans ma voiture, les doutes assènes mon cerveau, une mafia mélangé à un club de motard hors la loi, dans tout ça le seul point commun c'est que des deux côtés ils ne respectent rien ni personne sauf des codes et la famille.

Je suit le cortège de motard et des voitures de la famille ainsi que celles des mafieux qui crie au luxe, les Dark Soul's sont loin d'être pauvre mais à mon avis les mafieux non plus bien au contraire mais tout ça amène à mon autre question, pourquoi est ce qu'ils crèchent au club ? 

J'ouvre ma fenêtre, j'ai besoin d'air, mon cerveau vas exploser et je le sais et je le sent que je n'ai pas l'énergie nécessaire pour affronter tout ça, j'ai toujours fait confiance à Jace aveuglement, il est comme mon grand frère depuis que nous sommes petits.

Quand le cortège part en direction de club moi je prend une autre direction, incapable d'être parmi eux pour le moment alors je me dirige vers une salle de danse que Jace me privatise afin de me laisser m'évader quand je le souhaite, mais je pratique surtout le pole dance ou des dance sensuelle, la plus part du temps je rend service à Mina en formant ses filles aux chorégraphie que j'imagine que je travaille pour leurs grands show, les clients adores et moi j'y gagne ma vie, on y trouve tous notre compte dans tout ça.

Je me gare devant, je n'ai pas de tenu adapté mais le streap' ce pratique de préférence en sous vêtements c'est préférable. Je dépose mes affaires dans un coin de la salle, je m'échauffe et je me défoule pendant un temps que je ne compte pas. Les muscles me chauffent  et me tire, je ne re pars jamais sans bleus tant c'est intense. 

Après ce qui me semble assez longtemps pour pas que Jace m'assassine d'avoir loupé la fête du club je m'arrête ici pour aujourd'hui et je re met ma tenue très habillée, j'ai le maquillage qui a coulée mais je de quoi arranger sa dans ma voiture, je ferme la salle puis m'en vais.

J'arrive enfin au club, merde les tables à l'extérieur prennent toute la place et c'est bondé de monde, je me fondrait dans la masse c'est sûr mais pour me garer c'est mort. J'appréhende la nouvelle passade de ma vie qui m'attend mais je souffle un bon coup et me fond dans la masse, tête baissée fuyant les regards. 

Je reçoit un coup d'épaule qui me coupe la respiration, je lève la tête et quand je vois que c'est l'homme au tatouage je vois rouge, sans savoir réellement pourquoi, il me met hors de moi.

- Vous pourriez faire attention putain !  je dis.

Il se tourne et me regarde de la tête au pied, intimidant. Il se lèche les lèvres puis se pince les lèvres, il pose son verre sur la table derrière lui puis remet ses mains dans les poches, tout en me fixant, il a l'air tout aussi irrité que moi. Connard.

- Répète ce que tu viens de dire la merdeuse ? dit il froidement.

Merdeuse ? Mais qu'elle âge il a lui ?

- Je te demande pardon ? je dis hallucinée.

- Toi demande moi pardon.

Un frisson me parcours, je l'ignore.

- Je rêve ! 

Je croise mes bras sur ma poitrine en levant les yeux aux ciel, trou du cul.

Hartley un autre membre du club pose son bras autour des épaules d'Eros puis le chambre en disant :

- Je vois que vous avez fait connaissance, dit il tout sourire. Je vous jure que j'attendais que ça vous voir tout les deux vous parlez ! En tout cas j'ai parié que ça allait commencer super mal et j'ai gagné 100 balles ! il éclate de rire avec d'autre personne autour de nous.

Je soupire, exaspérée. Des plans machiavéliques se bouscules dans ma tête pour emmerder ce connard.

Je le pointe du doigt menaçante.

- En tout cas sache une choses, moi je n'ai pas peur de toi, peu importe qui tu est, tu ne m'impressionne pas.

Bien sur il me terrifie un peu quand même et il m'impressionne, par sa grandeur et je ressent de là la haine qu'il émane mais au moment ou je me tourne pour partir il dit à voix haute :

- Les gamines dans ton genre ne m'impressionne pas !

Qu'il aille se faire foutre.

J'entre dans ma chambre et claque la porte, je la ferme à clé puis je me déshabille et fonce sous la douche, je me frotte la peau si fort que j'en deviens rouge, j'ai l'impression que son poison est encore sur ma peau.

Je sort de la couche et je me rhabille, plus confortablement cette fois ci et moins sophistiqué, un bon vieux jean à trous et un tee shirt large  c'est comme ça que je me sent mieux. Je me démaquille avant de ressortir, j'ai l'aire d'un panda. Je prend mes cigarettes et mon téléphone puis quand j'ouvre la porte, Eros est dans le couloir entrain de parler à messes basses avec une femme, qui à l'aire d'appréciée ce qu'il lui dit, beurk j'espère ne pas entendre leurs ébats à chaque fois, j'espère que sa chambre à lui est loin de la mienne genre à l'autre bout du couloir.

J'allume ma cigarette puis je passe à côté d'eux a tête haute et je prend bien soins de cracher ma fumée sur lui et sa petite copine, puis je leurs fait mon plus beau sourire d'enfer mais lui n'as pas l'aire d'apprécié et me saisis le poigné et force suffisamment pour me le faire enlever du visage.

- Lâche moi, je dis.

Il ordonne à la fille de partir et de fermer sa gueule, je panique maintenant ou j'attend encore ? Merde Kali il est de la mafia bordel.

Il me traine plus loin dans le couloir à l'abris des regards, personne ne pouvait nous voir mais dans ce recoin c'est sûr qu'il peur me trancher la gorge sans que personne n'en sache rien. Il saisit mes deux mains et les montes au dessus de ma tête en me plaquant contre le mur, il me tient fermement.

Je serre les dents, retenant de lui cracher à la gueule. Il approche son visage du mien, très très très menaçant cette fois ci, j'ai réellement peur.

- Ne me manque plus jamais de respect gamine, la seule chose qui te tient encore en vie c'est que tu sois la petite protégée du club c'est tout.

Il me voit comme ça ? C'est ce que je reflète ? Après tout je n'ai jamais eu de relation sérieuse depuis toujours parce que personne n'as assez de cran pour passer par le club pour me voir ou assumer une relation. Je suis terrifiée mais ma fierté elle, prend toujours le dessus.

- Je sais pas ce qui vous relis toi et le club mais écoute ce que je vais te dire, si j'avais l'occasion d'appuyer sur la détente pour t'éliminer je le ferais sans remords.

Un sourire en coin se forme sur son visage, ses yeux sont rieurs, il aime qu'on lui tienne tête c'est clair.

- Les remords c'est pour les faibles gamine tu devrais le savoir.

Il relâche son emprise puis part dans sa chambre, qui est fasse à la mienne, je respire à nouveau. Il est pas au fond du couloir...

  

THE DARK SIDE OF MAFIA.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant