𝙇𝙞𝙛𝙚'𝙨 𝙖𝙢𝙖𝙯𝙞𝙣𝙜 [one shot jujutsu kaisen]

➤ Money I [𝐓𝐎𝐉𝐈 𝐅𝐔𝐒𝐇𝐈𝐆𝐔𝐑𝐎]

Hey !

Voici un one shoot qui sera en deux parties avec votre très cher Toji Fushiguro !

Je tiens préciser que Toji est un DILF (le roi des DILFS) donc ne soyez pas choquée par son âge :)

Et je vous informe aussi que je ne m'y connais pas trop dans le domaine du droit et de la police, donc peut-être que mes mots ne seront pas les bons, mais j'espère que vous comprendrez.

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➤ Contexte

[t/p] a 25 ans, elle est barman. Toji en a 40 et il est avocat.

Enjoy !

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— VOUS AVEZ LE DROIT DE GARDER LE SILENCE. TOUT CE QUE VOUS DIREZ POURRA ÊTRE RETENU CONTRE VOUS DEVANT UNE COUR DE JUSTICE. VOUS AVEZ LE DROIT À UN AVOCAT ET SI VOUS N'EN AVEZ PAS LES MOYENS UN AVOCAT VOUS SERA COMMIS D'OFFICE ! Hurla l'agent de police.

Tu te massas les tempes et mis tes mains derrière le dos comme t'a demandé gentiment l'autre agent. Il menotta tes poignets délicatement, et appuya sur ta doucement pour te faire entrer dans la voiture.

Les gyrophares se reflétaient sur la façade vitrée de la villa de ton défunt conjoint.

Quel tristesse.

La voiture de police quitta le jardin luxueusement taillé pour s'engager sur la route extérieur.

Après une trentaine de minutes, tu sorties enfin du véhicule de police et les agents te conduisirent jusqu'à la salle d'interrogation.

Ils t'ont fait asseoir sur une chaise en métal, et ont attaché tes menottes à une barre en métal sur la table. Comme si tu avait commis un meurtre...quoique..

Un homme entra dans la salle avec un dossier et le balança sur la table.

— Bonsoir mademoiselle...

Tu lui révélas ton nom de de famille et il compléta sa phrase avec.

— Vous savez pourquoi vous êtes là ? Demanda l'inspecteur.

Tu le fixas et ne répondis rien.

— Qui êtes vous par rapport à-

— Je ne parlerais pas sans mon avocat. Le coupa-tu.

L'inspecteur soupira et sortit de la pièce. Bah quoi ? L'autre agent m'a bien dit que j'ai le droit de garder le silence.

Après plusieurs minute, l'inspecteur est revenu avec un autre dossier et un stylo. Il l'a encore jeté sur la table et a sorti une clé de sa poche.

— Pas de geste brusque.

Il s'est approché doucement de toi comme si tu étais un animal redoutable. Ses pas silencieux étaient la preuve qu'il était effrayé. Par quoi ? Par toi ? Une jeune honnête citoyenne ? N'importe quoi.