Chapitre 12

156 8 0
                                        

PDV Jellal :

Flashback :

Erza venait tout juste de partir pour aller ce balader et cela me frustrait au plus au point. Elle ne comprend pas que ce n'est n'est pas un monde sûr surtout pour une bombe comme elle. En soit cela ne me dérange pas qu'elle aille se balader au contraire je me sens soulagé qu'elle puisse profiter de ce voyage mais pourquoi a-t-il fallu quelle porte cette combinaison qui donne une vue imprenable sur sa poitrine, très belle d'ailleurs. Je me rappelle encore du jour où nous avions été compressés dans l'ascenseur et que sa poitrine était plaqué sur mon torse (voir chapitre 2)
Ce fut d'ailleurs très embarrassant sur le moment mais maintenant que j'y pense j'aimerais la serrer dans mes bras, sentir son parfum comme la dernière fois et avoir un petit moment intime comme cette fois là. Haa pourquoi je pense à ça moi ? Cette femme me hante tout les jours, je ne pense qu'à elle. Je ne l'ai embrassé que quelques fois mais pourquoi tous ces baisers sont toujours aussi clairs dans ma tête ? Pourquoi je me rappelle très nettement de la douceur de ses lèvres ? En a peine quelques baisers elle m'a rendu accro à elle...En fin de compte c'est elle qui me fait de l'effet, elle qui me perturbe autant même si je prétend le contraire en la taquinant. Pourquoi ? Je n'ai jamais ressenti ça auparavant pourtant ce n'est pas comme si je n'avais jamais eu de conquête. Il est vrai que je sais me contrôlé mais il m'est parfois arrivé d'avoir des relations purement physique. Alors pourquoi Erza est la seule ? La seule à...qui je pense tout le temps ?
J'étais resté longtemps à me poser des questions et pour me changer les idées je décidai de sortir un peu histoire de m'éclaircir un peu l'esprit.

Cela faisait maintenant un long moment que je marchais, je ne sais pas où je suis d'ailleurs. En tout cas, la mer est très belle et calme aujourd'hui. Il ne fait pas très froid...c'est agréable. Tandis que je continuais de marcher, je crus apercevoir une couleur écarlate. Instinctivement je pense à Erza et commence à regarder tout autour de moi mais rien. Je n'avais pas envie de penser que c'était juste mon imagination alors je me mis à sa recherche. Je regardais de toute les côtés et je marchais très vite. Au bout d'un certain moment je dû me résoudre à admettre que c'était juste une farce de mon imagination. Je continuais de regarder autour tout en profitant de la belle vue que m'offrait la mer. Je vis d'ailleurs un magasin de Ramen et...Ezra ?! Je me précipitait donc vers elle mais je m'arrêta il ne faut pas qu'elle sache que je suis là me dis-je. Je remarqua qu'elle était rentré dans ce magasin, je pris la décision de rentrer à mon tour😅. À mon grand énervement je vis que le caissier dirigeait son regard vers Erza ou plutôt vers ses courbes. Le caissier me vit arriver et je lui lança un regard tellement noir qu'il compris tout de suite. Je me dirigeais lentement et vers Erza tout en restant à un rayon d'elle pour qu'elle ne me remarque pas. Je vis Erza prendre des boîtes de Ramen et les payer. Pendant qu'elle payait je continuais de fusiller du regard le caissier pour lui faire bien comprendre de se tenir correctement. Erza sorti donc et j'attendis quelques minutes pour sortir ensuite. Dans la rue il faisait déjà nuit, je marchais à une distance raisonnable quand soudain je vis un homme de taille moyenne, imposant et des tatouages sur son bras qui s'approchait dangereusement d'Erza, il tendait sa main mais je couru et l'attrapa par l'avant bras en l'attirant dans une ruelle. Je remarqua en passant qu'Erza s'était retourné : Fiouuu ! J'ai eu chaud. Maintenant il faut que je m'occupe de lui. Pendant que j'étais dans mes pensées l'homme que je tenais s'était dégagé et je ne sais pas comment mais avais réussi à avertir ses copains. Je me retrouvais donc entouré de cinq hommes qui avaient tous plus ou moins la même carrure.

1er homme : Alors comme ça c'est toi qui m'interromps dans mes affaires gringalet ?
Moi : Je vous défend de toucher cette femme !
2ème homme : Oh ! Il défend cette pétass*
Moi : Je sens la colère montée en moi, comment ose-t-il insulté Erza !
3ème homme : Eh les gars venez on se le fait, il commence à me tapper sur le système celui-là !
Les 5 hommes : Ouai grave

Un boss un peu...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant