Un amour puissant {Ereri/Riren}

Souffrir en silence

Aprés que Livaï m'est défendu, nous somme aller au réfectoire, une fois là-bas, je ne savait pas si je devais aller avec Livaï ou si je pouvais aller avec mes amis. Livaï me vit hésiter et il enleva rapidement mes doutes.

- Gamin, c'est pas parce que je t'ai défendu qu'on est amis. Va avec tes potes.

- O- oui, d'accord. J'alla vers mes amis en trainant des pieds.

A quoi je m'attendais sérieux? Ma catégorie n'est pas assez élevé pour être ami avec quelqu'un comme lui. Je m'asseya.

- Ah ben enfin! J'ai cru que t'allais pas venir, encore. Me dit Mikasa

- Désolé. Dis-je simplement.

- Lâche le Mikasa, il étais surement occupé. Dit Armin. Sa va Eren? Me demande Armin voyant la tête que je faisait.

- Oui, oui, sa va. Je fis le fameux faux sourire.

Je mangea dans le silence ce qui inquiéta mes amis étant donnée que c'étais la première fois puis l'heure des cours reprit. J'alla en histoire et comme l'avais dit Livaï, je n'étais pas à côté de Jean mais à côté d'une petite rousse, il me semble que c'est une amie à Livaï.

- Salut, Eren, moi c'est Petra. Elle sourit.

- Comment tu connais mon nom? Lui demandais-je.

- C'est simple, c'est marqué sur ton cahier.

- Oh, oui, effectivement.

Le cour débuta mais j'étais perturbé par le regard de Jean, comme si il préparait quelque chose ou qu'il avait fait quelque chose. Quelqu'un entra dans la salle dérivant mon regard.

-  Eren Jaeger, vous êtes attendu dans le bureau du directeur. Fit la CPE.

Je me leva et me dirigea vers la CPE en regardant Jean qui avait un grand sourire. Je comprit rapidement qu'il en était pour quelque chose. J'alla donc dans le bureau du directeur et j'attendis qu'il prenne la parole.

- Je suis déçu de vous Jaeger, c'est la première fois que je vous demande dans mon bureau et c'est pour une chose aussi grave.

Comment sa? Qu'est-ce que Jean à fait?

- Harcelé et tabassé un camarade c'est très inattendu de votre part Eren.

- Qu-Quoi?! Mais je n'ai jamais-

- Ne mentez pas! Votre camarade est venu me voir, les larmes au yeux, la lèvre fissurée et des hématome au visage. Alors stop!

- Mais...

- Je vais appeler vos parents et vous viendrai, Mercredi, en retenue.

Non! Tous sauf eux! Je vais me faire défoncer! Jean, je te hais!

- Vous pouvez disposer.

Je m'en alla donc et retourna en cours. Je rentra en cours en m'excusant et m'asseya, je regarda Jean qui avait l'air d'être fier de lui. Le reste de la journée se passa sans soucis à part qu'en français, je me suis retrouvée à côté de Sasha mais contrairement à ce que je pensait, elle ne m'a pas parlé. Le soir, je rentra chez moi, la boule au ventre. Je passa le pas de la porte et ils étaient la. Evidement, c'est le jour où je me suis fait piégé par Jean qu'ils travaillent pas la nuit.

- B- bonsoir. Dis-je en bégayant.

- Va poser tes affaires, faut qu'on parle. Dit sèchement mon père.

- O-oui. Je déposa mes affaires et redescendit.

Ils m'attendais dans le salon, je m'asseya en face d'eux et tritura mes doigts.

- Tu nous explique?! Cria mon père.

- On à reçu un appel de ton proviseur qui nous a informé que tu harcelé et tabassé un camarade de classe depuis quelques temps. Tu n'as pas honte. Dit froidement ma mère.

- C-c'est faux. Je le harcèle pas, c'est lui qui-

- Tu ose mentir en plus!

Mon père se leva et je reçu une gifle de sa part. Elle pique celle là.

- Mais non! Je ment pas! Je suis incapable de faire sa! Crais-je au bord des larmes.

- Tu répond pas à ton père!

Cette fois c'est ma mère qui se leva et je ne reçu pas une gifle de sa part mais un coup de poing. La fin de soirée fut catastrophique et ils m'ont privé de repas. Je n'arrive même pas à fermer mes yeux du à la douleur qui s'en dégageait et ma lèvre, je n'en parle pas. J'étais assis dans le noir, sur mon lit à massacrer de nouveau mes bras. J'en peut plus, je veut que sa s'arrête mais je sais que je le mérite, depuis ma naissance, depuis cet évènements

Le lendemain, j'arriva en retard n'ayant réussi à me lever. J'entra dans la salle de cours.

- Bonjour, excusez moi du retard.

J'alla m'assoir et j'avais tout les regard sur moi mais celui de Livaï retenu le plus mon attention.

- Monsieur Jaeger, voyez enlever vos lunettes.

- J- je suis obligé?

- Oui.

J'hésita un moment puis j'enleva mes lunettes, la bouche de tout le monde s'ouvrit même celle de Jean.

- Monsieur Jaeger qu'est-ce que-

- Je me suis juste pris brutalement une porte en pleine face, ce n'est rien.

- Tch.

Je regarda Livaï qui avait le regard dur. Il a pas du croire à mon mensonge, merde, j'aurais pas du venir avec ma lèvre fissuré et mon cocard à l'œil. Je peut pas dire au gens que c'est mes parents qui ont fais sa. Le cours se passa sans encombre malgré les quelques regards sur moi. Quand je sortis du cours, quelqu'un m'attrapa le bras et m'attira dans un coin dessert. Aie, mes bras, les blessures sont encore récentes.

- Gamin. Faut qu'on parle.

Oh non, je savais qu'il n'y croyait pas mais pourquoi? Je suis déjà un fardeau pour les autres, je veut pas l'être pour lui, pourquoi il me laisse pas souffrir en silence? Je ne veut pas parler de mes problèmes avec mes parents, que faire?

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La vie d'Eren va commencer à changer à partir de maintenant et Livaï gardera de plus en plus un œil sur Eren. La rencontre de l'un est la meilleure chose pour l'autre.