Sombre désir

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                                                                Bonne lecture !                                                                                   

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Erina

Qu'es-ce qu'un connard pareil faisait ici ?! Ce mec m'avait fait des avances, que j'avais bien évidemment refuser. Ce qui m'interpella le plus, c'est que nous étions tous les deux de New York. Alors, qu'es-ce qu'il faisait ici ? La plupart des gens, sont des mafieux ou des chefs de cartel.

- Alors comme ça, tu es marié, Erina ! Prononça-t-il d'une voix énervé

- Je... Oui exactement, depuis très peu de temps.

Il ria et me prononça :

- Et qui est l'heureux élu ?

- Et bien, c'est moi.

- Tu es donc marié à Nero Cortès. Dit-il en riant

Le regard de Nero s'assombrit. Je sentis sa main se crisper sur le bas de mon dos.

- Tu es très perspicace, dario ! Dit Nero sur un ton moqueur

- Avec toutes les filles qui te veulent, Nero, Il à fallut que tu la choisisses elle ! Tu sais que c'est une vraie connasse quand même, cette pute avait refuser mes avances, lors de mon voyage à New York !

- Cette quoi , Dario ?

- Cette pute, tu m'a très bien entendu, Estúpido !

Il fallut qu'une fraction de seconde pour que le poing de Nero, finisse dans le visage de ce malade. Il ne s'arrêtait plus, il défoulait toute sa haine sur lui.

- Insulte encore une seule fois, ma femme et je te jure que je te brise les couilles !

Dario ne répondit rien, ce qui énerva encore plus mon kidnappeur. Il redoubla ces coups, jusqu'à ce que je prenne la parole.

- Nero, arrête s'il te plaît... Tu vas le tuer... Dit-je en essayant de le résonner

J'attrapai son bras pour le stopper, mais il se retourna, me lança un regard noir, me saisis le bras et partit en direction de la sortie. Il lança des jurons dans sa langue, tout en avançant vers la voiture.

-Putain, je savais que je n'avais pas dû t'emmener à cette fête ! Finiro per ucciderti...

- Je ne pouvais pas savoir qu'il y serait ! Dis-je avec une pointe de colère

Il ne répondit rien, ouvrit ma portière, m'installa dans mon siège et alla s'installer dans le sien. Aucun de nous deux ne parla durant le trajet. Une larme coula silencieusement sur ma joue. D'un revers de la main, je l'enlevai. Je ne voulais plus pleurer devant lui, je ne voulais plus paraître faible.

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- Sors de ta cachette mon lapin, tu sais que je n'aime pas les partis de cache-cache.

Je 'étais cacher derrière la porte de sa chambre, j'attendais qu'il parte pour sortir, puis m'enfuir. J'entendis ces pas s'éloignaient. Je passai ma tête sur le côté et ne voyant personne, je sortis et commençai à courir vers ma seule sortie. J'y étais presque quand une voix m'interpella derrière mon dos.

- Te voilà enfin mon lapin ! Tu n'es pas facile à trouver, mais maintenant que je t'ai trouvé, nous allons pouvoir retourner jouer ! Dit-il d'une voix qui me glaça le sang.