3 ans et de l'eau à couler sous les ponts...
3 ans et la vie à continuer...
3 ans et les objectifs ont été atteints
3 ans depuis cette rupture à l'aéroport
3 ans depuis que NewYork et Tampa s'étaient éloignés
3 ans longue et en même temps rapide...
Amara sortait de l'ascenseur pour rejoindre son grand-père ainsi que son client dans un restaurant pour le déjeuner. Elle devait prendre le métro pour deux stations et étant donné qu'elle avait quitté son poste avec du retard elle se retrouvait à être pressé. Elle enroulait sa grosse écharpe autour de son cou et mit son sac correctement. Elle portait un simple jean, une bonne paire de bottes pour la protéger du froid new-yorkais et sa veste aviateur
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Elle s'apprêtait à sortir du building quand elle se sentait retenu à l'arrière. Immédiatement elle se retourna et c'était sans réelle surprise qu'elle croisa le regard de brady. Automatiquement elle entoura ses bras autour de sa nuque. Brady...elle avait sans cesse des flashback de leur voyage à Londres et des escapades aux toilettes. Incroyable.
Amara - hey boyfriend Brady - hey tu cours où comme ça ? Amara - j'ai un déjeuner avec mon grand-père et je suis en retard Brady - oh okay moi qui voulais t'inviter à déjeuner Amara - on se fait un dîner à la fin de la semaine c'est promis! Promis! I gotta go je suis hyper en retard but i'll text you!
Un baiser sur la joue et elle se séparait de lui.
Brady - okay fais attention!
Un clin d'œil et Amara disparut dans la foule. Elle courrait limite jusqu'à la station de métro et le timing était parfait vu que ce dernier arrivait pile au moment où elle était sur le quai. Parfait. - Amara arrivait au restaurant et avant d'aller plus loin, on lui demandait son nom. Une fois donné, on l'accompagnait à la table où se tenait Blake et le client. Le français. Honnêtement Amara s'attendait à un français diversifié. Mais était-elle étonné de voir un blanc? Non. Par contre ce qui l'étonnait c'était le fait que cet homme ressemblait à son père...ou peut-être qu'elle était folle. Mais il avait cet air italien, les mêmes traits, c'était trop bizarre.
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Sérieusement il y avait un air et elle était persuadé de pas être folle. Vraiment pas.
Quand elle se rendit compte qu'elle avait observé cet homme un peu trop longtemps, elle se racla la gorges et sortit son plus beau sourire. Elle devait être hyper accueillante. Cet homme allait sûrement rapporter un gros gros chèque, valait mieux être souriant. Et avec son habitude à lire des lives en français, Amara commençait avec la langue de Molière.
