Jour 37 : (07/07)

663 26 0
                                    


Pdv Lorie :

Au réveil je vois un petit déj, je souris et commence à manger quand je le vois sortir de la douche avec juste une serviette sur la taille. Des gouttelettes d'eau ruissèle sur son corps d'apollon.

Nathan : Arrête de me mater !

Moi : Je fais ce que je veux, tu m'appartiens !

Il rigole en s'approchant de moi et surtout de mon entre jambe qu'il me mange.

Moi : Huuum bébé, je mange.

Nathan : Moi aussi.

Moi : T'es con, oh putain comme ça.

Il continue de plus belle, je laisse le plateau de côté et lui caresse les cheveux. Le sexe au réveil c'est génial. On finir par rejoindre les autres.

Luis : Vous êtes pires que des lapins tous les deux ! Sérieux je n'ai pas fermé l'œil !

Nathan : T'avais qu'à arrêter de penser !

Moi : Ce n'est pas comme si on n'avait pas 25 chambres !

Nathan : A ton avis pourquoi la chambre de Sarah est à l'autre bout de la nôtre ?

Clem : Trop de détails, pour le petit dej !

Moi : Elle n'est pas descendue ?

Vicky : Rémi a voulu lui apporter le petit déj du bébé.

Luis : C'est adorable.

Moi : Nan c'est Rémi. Ce gosse et aussi génial que sa mère, et il me rappelle beaucoup mon homme.

Vicky : En quoi ?

Pdv Nathan :

Moi : Il est arrivé pareil à ma mère mais elle s'en est aperçu à 6 mois.

Vicky : Je vois...

Lorie : Alors ça c'est qu'un détail, et ce n'est pas ça qu'il me fait penser à toi. Il a un aussi grand cœur que tu as, il ferait tout pour protéger sa mère, il boxe depuis toujours, c'est un amour.

Luis : Je confirme, faudrait présenter les enfants.

Moi : Bonne idée, venez manger ce soir.

Vicky : Mais...

Lorie : Pas de maïs.

Vicky : Bon ok.

Rémi : Mais nan, je suis trop gros et je vais faire mal au bébé !

Marie : Mais nan, champion.

Rémi : NAN ! Donne ton sac !

Marie : C'est trop lourd pour toi !

Rémi : Hermès le sac !

Le chien lui prend des mains.

Rémi : J't'ai eu, na ! Tataaaaa.

Il saute dans les bras de Lorie, et Marie vient me faire un bisou, je lui en fait un et lui fait un bisou sur le ventre.

Marie : Il est aussi petit qu'un grain de riz ton filleule.

Cette fois je l'attrape et la fait tourné dans les air sous le rire des filles, je la repose doucement.

Moi : On va rendre dingue tes parents.

Lorie : Oh ça c'est sûr.

Clément : Bébé, j'suis désolé. Moi aussi j'ai le droit à un câlin ?

Mon Boxeur, ce papa formidableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant