Jour 36 : (06/07)

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Pdv Lorie :

Je me réveil dans les bras de mon homme qui dort encore, j'en profite pour descendre au salon et étudier pour mon examen, je vois Sandrine rentré tout doucement. Je me mets dans son dos et l'applaudit, elle sursaute en se retournant.

Sandrine : Putain tu m'as fait peur, j'ai cru que c'était Nath.

Moi : Sauf un tremblement de terre, il n'est pas près de se réveiller. Alors c'était bien ?

Sandrine : Trop.

Moi : On dirait une ado, raconte.

Sandrine : Roh ça va, on en parle de vous deux ?

Je rigole avec elle en buvant mon thé, elle me raconte sa soirée.

Sandrine : Pourquoi tu ne dors pas ma belle ?

Moi : Impossible de me rendormir, donc j'en profite pour réviser.

Sandrine : Faut que tu te reposes ma belle.

Moi : Après la semaine prochaine, j'aurais ça en moins ça ira mieux t'inquiète pas.

Sandrine : Franchement je t'admire à tout faire à la fois, je ne sais pas comment tu fais.

Moi : Même petite, j'étais toujours en train de faire plusieurs truc. Les seules fois ou mes parents me voyez posé et calme c'était avec Adès. Si je n'étais pas avec, ils voulaient limite m'amener chez le médecin, me croyant malade.

Sandrine : Je vois, bon je te laisser réviser tranquille. Pense à aller dormir un peut quand même.

Moi : Promis.

Elle me fait un bisou et monte. Deux heures plus tard je vois les mains de Nathan passé par mes épaulé et sens sa tête se posé sur la mienne.

Nathan : Ma puce, vient dormir.

Moi : J'ai presque fini.

Nathan : Nan maintenant.

Il me tire la chaise et me porte et me couche dans le lit et me coince dans ses bras.

Nathan : Comme ça tu pourras plus bouger.

Je rigole et le papouille en me rendormant tranquillement. On se réveil dans la même position.

Nathan : Bonjour ma puce.

Moi : Bonjour bébé. Faut que tu te prépares pour ton prochain combat.

Nathan : Avoue ce que tu kiffe le plus c'est de me mater boxer.

Moi : Mon petit chéri, la salle de boxe et le paradis pour toutes femmes.

Nathan : Ah bon et pourquoi ?

Moi : Plein de sportif, hyper musclé, à moitié à poil qu'on peut mater à volonté.

Il râle en se levant, je rigole parce que c'est toujours aussi facile de le faire râler. 2 heures plus tard, on est à la salle, on de nombreux boxeurs s'entrainent.

Moi : Tu vois le paradis.

Il me cache les yeux avec sa main et me plaque contre lui en avançant, je rigole toujours autant.

Clem : Bah alors mec, c'est quoi cette tête ?

Nathan : Apparemment c'est le paradis des femmes, la salle.

Moi : Quoi ? On peut mater tranquille, hein Marie.

Marie : Je confirme.

J'entrouvre ses doigts et vois la tête de Clem.

Mon Boxeur, ce papa formidableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant