Mon Boxeur, ce papa formidable

Jour 105 : (13/09)

(N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez et si vous préférez que je divise les gros chapitres en 2 voire 3. Bonne lecture 😁)

Pdv Nathan :

Je me réveil en ayant envie de ma belle. Je l'embrasse tendrement en lui mordillant le cou. Elle gémit tout doucement.

Lorie : Mmm bébé.

Moi : J'ai envie de toi ma puce.

Lorie : J'ai mes règles bébé.

Moi : Tu veux un truc mon amour ?

Lorie : Un câlin.

Je la prends dans mes bras en lui massant le ventre, je sais qu'elle a souvent mal.

Moi : Je t'aime ma puce.

Lorie : Je t'aime bébé.

Elle m'embrasse, mon érection frotte contre elle. Je la vois me faire un petit sourire, son cerveau sélectionne son côté tentatrice de l'extrême. Elle est magnifique dans sa nuisette turquoise, légèrement transparente. Elle se dirige dans la salle de bain avant de se mettre totalement nue, elle va me rendre dingue. Comme le drogué que je suis de son corps j'accours dans la pièce d'eau.

Lorie : Ou je t'ai dit que je n'en avais pas envie ?

Moi : Tu l'as déjà fait en ayant tes règles ?

Lorie : Nop, et toi ?

Moi : Jamais, on verra bien.

Elle rit quand je la caresse, elle gémit en se frottant à moi. Je la pénètre en douceur.

Moi : Comment tu te sens ?

Lorie : Hum, trop bien, mais tu t'endors ou quoi ?

Je me marre et lui met un puissant coup de reins, heureusement que je la tiens fermement sinon elle se serait mangé le sol, elle hurle.

Moi : Tu disais ? J'ai bien fait d'insonoriser notre chambre je crois.

Lorie : Oh ta gueule et baise moi !

J'ai bien l'entendre hurler son plaisir et encore plus l'énerver pendant que je suis en elle. De brutal je redeviens doux à la dernière seconde avant qu'elle jouisse.

Lorie : Connard !

Moi : Qu'est-ce que tu veux ? Tu l'aime ton sale gosse.

Lorie : Défonce-moi la chatte bordel de merde !

J'adore quand elle est frustrée tous ses filtres se barres et quand elle est aussi vulgaire, elle m'excite encore plus et elle l'a parfaitement compris. J'accepte sa demande et la pilonne en la fessant comme elle aime. Elle a rapidement son premier orgasme, quand son petit cul est brutalisé, elle ne tient jamais, ça la fait exploser à coup sûr. Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits que je continue mes mouvement brutaux, jusqu'à jouir une première fois, toujours aussi dur elle se retourne et saute dans mes bras. Je la rattrape toujours en elle et l'a fait littéralement sauter sur ma bite en lui bouffant le cou, sous ses gémissements et hurlements. On continue jusqu'à ce que je sois totalement à sec et elle remplit. Quand je sors d'elle, tout le sperme retenu encore en elle coule le long de ses jambes mélangé au sang de ses règles. Cette image est d'un érotisme extrême, si je n'étais pas totalement à sec j'en rebanderais.

Lorie : T'as fini de me fixer oui ?

Moi : Jamais de la vie, j'aime bien trop l'image que j'ai. Je crois qu'on n'a jamais autant baiser que là, au point que ton ventre soit gonflé. À ce niveau-là on ne peut pas appeler ce qu'on vient de faire, faire l'amour