Une semaine plus tard. Je me réveillai de bonne humeur, aujourd'hui je devais aller à la banque pour déposer de l'argent. J'ai fais tout ce dont j'avais à faire puis en fin d'après-midi, je me suis préparé et suis partit. Arrivé sur place, je rejoignit un guichet pour pouvoir faire ma transaction. Je commençai à parlé avec la personne me recevant quand un gros bruit sourd se fit entendre. Je n'eus même pas le temps de comprendre ce qu'il se passait qu'une bande de personnes habillés en noir, cagoulés et armées défilèrent devant mes yeux.
"Tout le monde au sol ! Dépêchez-vous !"
Dans la panique et sans riposter, tout le monde se rua par terre. Tout le monde se rapprocha l'un de l'autre jusqu'à former une foule de personnes assises au sol.
"Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, ceci est un braquage et vous êtes tous nos otages. Le premier qui bouge, je lui tire une balle."
Tout le monde était sous le choc, apeurée, j'entendais aussi des sanglots autour de moi. C'était la première fois que je me retrouvais dans une prise d'otages, je ne savais pas quoi faire, j'étais pétrifiée, je n'avais même pas la force de parler en chuchotant de ce qu'il se passait avec les autres à mes côtés. Je n'avais la force de rien, j'étais paralysée.
"Fermez-là ou je vous descent tous !"
Petit à petit un brouhaha avais commencé à se former mais il avait bien su comment l'arrêter net. Le silence régnait en maître à présent dans la salle, il n'y avait plus aucun bruit.
Quelques instant plus tard, quelqu'un entra dans la salle.
"Boss, la police est devant la banque."
"Très bien, on va pouvoir commencer alors. Surveille les otages je vais entamer les négociations."
Leurs "Boss". Je ne voyais pas leurs visages mais je sentais dans sa voix qu'il n'avait aucune crainte. C'etait comme si il avait l'habitude de faire cela. Il semblait serein, cela en était presque déconcertant. Il sorti de la salle suivie de son collègue et nous entendîment sa voix retentir dans le hall.
"Écoutez-moi bien, on ne fera pas de mal aux otages si vous nous laissez partir tranquillement.
...
Je devrais peut-être tirer une balle à l'un d'entre eux alors ?
...
Non ? Vous voyez bien qu'on peut trouver un terrain d'entente.
...
Si vous nous laisser partir tranquillement non, on ne leurs fera rien.
...
Non, nous ne leurs avons rien fait.
...
Très bien, venez capitaine.Les deux hommes entrèrent dans la salle et le dénommé capitaine inspecta les lieux ainsi que chacun d'entre nous. Après son inspection, il pencha la tête sur le côté et s'adressa à ses collègues par sa radio.
"Radio ? Les otages n'ont rien."
Les deux hommes ressortirent nous laissant dans l'attente. C'était long, la tension dans la salle était palpable, tout le monde voulait sortir sain et sauf de cette prise d'otages. Après environ une quinzaine de minutes, le braqueur entra de nouveau et s'avança vers nous.
"Toi, toi et toi. Levez-vous dépêchez-vous.
Nous nous exécutâmes puis un de ses hommes nous guida à l'arrière de la banque ou se trouvaient quatre van à l'attente. On nous fîmes monter à l'arrière de l'un d'entre eux. Je me retrouvais maintenant otage avec deux autres hommes, j'étais là seule femme.
"Boss, on a tout ce qu'il nous faut on peut y aller." Annonça un des braqueur à la radio.
"Très bien. Tout le monde, revenez on y vas." Ordonna le Boss.
En moins d'une minute, tout ses hommes qui étaient encore dans la banque se replièrent et une fois tout le monde embarqués, ils démarrèrent, puis commença une course poursuite enragé entre la police et les braqueurs.
Nous nous retrouvions avec le boss ainsi qu'un homme dont on ne voyait pas les yeux, car en plus de sa cagoule, il portait un bandeau, et il y avait deux hommes à l'avant. L'un conduisait et l'autre était sur le siège passager d'à côté.
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The King of Mafia [Sukuna x Reader]
FanfictionTout a commencé un soir où j'étais affalée sur un comptoir dans un bar m'appitoyant sur mon sort. Un homme vint s'assoir à côté de moi. J'avais bien remarqué qu'il n'était pas quelqu'un avec qui il fallait jouer. Ce n'était pas quelqu'un de commode...