The King of Mafia [Sukuna x Reader]

Chapitre 6 : Le QG

"J'accepte ton offre."

Il me relâcha et m'adressa un sourire satisfait avant de se reposer contre l'encadrement de ma porte.

"Dans ce cas, prépare tes affaires, tu commences ce soir."

J'étais tellement heureuse d'avoir trouver un nouveau boulot que je ne réalisai pas tout de suite ce qu'il venait de me dire. Quand je m'en rendis compte je commençai à m'agiter.

"Co-Comment ça je commence ce soir ?! Préparer mes affaires ?! Je dois déménager ?!"

Une montagne de questions de ce genre me passais par la tête. Sukuna se rapprocha de moi le visage ferme et me donna une pichenette sur le front pour me remettre les idées en place.

"Si tu ne me laisse pas parler comment suis-je sensé t'expliquer ce qui va se passer Chaton ?"

Je me tue un peu gêné de mon comportement et lui laissai la parole. Super la première impression devant mon nouveau patron...

Il commença à se déplacer dans toute la maison inspectant les meubles et les coins minutieusement un par un puis il revint en me parlant tout bas cette fois.

"En effet, tu vas déménager dans un appartement plus proche de notre QG à Kabukicho comme ça tu seras plus proche de nous. Ce sera plus facile pour nous et pour toi pour qu'on se rejoignent.
Ensuite, je paierai le loyer de ton appartement pour les trois premiers mois, pour le reste tu te débrouilleras.
Dans l'immeuble, sur ton palier, il y aura quatre appartements. Deux de mes hommes seront tes voisins de paliers, je préfère mettre de la sécurité au cas où si d'autre personnes des autres clans chercherait à te faire du mal. Étant donné qu'ils sauront que j'ai recruté quelqu'un d'autres, il chercherons à te trancher la gorge.
Tu auras également une chambre à notre QG pour la sécurité encore au cas où si il est trop tard pour te ramener ou si on est trop occupé."

Il marqua un temps de pose et alluma une cigarette qu'il sortit d'une boîte de sa poche. Il en prit une bouché et me tandis la main.

"Donne-moi ton téléphone."

Je pris mon téléphone qui était dans ma poche et je lui tandis sans trop comprendre ses intentions, ce que je regrettai tout de suite.
Aussitôt qu'il l'eu en main, il le lâcha par terre et l'écrasa d'un coup de pied vif.

Je restai estomaqué par son geste, il venait de mettre mon téléphone en pièce. J'avoue que oui, je voulais changer de téléphone mais quand même...Je lui lançai un regard méprisant et il me répondit d'un regard froid en me dominant de toute sa hauteur. Je capitulai malgré moi et détournai le regard. Il me tendit un téléphone à clapet et continua.

"Ceci est un nouveau téléphone. Il y a seulement les numéros dont tu auras besoin, le miens également, Appelle moi seulement si tu es en danger. Prépare tes affaires pour ce soir et demain je te montrerai ton appartement.
Pour le moment c'est tout ce que j'ai à te dire. Fais gaffe à toi, tu travailles pour la mafia maintenant."

J'aquiaissai de la tête uniquement et me dirigai vers ma chambre. Sa dernière phrase me restai en travers de la gorge et elle ne cessai de tourner dans ma tête..."la mafia"...
Arrivé dans ma chambre, je pris un sac de voyage et engouffrai tout ce dont j'estimais nécessaire. Après avoir finis de préparer mes affaires, je revins au salon ou Sukuna m'attendais toujours au même endroit, le regard au loin, profitant de sa cigarette. À ma vue, il me rejoignit et me pris les sacs des mains.

"Allons-y."

Nous sortîmes de l'immeuble ou se trouvait désormais mon ancien appartement et entrâmes dans une voiture qui nous attendait.
Cette voiture était elle aussi noir avec des vitres teinté comme les vans dans lesquelles ils nous avaient fait monté. J'en déduis donc que toute leurs voitures étaient noir, ce qui ne m'étonnai pas d'ailleurs.

Après environ une vingtaine de minutes de trajet, nous arrivâmes devant une grande maison japonaise entouré d'une immense barrière. Des hommes ouvrirent cette dernière puis nous roulâmes doucement vers l'intérieur.
Je commençais à stressé, je me rendais compte que je n'y connaissais rien, que c'était un nouvelle endroit avec de nouvelles personnes et plus précisément : des criminelles. Mais le choix était fait, c'était ici que j'allais travailler maintenant.