The King of Mafia [Sukuna x Reader]

Chapitre 19 : On règne

Bonjour/Bonsoir 👋❤
Je suis de retour pour un nouveau chapitre comme je l'avais promis et qui est un peu plus long que les précédents, j'espère que l'attente n'a pas été trop longue et j'espère que vous apprécierez ce chapitre ! Je vous laisse avec la suite...
Enjoy !
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"Tu te rappelle du plan n'est-ce pas ?"

J'étais dans une voiture à l'arrêt, dans le parking d'un grand bâtiment. Sukuna, Gojo et Yuji  étaient dans la voiture avec moi. Nous étions tous bien apprêtés.

"Évidemment, je ne suis plus une débutante."

Le mafieux m'adressa un sourire confiant et j'ouvris la portière pour sortir du véhicule. J'évacuai les derniers ressentis de stresse et me dirigeai vers la grande porte ornée. J'étais habillé d'une grande robe noire à bretelle fines, décolletée à l'avant et échancré sur le côté de ma cuisse droite. Je vous laisse deviner qui a dû choisir cette robe.

J'entrai donc dans le hall rempli de monde et me fit accueillir par les gardes à l'entrée. Je leurs lançai mon meilleur sourire charmeur et continuai mon chemin vers une table vide au fond de la salle. Je pris place et m'adressai doucement à mon mini micro.

"Je suis dans la salle."

"Super Chaton, maintenant tu sais ce que tu dois faire. N'oublie pas que en cas de soucis, si jamais le plan tourne mal, tu nous le dis et on rapplique."

"Compris."

Un serveur s'approchant de moi manqua de me faire sursauter et me proposa un verre de champagne. Je saisie la coupe en le remerciant avec mon meilleur sourire et pris une petite gorgée afin de garder toute mes neurones en place.

Je voyais certains hommes me fixer et je priai pour que l'on ne me reconnaisse pas avec le masque car oui, nous étions à une soirée masqué. Un peu comme un bal masqué sauf que là, c'était une fête importante d'un grand mafieux. Un mafieux que je devais éliminer d'ailleurs.
Cyrus Daliva, un chef d'un des plus grand cartel du Japon. Il était là lui aussi à la vente au enchère donc, je connaissais assez bien son visage. De ce que Sukuna m'avait dit, ils ont collaborer ensemble sauf que Daliva s'est servi d'eux et ils n'ont pas eu leurs part du marché comme convenue. Il nous devait 10 millions de yens et Sukuna n'était pas du genre pacifiste.
Ce mec adorait la violence, j'avais l'impression que sa l'arrangait un peu de pouvoir l'éliminer. Je souriai un peu en repensant à ce gars qui malgré tout m'avait fait craqué.

Les lumières s'éteignirent soudainement et un projecteur éclaira précisément une partie de la salle. L'homme de la soirée fit son apparition sur le devant de la scène accompagnée de deux de ses chiens de gardes.
Je crispai un peu la mâchoire car je savais que ça n'allais pas être facile.
Je le laissai terminer son petit discours, puis il se dirigea vers ses invités près du bar. Je me levai discrètement pour rejoindre le bar à mon tour faisant mine de vouloir commander. Je lui lançai des coups d'œil de temps en temps afin d'observer ses mouvements et de ne pas le perdre de vue.
Après avoir salué et parlé à tout des invités, l'homme se dirigea vers une porte au fond du hall.
Je le suivis le plus discrètement possible et pénétrai à mon tour dans la salle en faisant bien attention à ne pas me faire repéré. J'entendis alors Daliva indiqué à un de ses garde de se poster à la porte pendant qui se préparait pour pouvoir s'occuper de quelques petites choses dans cette pièce.
Sa voix était clairement significative, il allait sûrement faire venir des femmes pour répondre à ses besoins personnels.
Cela me dégoûtais, vivement qu'on en finnisse. J'attendis alors quelques minutes le temps qu'il n'y ai plus personne dans les parrages et sortis alors mon silencieux. Je le pointai vers le garde et lui mis une balle en plein cœur puis je me précipitai vers lui afin de le poser par terre silencieusement avant qu'il ne s'écroule dans un fracas. Il ne me manquais plus qu'un avant d'atteindre ma cible. Je rangeai mon pistolet et sortit une petite dague à la place. J'ouvrit doucement la porte et aperçu Daliva sans haut, il était juste vêtu de son pantalon qu'il s'apprêtait à retirer. Je ne voulais pas assister à cette vue, il n'avait rien d'avantageux, il avait juste son argent.
Je m'apuiyai au cadre de la porte et toquai trois coup à celle-ci. Il s'arrêta dans son élan et se retourna assez confiant.