4. Son fessier

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PDV Noah:

Le réveil fut quelque peu difficile. A cause d'un certain caporal, hier soir, je me suis donc mise au ménage de ma chambre pendant plus d'une heure sans relâche. Et quand il est venu « inspecter » mon travail, il a fallu que je recommence. Et ce, plusieurs fois jusqu'à ce que ça lui plaise. Autant vous dire que ses attentes au niveau ménages ne sont pas du tout exagérées dans l'animé. Je me suis donc couchée super tard dans la nuit. Évidemment, lui, ça ne le dérange pas puisqu'il dort pas plus de trois heures par nuit. Mais il faut bien sûr qu'il me gâche la mienne. Pendant mon ménage, je cogitais par rapport à la blague que je lui avais préparée. Je regrettais même parfois. Jusqu'à ce qu'il me les brises avec son ménage à la con, ou là, il le méritait. En plus du manque de sommeil et peut être dû à la même raison, un gros mal de tête me serrait comme un étau de part et d'autres de mes tempes.

Je partais donc à la douche et me préparais. J'attache mes cheveux en queu de cheval pour l'entraînement et m'habille, en prenant soin de ne pas mettre ma chemise noir car je risque de prendre chère à cause de ma blague. D'ailleurs, je m'attendais à ce qu'il me réveille d'un coup de pied au cul dans la nuit mais à mon avis, c'est reporter à ce matin alors je dois veiller à rester en vie. Une fois prête, je sors de ma chambre pour rejoindre le réfectoire car mon ventre crie famine. Même si j'ai l'habitude de moins manger, j'avoue que là, me dire que je peux de nouveau manger normalement suffit à me remplir de joie. C'est alors le sourire aux lèvres que je descends les escaliers pour rejoindre le réfectoire.

???: Oh salut Noah, bien dormis?

Armin qui se trouvait derrière moi m'interpellait avec pleins de feuilles en mains et un large sourire.

Moi: Disons que sans les manières du caporal-chef j'aurais peut-être pu profiter un peu plus du repos. Mais sinon, j'ai bien dormi.

On continuait de discuter tout en descendant les escaliers quand d'un coup je m'aperçus qu'on ne prenait pas le même chemin. Alors que lui prenait la porte pour les bureaux des haut gradés, moi je continuais de descendre.

Moi: Bein, ou tu vas?

Armin: Ah oui, je dois déposer ça dans le bureau d'Hanji.

Moi: Ah je t'accompagne.

Je l'accompagne donc jusqu'au bureau de la folle à lunette où elle nous accueillait avec un large sourir et Armin lui donne son petit dossier. Pendant qu'il dépose son dû, je me rendis compte que le bureau du caporal n'était vraiment pas loin. À quelques portes de là seulement. Mince je suis en terrain hostile.
M'a pensé vint se justifier quelques secondes plus tard avec un énorme bruit venant d'une des pièces du couloir.

Livai: NOAAAAAAAAAAAAAH!

Oups c'est l'heure de courir pour sa vie. Sans plus attendre je me rus dans le couloir et cours dans le sens opposé du bureau du caporal en direction des escaliers. De cette manière, il ne me verra pas et j'aurais un peu de répit pour me cacher quelque part. Sur le chemin avant d'arriver à la sortie, je croisais ma sœur qui se dirigeait aussi aux escaliers mais d'un pas évidemment plus lent. Elle ne risque pas la mort elle. Dans ma folle course pour ma survie je pus seulement entrevoir son visage qui soit disant passant, ressemble à rien le matin. Mais c'est pas le moment de divaguer là putain ma vie est en jeu. Sans une pensée de plus, j'accélère le pas, m'enfouit dans les premières marches et les montait pour arriver aux dortoirs des garçons ou je me cache dans la première chambre que je vois. A peine rentrée, je collait mon oreille à la porte pour voir si le caporal s'approchait mais n'entendais qu'un énorme fou rire. Je ne pouvais pas distinguer de qui il s'agissait. Derrière moi, j'entendis un petit cri de surprise étouffé et en me retournant, je tombe sur un Jean et un connie torse nue en train d'enfiler leurs chemises.

Notre rêve devenue réalité Où les histoires vivent. Découvrez maintenant