𝗥𝗢𝗢𝗠𝗔𝗧𝗘𝗦; minsung

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hey! double update :)

-Au revoir Jisung.

-À plus Yiren.

C'est ainsi que nous nous disions au revoir sur le pas de ma porte après avoir fini de réaliser mon devoir maison après plus de trois heures de travail acharné non stop.

Autant dire que actuellement ma tête chauffait de connaissances et de pratique dans le domaine de l'architecture.

Il était 17h15 et nous venions de finir il y avait environ une quinzaine de minutes. Après avoir goûté, la jeune fille voulait rentrer chez elle pour continuer ses fiches de révision.

Elle était motivé elle, moi j'étais claqué au sol.

Bref, c'est après avoir secoué une dernière fois la main en signe d'au-revoir que nous nous étions quittés et je me suis allé me faire un bain réconfortant.

Finalement, je passais du temps dans la pièce d'eau, regardant netflix tout en relaxant mon corps dans l'eau chaude. Si bien que 18 heures arriva rapidement et je sortis en pyjama -toujours mon débardeur et mon short ne l'oublions pas- et je déboulais dans ma salle à manger vide.

Oui vide. Dénué de toute présence. Malgré que ça avait été ma routine pendant un peu plus de trois mois -soit mon entrée à la fac- je m'étais habitué à mon train-train quotidien en solitaire.

C'était juste que ça faisait bizarre dans le sens où je m'étais fait mentalement à partager mon logis avec une nouvelle personne.

Il avait pourtant dit qu'il rentrerai à l'appart après sont entraînement soit vers seize heures ?

Je commençais à me ronger les ongles en me disant que si il lui arrivait quelque chose, je serai dans une sacrée merde. J'allais empoigner vivement mon portable quand je me rendis compte que je n'avais pas son numéro.

-Ah, fais chier !

En plus, je ne pouvais pas sortir de chez moi au risque qu'il se pointe en mon absence pour se retrouver sur le palier.

Dépité dans mon sort, je m'effondrais sur le canapé -en cuir ne l'oublions pas- et m'endormît tout de suite, exténué.

C'est après un temps indéfinissable que je me réveillais en sursaut, en entendant un gros bruit sourd. Ainsi que des coups frappés sur la porte.

En un bond je sautai hors du canapé et mes jambes me guidèrent bien vite à l'entrée où j'ouvris la porte.

Quatre ombres indistinctes me firent face et j'eus un frisson de peur. D'un coup de main, j'alluma la petite lumière de l'entrée et je sursauta en découvrant l'identité des inconnus.

Le « trio » et Minho me faisaient face. Ils avaient tous l'air un peu éméché mais le pire restait mon colocataire. Il était adossé au mur du couloir (en face de ma porte) et, les yeux fermés, il semblait reprendre son souffle.

-Je savais qu'on allait le réveiller. Pouffa un des blonds.

-Je t'avais dis de maintenir Minho pendant que je toquais !

-C'est toi qui comprend rien, dans tous les cas il serait tombé !

-Tu racontes des conneries mon pauvre.

-Et sinon. Murmura la voix grave du noiraud- que je me souvenais être Hyungwon. On peut entrer ?

-Oui.

Un peu sonné, confus -et un peu endormi je l'avoue - je les aidais à placer Minho sur un fauteuil près d'un radiateur. Tandis que je fermais l'appartement, les trois compères s'échouèrent sur le canapé, prenant leurs aises.