Salut salut Les Gadjets ! Aujourd'hui je ne vais pas répondre qu'à une ! Nin deux ! Mais trois questions ! Sinon bah... Je ne vais pas pouvoir tenir une aide complète et les questions on d'un certain point de vue un lien. Bref, je vous laisse découvrir les questions et les personnes qui ont posés la question pendant que je réfléchis à un titre à cette aide :
• Comment faire pour décrire une histoire avec un seul point de vue sans qu'elle soit à dormir debout ? @samuel34
•Comment expliquer des choses sur le passé, quand on est dans un monde imaginaire ? @brunehilde39
•Comment faire le bon choix de « Casting » ? @samuel34
Donc je sais, la dernière n'a rien à faire là et n'a quasiment aucun rapport, mais en fait, sinon, je ne savais pas quand y répondre parce que je pense que la réponse de celle-ci est super courte.
Alors d'abord nous allons dire les quelques cas de points de vus continus (du début à la fin). Il y en a trois principaux, je ne parlerai pas des sous-points de vus :
-Le point de vue omniscient : C'est le point de vue qui je pense est le plus adapté pour raconter une histoire où tu dois en savoir un minimum sur les pensées et agissement de tous les personnages. Ici le narrateur connais le personnage principal, son entourage, leurs passés, leurs mouvement dans le livres et même leurs pensées lorsqu'il a envie de les énoncer. Personnellement c'est l'un des points de vue que j'aime beaucoup utiliser (même si ce n'est pas celui que j'utilise le plus souvent) car cela me permet de dire, cacher les choses et amener à des évènements externes sans que cela ai l'air étrange parce que personnellement je trouve cela tout à fait normal.
-Le point de vue interne : La narration se fait dans l'un des personnages du livre qui principalement est le protagoniste. Mais néanmoins il faut faire attention à certaines choses lorsqu'on utilise ce point de vue. Déjà il faut faire attention au temps. Moi-même des fois j'ai du mal à écrire au présent sans mélanger par réflexe avec de l'imparfait (par exemple les descriptions dont on m'a habitué à écrire à l'imparfait et non au présent). Et il y a le « Je sais tout ou je ne sais rien ». Il faut plus que le précédent PDV (j'en ai marre d'écrire en entier Point De Vue) savoir trouver l'équilibre entre ce que sait ou non le personnage-narrateur. D'autant plus que l'une des particularités de ce PDV est que l'ont peut exprimer librement à la première personne dans un ou plusieurs paragraphes, les sentiments et pensées du personnage. (C'est le PDV que j'utilise le plus souvent par réflexe).
-Le point de vue externe : Celui-ci est peut être le moins utilisé, sans doute parce qu'il n'est pas forcément très explicite ou simple à écrire pour les écrivains très bavards. Je trouve que ce PDV privilège plus que les autres les descriptions physiques et visuelles, car ce PDV ne fait qu'écouter, voir, sentir. Et le narrateur en temps normal ne sait rien et ne fait qu'observer ce qui se passe. Néanmoins c'est un PDV qui peut mettre plus de suspense que les autres. Cependant, il n'est pas simple à écrire. Il faut dire juste le strict nécessaire je pense. Mais tout de fois, il est peut être un PDV qui se met plus à la place du lecteur qui découvre le livre et qui ne sais rien des personnages, plutôt que les deux précédents PDV qui font en sorte que ce soit le lecteur qui s'identifie au récit. En quelque sorte, les rôles sont inversés. (Maintenant ce ne sont que mes opinions.
Maintenant que j'ai longuement parlée des PDV, nous pouvons je pense commencer à répondre à la première question.
Donc beaucoup de personnes pensent qu'écrire une histoire, un roman est simple. Eh bien moi je vous dirai que pas tellement. Au début je le pensais, mais c'est parce que j'écrivais sur le moment et non en suivant une logique ou un plan comme je le fais maintenant pour que mon récit puisse être un minimum correct.
Dans le mot correct, je parle bien sûr de plusieurs choses : il faut que ce ne soit pas du plagié, il faut que ce soit original, il faut que ce soit un minimum français (Je vois bien Lou se moquer de moi et de mes fautes d'orthographes), et bien sûr passionnante. Tout cela est selon moi ce qui fait un bon roman. Maintenant pour qui est de la question que tu me pose, c'est assez complexe d'y répondre. Pour ceux qui ne s'en souviennent déjà pas et qui ont la flemme de retourner au début, la voici : « Comment faire pour décrire une histoire avec un seul point de vue sans qu'elle soit à dormir debout ? ».
Eh bien nous avons parlés des points de vus. Maintenant il faut correctement les choisir en fonction de l'histoire et du comment vous voulez la raconter. Et pour cela, je ne peux pas vous conseiller car cela est un choix de l'auteur lui-même. En général il se fait par instinct.
Mais écrire une histoire qui n'est pas à dormir debout est simple en ne l'étant pas. Je m'explique :
Je pense que pour écrire un livre qui n'est pas à dormir debout, il faut que l'histoire soit originale. Écrire un livre linéaire où les personnages ne font rien d'intéressant à le dont de nous faire dormir au bout de trois phrases, surtout s'il est 3 heures du matin. Il faut que sur ce point là, l'histoire sorte du lot.
De plus, il faut que l'histoire soit accrochante et qu'elle donne vraiment au lecteur d'en savourer chaque évènement voire même chaque mot. Mais pour cela, il ne faut pas être Joséphine l'Ange gardien et claquer des doigts pour que ça arrive, cela vient bien sûr avec l'expérience et bien sûr l'instinct. Et il faut mettre le lecteur en allène ! (Gadi :Ça se dit ?) oui il me semble. Il faut vraiment qu'il s'attende sans s'y attendre à la suite.
En parlant de ça, le Most je trouve est quand on écrit quelque chose de totalement inattendu pour le lecteur. Prenons un exemple, disons une fille doit faire son choix entre un bad boy et un good boy, et tout le monde sait qu'elle choisira le bad boy parce qu'elle est plus proche de lui, qu'elle le kiffe grave et autre. C'est là qu'elle choisit , l'autre ! Pourquoi ?! À vous de surprendre et faire comprendre au lecteur ce que j'appelle plus couramment les « retournements de situations » parce que je trouve qu'il y en a de moins en moins dans les livres, et je ne suis pas si différente moi-même. Vous voyez ce que je veux dire ?
Pour ce qui est de la seconde question : « Comment expliquer des choses sur le passé, quand on est dans un monde imaginaire ? ».
Perso je ne trouve pas cela très compliqué. C'est un monde imaginaire, personne ne le connaitre mieux que toi. Donc pourquoi se casser la tête à écrire un truc débile que tu invente sur le moment comme improvisation alors que ton monde tu dois le connaitre par cœur que ce soit le passé présent futur. Pour moi ça à l'air évident, mais maintenant je ne sais pas pour toi.
Justement, il faut jouer sur cet avantage du « personne ne connait vraiment ce tout nouvel univers » pour faire quelque chose d'original et qui surprenne. Maintenant ce n'est que mon avis comme toujours. Et il en va de même pour le passé des personnages réels ou fantasy-fantastique, il faut jouer sur ça, surprendre le lecteur avec une histoire banale ou fantastique de leur passé et cela sera je pense très bien. Il faut tout de même que le passé du monde ou des personnages soit tout à fait possible. Ne dites pas qu'il a rencontré un martien de la planète uhzjbfouizafnza et que donc c'est pour ça que le personnage a une grande balafre sur l'œil. Soyez un minimum crédible...
Pour finir, nous allons répondre à la dernière qui demande comment bien choisir les Castings. Personnellement, Je trouve les castings TOTALEMENT inutiles si c'est pour le prendre au sérieux. Si tu mets des idoles dans ton livre, les gens comprennent rapidement. Je pense que ce n'est pas vraiment une question qui se pose car les castings sont facultatifs et la plupart du temps sont même oubliés. Maintenant si tu prends tellement d'importance à ça, je ne suis pas vraiment la personne à qui il faut demander ce genre de chose. Je dirai qu'il faudrait trouver une personnalité adapté au caractère de ton personnage. Mais l'apparence risque de ne pas coller, et vice versa. Donc la questions des Castings est assez délicats et perso : inutile. Car hormis ton livre devient aussi connu qu'un best seller et que donc trouve enfin son adaptation cinématographique, là c'est peut être utile et encore. Sinon, c'est inutile je pense.
Voilà, je pense que j'ai répondu à tout. Ai-je correctement répondu ? à vous de me le dire. Commentez, votez et je vous dis à la prochaine les Gadjets !
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