« Je...hum...si à chaque fois que je pensais à toi, il poussait une fleure...alors la Terre serait un immense jardin de roses ? » tenta vainement, d'une voix peu sereine, l'homme...effrayé d'embêter son âme-soeur après l'accident de la dernière fois.
Eraser, qui lisait un journal du multiverse, le ferma et désormais observait l'intrus. Son regard était redevenu aussi froid que la première fois qu'ils s'étaient rencontrés, annonçant qu'il ne souhaitait plus jamais revoir son contraire. Ce dernier le comprit également, mais continua d'observer ses pupilles d'une délicate couleur ciel. Il n'avait pas l'intention d'abandonner.
« Oh, génial, j'aurai encore plus de trucs à détruire. » ironisa vachement le squelette, retournant à son activité.
Reboot fit la moue, voyant que visiblement la discussion se voulait courte. Néanmoins, sa détermination ne fit que grandir en percevant un brin d'espoir pour leur relation futur. Le Sans noirâtre se retrouvait, toutefois en manque d'inspiration pour les dragues et donc prit son petit bouquin sur le sujet. Il le feuilleta quelques minutes, ce qui énerva passivement son contraire, et s'arrêta soudainement sur un passage que celui-ci trouvait intéressant.
« Si l'amour est un crime, prends-moi pour victime ! » dramatisait le petit, une main sur son visage, à la Mettaton, et l'autre dans son livre.
Franchement, n'importe qui d'autre aurait rigolé, alors...n'était-ce pas normal que Eraser s'esclaffe à sa bêtise légendaire ? Pourtant, le dragueur ne pu s'empêcher de bleuir à son rire cristallin, angélique et harmonieux qu'il venait de produire chez le destructeur. Son rire semblait...si juste dans ses oreilles (?), comme si tout valait la peine d'être vécu. Tout valait la peine pour entendre ses éclats de joie avec lui à ses côtés.
Même si ceux-ci se transformèrent rapidement en pleures.
VOUS LISEZ
He loves me, but I don't.
Fanfiction« Je mettrai le bazar et la destruction, dans les mondes autours de toi, juste pour ramener la magnifique lueur de tes yeux, alors que des cries d'âmes qui brûlent les alentours ne laissent rien d'autre que l'intensité flamboyante de mon amour étern...