Chapitre 1

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Je me suis réveillée avant lui. Je me réveille toujours avant lui. Je me tourna vers lui, la tête sur mon oreiller. Du bout du doigt, je suivi le pli que formait ses réflexions dans son front. 14 ans étaient passés depuis que Gally avait tué Chuck sous l'emprise du WICKED. 14 depuis que Newt lui avait demandé de le tué et qu'il avait exécuter sa demande. 14 depuis que Teresa s'était faite écrasée par un bloc de pierre durant la fuite au WICKED. Toutes ces morts ont profondément touchés Thomas. J'ai beau lui répéter qu'il a fait le bon choix en tuant Newt, il s'en veut encore tellement.

Quand il se réveilla, j'étais perdu dans mes pensées. Il ouvrit l'œil droit, le ferma, puis il ouvrit l'œil gauche, le ferma, et ouvrit les deux. On s'observa longuement, et il referma les yeux. J'éclata de rire et il me fusilla du regard.

- Brenda! Chut! Tu vas réveillé les enfants! me gronda-t-il

-Thomas, il est 9 heure du matin! Il est temps qu'ils se réveillent!

-Oui mais on est bien dans le silence, non?

Il était trop tard. Notre petit Newt, 5 ans, sautait dans notre lit avec de grands éclats de rire. J'éclata de rire à mon tour avant d'attraper mon premier enfant et de le chatouiller. Dieu savait pourquoi, notre petit garçon avait décidé de contrer nos gènes aux cheveux bruns foncés pour avoir une masse de cheveux blonds au reflets roux qu'il refusait de coupés, comme le défunt ami de son père, Newt. Lorsqu'il avait vu notre enfant, Thomas avait insisté pour que ce garçon s'appelle Newt. J'avais accepté, comprenant qu'il avait BESOIN que cet enfant porte le nom de son ami.

Je jeta alors un coup d'œil vers  la porte et vit nos deux autres enfants, Élionar et Aurélien. Les deux hésitaient à venir nous rejoindre, piétinant sur le cadre de porte de notre jolie maison. Thomas les vit lui aussi et leurs fit signe de venir d'un mouvement de tête. Ils se regardèrent et, d'un regard entendu sautèrent à leur tour dans notre grand lit. Nous nous enlacèrent dans un immense câlin de famille, quand Minho entra sans cogner dans la maison.

Lui et Sonya étaient nos voisins dans face et ils savaient qu'ils pourrait compter sur nous peut importe les circonstances. Sonya était enceinte de son deuxième enfant un garçon cette fois. La première s'appelait Rachel en hommage à l'amie décédée de Sonya. Minho et elle étaient les parrain/marraine de Newt. Minho nous avait gentiment menacés de nous donner la mort si il n'était le parrain de notre Newt. Évidemment notre choix de parrain et marraine avait été arrêté avant cette menace.

Enfin bref. Quand Minho est entré dans ja chambre, quand nous a vu dans cet immense câlin de famille, il s'est tout de suite plaint.

-Ehh! Moi aussi je veux un câlin!

Thomas éclata de rire.

-Et bien viens espèce  de tocard de  grand bébé!

Les enfants, eux étaient tout content de voir leur oncle. Et ils le faisaient savoir.

-Tonton Minho! Tonton Minho! piaillent-ils

Minho étais content d'observer sa popularité auprès de mes enfants. Il se joint donc à nous. Nous passèrent plusieurs minute ainsi, avant que le meilleur ami de Thomas nous fasses savoir à moi et à mon amoureux qu'il était d'aller travailler.

Nous déjeunèrent tout trois avec les enfants, les habillèrent et nous les envoyèrent à l'école où Harriet était la directrice. Tandis que nous, nous allèrent rejoindre Gally, Jorge et  Aris  pour une nouvelle journée de travail. Gally et Aris construisaient tout se dont on avait besoin , les connaissances de Jorge en médecine faisait de lui notre médecin, Harriet était la directrice, d'autres femmes et hommes l'aidaient à tenir l'école, Thomas et Minho faisaient de tout mais toujours ensemble. Et moi, j'étais chargée de ramasser tout se que je trouvais d'intéressant, accompagnée d'une équipe d'une dizaine de personnes.

La vie avait repris un cours normal. Pourtant, soudainement, de nombreuse personne se mirent à pointer quelque chose, au loin. Thomas, Minho et moi nous regardèrent ne voyant pas ce que les gens pointaient. Nous jouèrent des coudes et des pieds pour s'avancer dans la foule et nous les virent.

Des gens. Mais pas n'importe qui. Des fondus. Des tonnes de dizaines de fondus, qui approchaient dangereusement vite de nous.

Après le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant