Chapitre 25

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Dimanche 21 juin à midi :

Zayn et moi on ne dormait plus mais on ne bougeait pas du lit. Il s’amusait à jouer avec mes cheveux et à me faire des bisous un peut partout : le bout du nez, le coin des lèvres, le front, la paupière, la mâchoire, l’oreille, la clavicule, le cou, la nuque…Il s’était figé.

                        -What? (Quoi ?)

PDV Zayn :

Elle avait un pansement dans la nuque. Une parti était décoller et je pouvais voir un tatouage. Un petit « & ».

                        -What is it ? (C’est quoi ça ?)

Depuis quand elle avait ça dans la nuque. Je ne l’ai jamais vu.

                        -The tattoo? We do this yesterday, with Ben. He has got the same. (Le tatouage? Nous avons fait ça hier, avec Ben. Il a le même.)

Ils s’étaient fait faire le même tatouage. Elle l’a fait sans m’en parler et avec un autre homme. Qu’il lui fasse des bisous et des câlins, ça passait. J’arrivais encore à me contenir un minimum. Mais un tatouage ! Je suis jaloux. Je sais que c’est bête, mais je suis jaloux. Cette marque indélébile, il serra avec elle jusqu'à la fin des temps. Moi aussi je voulais qu’elle pense à moi pour toujours. Qu’elle m’ai dans la peau.

                        -It was your idea? (C’était ton idée ?)

                        -Yes, Why? Zayn, you scared me. (Oui, Pourquoi? Zayn, tu me fais peur.)

Je suis descendu dans l’entrée, entre le salon et l’îlot de la cuisine. Elle me suivait. Je me suis retourné vers elle et on a commencé à s’engueuler. Plutôt violamment. A force de crier on avait réveillé les autres. Ils étaient tous en haut de l’escalier à nous écouter. J’étais vraiment trop possessif. Je ne voulais pas qu’elle soit à quelqu’un d’autre. J’avais envi de taper dans quelque chose. J’ai alors balancé mon poing dans le mur juste a coté de moi. Ma main me faisait mal mais je m’en fichais. Je suis remonté, me suis habillé et suis allé faire un tour. J’ai pris la voiture de Brit.

PDV Liam :

Je n’avais jamais vu une scène de ménage aussi violente. Ils étaient vraiment passionnels. Ils pouvaient être tellement heureux que même le Dalaï-lama ne dégageait pas autant d’amour, et s’engueuler avec tellement de rage que toutes les guerres du monde paraissaient ridicules. Quand Zayn aime, il ne fait pas semblant, il le fait a fond. Il devient quelqu’un d’autre. Il devient une personne colérique, jaloux comme pas possible, ultra-protecteur et possessif, une personne dont les humeurs change si rapidement que l’on se demande ce qui se passe dans sa tête. Emilie était pareille. Brit nous avait dit qu’elle ne s’attachait rarement aux personnes mais que lorsqu’elle aimait c’était à la vie, a la mort. Et là, ça ressemblait plus à la mort : Ils hurlaient littéralement, tellement fort que nous étions tous sortis de nos chambres. Em criait en français et Zayn paraissait comprendre. Quand Zayn est remonté, il nous est rentré dedans, et quand il est descendu il ne nous a pas regardés. Mauvais signe. Quand Zayn avait besoin de sortir, en général, on ne le revoyait pas avant minimum 3 jours. Et là, il fallait vraiment qu’il se calme les nerfs. Bon, il fallait que l’on s’en occupe. On ne peut pas les laisser comme ça. J’ai alors regardé Niall. Il paraissait d’accord avec moi.

                        -Ok, Niall. You try to calm down Em and I try to talk with Zayn tomorrow. He went to make a mistake. Good luck man. (Ok, Niall. Tu essaie de calmer Em et je vais essayer de parler avec Zayn demain. Il vat faire une bêtise. Bonne chance mec.)

                        -She gone to kill me. (Elle va me tuer.)

                        -No. I hope. I think you have to wait a moment before but, she like you. (Non. J’espère. Je pense que tu devras attendre un moment avec mais, elle t’aime bien.)

PDV Em :

J’étais très, très, très, très, très, très en colère. Hors de moi si vous préférez. Il fallait que je sorte. Que je me calme, si nan j’allais faire n’importe quoi. Je suis alors monté m’habiller (http://www.polyvore.com/emilie9/set?id=48217990&.locale=fr) et prendre mon maillot de bain, une serviette et suis allé nager a la piscine municipale. Longtemps. Très longtemps. Il n’y avait jamais personne et j’étais la seule à y aller assez souvent, c’est pour ça que j’avais les clefs. Il n’y avait qu’une seule autre personne qui les avaient et c’était Robert, le gars de l’entretient. Mais il était parti en vacances alors j’allais pouvoir être seule. J’ai nagé toute l’après midi et toute la nuit. Le lendemain matin, j’étais épuisée. Je n’avais pas mangé hier et avais nagé 24 heures non-stop. Je m’étais endormie dans les vestiaires. 

LIFE IS A BITCH saison 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant