LIFE IS A BITCH saison 1

Chapitre 36

Vendredi 5 juillet a 15 heures :

PDV Zayn :

C’est ce soir qu’on part pour Paris et vu que nous quittions la maison définitivement, il fallait tout ranger et tout remettre dans nos valises. Bref, nous avons passé la journée à ranger et à appeler Niall. S’il lui était arrivé quelque chose, on en serait malades. Quand on demandait à Paul s’il avait des nouvelles de Niall, il nous disait d’arrêter de lui poser cette question.

Em était vraiment beaucoup mieux qu’hier mais pas aussi bien qu’avant. Elle souriait, c’était déjà beaucoup. Elle avait préparé sa valise en pyjama (ce qui était super sexy vu qu’elle ne portait que mon tee-shirt avec marquer « SMART » dessus, qui était trop large pour elle et lui arrivait juste en dessous des fesses…), elle s’est donc habillée pour sortir la dernière (http://www.polyvore.com/cgi/set?id=50313861&.locale=fr ). Il est 23 heures 30, nous partons à la gare en taxi et arrivons à 2 heures du matin dans notre hôtel à Paris. Paul nous y attend déjà et nous donne notre emploie du temps pour la journée. Em, dort presque debout. Je laisse alors les garçons avec Paul et monte avec Em en lui portant ses valises dans la suite. Je les pose dans l’entrée puis la rejoins dans la chambre.

PDV Em :

Je suis tellement morte que je crois que si une armée de zombie m’attaquait, je ne serais même pas en état de me défendre. Je rentre dans la chambre sans me soucier si Zayn a réussi à monter les escaliers avec ma valise et mon sac qui pèse 2 tonnes. Je m’approche du lit et m’apprête à m’écrouler dessus quand je sens des mains sur mes hanches et des baisers dans le cou. Zayn.

                        -Tu sais que ça fait 3 jours que je suis sorti de l’hôpital… ?

Je me retourne pour lui faire fasse et passe mes mains derrière sa nuque. Je le regarde dans les yeux. Je ne dois pas être dans un super état avec mes cheveux dans tout les sens, mais il y avait une étincelle dans ses yeux comme si j’étais la plus belle chose qu’il n’a jamais vue. Ce qui était de loin impossible.

                        -Zayn, je sais. Mais là tout de suite tu vois, je suis morte de fatigue, mon jeans me sert et j’ai juste envie de prendre une douche mais je n’ai même pas la Foix tellement j’ai envie de dormir.

                        -Je peux t’aider pour ton jeans…Ok, j’ai compris. Pas grave. J’aurais essayé au moins.

                        -Oh, ne boude pas !! Approche…

Je me mets un peut sur le bout des pieds et l’embrasse longtemps.

                        -Aller, vient te coucher avec moi. Je suis vraiment fatiguée.

                        -Va y je te rejoins. Je vais parler a Paul avant pour notre interview de cette après midi.

                        -D’accord. Je te dirais bien que je t’attendrais pour m’endormir mais je pense que je n’en suis pas capable…

                        -Ne t’en fais pas. Em, tu sais qu’on est le 6 aujourd’hui ?

                        -Oui. Pourquoi ?

                        -Car, aujourd’hui ça fait 1 mois qu’on est ensemble. Le 6 juin 2011 présisément tu m’as dit « If you jump, I jump ». Tu t’en souviens ?

                        -Oui je m’en souviens. Mais je pensais que toi tu avais oublié.

                        -Je n’oublierais pas le plus beau jours de ma vie tout de suite :rire: Bon, je vais y aller. Je reviens vite.

Je me mets alors sous la couette. Il commence à se diriger vers la porte, mais je l’appel avant qu’il ne sorte :

                        -Zayn !

                        -What ?

                        -I love you.

                        -I love you too.

Il me sourit comme si c’était quelque chose d’extraordinaire. Mais c’est ordinaire pour moi. Je l’aime tout les secondes, de toutes les minutes, de toutes les heures, des touts les jours, de toutes les semaines. Je l’aime tout simplement. C’est ça mon quotidien. Avant mon quotidien était d’aller en cours, de passer la journée seule, à écouter des profs, a rentrée «  chez moi », a prendre ma planche et a surfer jusqu'à ce que le soleil soit coucher et de rentre en douce pour ne réveiller personne.

Je me suis alors endormie sans m’en rendre compte.