Chapitre 3

21 2 0
                                    


Voilà déjà deux mois que Kageyama était sortit de l'hôpital, notre petit roi était retourner par obligation vivre chez ses parents à Miyagi. Il n'avait toujours pas réagis à son état...

Ce matin là en novembre à Miyagi, il pleuvait. Kageyama était devant la fenêtre de ça chambre, le regard perdu sur le paysage qui s'offrait à lui.

Face à lui il y avait l'immense jardin bien entretenue de ses parents, le regard de kageyama se perd sur un vieil arbre nue, les dernières feuilles qui lui restait tombèrent à cause des rafales de vent, quelques oiseaux encore présent dans la région grelottaient de froid.

Le sol était totalement boueux, les rosiers était ravagé, un temps bien chaotique pour notre petit roi... il y avait un grand silence dans la pièce, seul le bruit des branches qui claquaient l'une contre l'autre, le sifflement du vent et le fracas de l'eau qui s'abattait contre les carreaux retentissaient.

Kageyama resta des heures face à ce spectacle sans bouger d'un centimètre. Le jeune homme n'avait même pas remarquer que ça mère venait de rentré de son voyage d'affaire

- kageyama ?

La jeune femme avait appeller son fils plus d'une fois avant de s'approcher, elle pose une main lentement sur l'épaule de son fils qui sursauta légèrement. Le jeune homme tourna son regard vide vers ca mère d'un air de dire: oui ?

Ça mère avait déjà et encore les larmes aux yeux, elle avait le coeur brise de voir son fils dans cet état. Lorsqu'elle était aller chercher son fils à l'hôpital le médecin lui avait dis que kageyama ne remarcherais peut-être plus jamais, mais il était tout aussi possible qu'il remarche un jour...

- j'ai ramener du poulet curry comme tu aime viens manger.

La jeune femme tourna les talons, la mère de kageyama était femme d'affaire et divorcée depuis bien longtemps, fils unique, il n'avait pratiquement jamais connu son père, et il a grandit seul car ça mère été toujours en déplacement pour son travail.

Kageyama laisse tomber ses mains ganté sur les roues de son fauteuil pour faire un demi tour et ce dirige vers la table. Il ce mit à manger toujours silencieux. La pièce était très grande et bien silencieuse, seule les bruits de couverts résonnait et le téléphone de la jeune femme.

Kageyama avait l'habitude de n'échange que quelques mots avec ça mère, le travail de ca génitrice lui avait privé de toute enfance... c'était comme deux étranger qui ce rencontrait une fois de temps en temps dans la même pièce à partager un repas souvent acheter dans des commerces que fait maison.

Après un petit moment le jeune homme allait partir mais ça mère claqua sa fourchette dans l'assiette.

- Kageyama ! Parle moi bon sang ! Tu na rien dis depuis 2 mois ! Je n'en peu plus ! Tu m'entend ! Je n'en peu plus !!

Le jeune observe ça mère fondre en larmes, elle avait les coudes sur le bord de la table, ces mains plaquer contre son visage, ses épaules tremblaient tout comme sont corps frêle et petit. Ça mère avait l'air épuisé... La seule chose qu'il ai réussis à dire en guise de réponse fu:

« je veux partir. »

————-

- Oikawa ! Tu n'y ai pour rien si nous avons perdu en demi final !

- ferme la. Je quitte l'équipe je quitte la région, j'ai reçu une offre plus alléchante que cette stupide équipe ! Le Japon en personne me propose une place de passeur titulaire j'ai pris ma décision tu ne pourra rien y faire Iwaizumi.

Sur ces paroles le brun attrape son sac de sport quittant les vestiaires. En réalité oikawa ne voulait qu'une chose... quitte ce club auquel il avait retrouver son rival kageyama tobio.

Blessure Où les histoires vivent. Découvrez maintenant