.ENLEVEMENT.

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25 octobre 2004

Après un longue journée à la Faculté de Rabat, je réfléchis a ce que je pourrais bien me faire a manger ce soir. La journée à été longue et je suis exténuée, j'ai encore sur charge de devoir a faire et un dossier a remplir,mais peut un porte je sais qu'un fois mes études fini je serais la fierté de mes parents .

Je m'arrête devant l'arrêt de bus de Yacoub El Mansour et au loin je vois une grosse 4X4 noir, mon coeur s'accélère,j'ai un présentement , cette voiture ne m'inspire guère confiance.

Celle-ci s'approche et s'arrête la porte ouverte juste devant moi,deux homme m'attrape et me tire a l'intérieur de celle ci.
Je crie,voyant les gens autour s'arrêter pour regarder ce qui ce passait mais personne ne bouge, je me débat,je hurle,je frappe mais personne ne vient, personne ne cillent.
Je me rends compte que je suis dans la voiture, et que celle ci roule a toute vitesse, quatre homme sont  a l'intérieur, un a ma droite l'autre a ma gauche et deux devant ,l'homme qui conduisait la voiture avait des lunettes de soleil.
Je me mis à pleurer
« -je vous en supplie relâcher moi ! Je vous jure que je ne vous dénoncerai pas ! Je me tairais c'est promis mais juste relâcher moi, de toute façon je ne suis pas la fille que vous voulez relâcher moi! Je vous en supplie! »L'hommes  a ma droite ce tourne violemment vers moi, lève la main et me gifle.

J'ai l'impression que ma tête a fait un trois cent soixante, je suis sonné par la violence de sont gestes. Je me tus ,je compris que tous ça est du sérieux. Ils vont m'emmener et je ne sais ce qu' ils vont me fair ,probablement le pire .

« Calme toi Fatima respire ».

Je sens mon cœur s'apaiser petit a petit et je commence a me concentrer sur le route.
Nous somme sortie de Rabat et nous entrons actuellement dans une sorte de champ, le champ de Sidi Yahia Zhir .

Je ferme les yeux. Et respire.
« bandez lui les yeux dit la voix devant »
Je sens la voiture entrer sur une piste,j'entends des les cailloux craquez sous les roues.
« Calme toi Fatima respire,concentre toi »
Puis la voiture tourne à gauche. A partir de la je commence a compter, mes battements de cœur.

.CINQ SUR CINQ .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant