.DEUX SUR CINQ.

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⚠️ âme sensible.
4 septembre 2004

Je sort de cette maudite maison. Une fois le portail refermé je vérifie si personne n'était dans les parages. Personne. Je suis rassuré.
Dans exactement quinze minutes,Mourade sera mort. Je rigole doucement. Enfin un de parti. Il en reste quatre . Il faut que je me concentre pour ne pas me fair repérer,ce n'est qu'une questions de temp pour qu'il retrouve Mourade. A moi de fair le crime parfait. Une chose de travers et ma vengeance tombe a l'eau.

Une fois cher moi j'attrape mon magnétophone .
Personne numéro deux ; L'homme de la gifle.
Isam.

Je me remémore sont visage . Grand. Trop grand. Muscler. Trop fort pour moi. Trop dangereux.
Plans A; observation.

5 septembre 2004.

Il est sept heur du matin. Je m'habille de façon a ce qu'il me reconnaisse pas.De façon a ce que je passe inaperçu. Je m'habille simplement avec un teeshirt et un jean. Sauf que sur je met une perruque et ajoute du maquillage par ci par la.
Je me regarde dans le miroir. Encore une fois je suis une fille comme les autres. Parfait.

Je sort et me rend a l'adresse que m'a dit Mourade.

Arriver la bas il est huit heur. Je le vois sortir et monter dans ça grosse voiture.
« Encore un fils de bourge »

J'interpelle un taxi qui passait
« Suivez cette voiture s'il vous plaît »

La voiture démarre et je suis toute exciter.
Alors Isam que va tu faire aujourd'hui ?

Celui ci ce rend a son travaille jusqu'à midi . Ce rend ensuite dans un salle de sport ou ils fait toute sorte d'activité. Quinze heur.
il rentre cher lui .
Quatre heur.
Il ressort changer. Il a du ce doucher vu qu'il a fait du sport.
Il ce dirige vers un café a pied.
Entre. Commende un thé a la menthe s'assoit a la table coller au mure a l'entrée. Je regarde au alentour, aucune caméra de surveillance.

Durent deux autres jour je l'ai suivi ainsi.
Et chaque jour a la même heur il ce rend au même café et a la même place .

Plan B; exécution.
8 octobre 2004

Il est quinze heur quarante cinq. Je le prépare pour aller au café ou ce rend Isam tous les jour à quatre heures. Je m'habille de façons a ce qu'il me reconnaisse pas du tout.
Jean trouer, casquette, vestes en cuir noir, maquillage a gogo, banane autour de la taille,chewing-gum a la bouche. Je me regarde dans le miroir, je ressemble a une vendeuse a la sauvette.parfait.

Je prend le carton remplie de dentifrice que j'ai acheté hier. Et un sac a dos avec des affaires de rechange.Je me dirige vers le café.
J'entre et je me met a vendre mes dentifrices.au bout de quelque minute je le vois ce pointer, je me prépare mentalement. Mais au lieux que ce soit la peur qui monte en voyants sont grand corps sculptés sur mesure, c'est la haine...
Il s'assoit et je vois le serveur avancer vers lui avec une tasse.
« c'est le moment . »
J'avance, et je lui propose mes dentifrices.
« - casse toi salle vendeuse de merde,j'en veux pas de tes dentifrice a la noix
- avec la tonne de sucre sue vous mettez dans votre thé vous en auriez bien besoin monsieur. »
Pendant quelque minute je suis la à négocier avec lui. Puis vient le moment de mettre mon plans à exécution.je prend un aire dégoûté et je me baisse pour ramasser mon carton poser a terre en prenant grand soin de fair tomber ça cuillère.
Et la tous se passe vite mais je vois les choses au ralenti.
A la seconde ou il penche la tête vers le bas pour regarder ou ça cuillère était tombé,je ballais le café d'un regard pour voir si des gens nous regardait,personne. Je passe a l'action, je sort de la poche de ma veste le petit flacons qui contient le poison. En une fraction de seconde je l'ouvre et verse sont contenue dans sa tasse.
Je jette encore une fois un coup d'œil autour de moi, personne ne m'a vue, tous le monde semble absorber par ses occupations. Parfait le tour est joué.
Isam se relève, et moi je le dirige vers d'autre client. Et la j'attend.
Il bout sa première gorgée,puis la deuxième,troisième.il se met a tousser.a s'étouffer.
Je souris. « C'est pas trop tôt »

A peine il s'est levé qu'il tombe tombe a terre.
Il cherche à respirer.
Les gens se lèvent les uns après les autres pour voir ce qui se passe. Ne voyant plus rien je me rapproche.je suis satisfaite de ma vison, Isam est entrain de trembler il y a de la mousse blanche qui sort de sa bouche,et sont visage et bleus. Les gens autour de lui sont en panic,il appelle les pompiers, et même la police, il se rendent compte que cette mort subite est suspect.
Je regarde une dernière fois Isam.
Il agonise.
C'est alors que je me dirige vers les toilettes des femmes .je sort les vêtements de mon sac a dos et je me change. Je me démaquille. Et sur le miroir au-dessus du lavabo j'écris avec un feutre indélébile.

Une fois sortie des toilettes tous le monde et autour des pompiers qui sont entrain d'embarquer le corps de Isam .
La police n'est pas encore la. Je me faufile entre les gens et me dirige vers la sortis, interpelle un taxi et m'éloigne de cette endroit, le sourire au lèvres en regardant mon feutre que je tien toujours a la main.

DEUX SUR CINQ.

.CINQ SUR CINQ .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant