- Chapitre 12-

519 20 4
                                    

Le lendemain soir, après l'entraînement avec Livaï:

Livai: T/p, c'est le dernier cours que je te donne, tu es déjà assez douée à mon avis.
Moi: Hum, merci.
Livaï: Tu as un excellent niveau et tu apprends vite.
Moi: Autant de compliment venant de vous ? J'en demandais pas autant caporal ! Merci.
Livaï: Profite, ça arrive pas souvent. Bref, à toute à l'heure.
Moi: Sur le toit ?
Livaï: Tu comptais venir, non ?
Moi: Oui. Ça ne vous gêne pas ?
Livaï: Non. Au contraire.

Je rougis... Je rentre dans ma chambre et prends mes affaires pour aller prendre ma douche.

Après le repas, je revenu dans ma chambre.
J'attendais 22h, je m'apprêtais à aller sur le toit, quand on toqua à ma porte.

Moi: Oui ?
Livaï: C'est moi.

J'ouvris la porte.

Moi: Vous venez me chercher ?
Livaï: Tu passe bien par ma chambre pour aller te coucher quand on est sur le toit, ça serait bête que tu escalade la façade alors que tu pourrais passer par ma chambre.

Je souris, et le suivis.
La chambre des chef d'escouade sont immenses compares aux nôtres. Surtout qu'ils ont leurs salle de bain personnelles.
On arriva sur le toit.
On s'asseyait côte à côte quand nos doigts se touchèrent à nouveau. Je ne bougea pas ma main. Il remonta la sienne sur la mienne. Je le regarda, il me regardait déjà. Je devenais toute rouge mais je le regardait toujours. Il amena son autre main jusqu'à ma joue et s'approcha de moi doucement. Nous lèvres étaient attirés comme des aimants. Quand elles se touchèrent, mon cœur fit un tour sur lui même. Je posa délicatement mes mains dans son cou.
Notre baiser était plus doux qu'un nuage, j'avais l'impression de voler. Il descendit ses mains sur ma taille. Quand nos lèvres se détachèrent, il embrassa mon cou, tout mon bras et finit sur le dessus de ma main. Je plaçais mes mains dans ses cheveux fins et le serrais dans mes bras. J'aurais aimé que ce moment ne se termine pas mais un claquement nous surpris, la fenêtre de sa chambre... et merde.

Livaï: Et merde...

Il embrassa une dernière fois ma main puis se leva et essaya d'ouvrir la fenêtre. Il ne réussit pas...

Moi: Même si on essaye de passer par ma chambre, la fenêtre ne peut pas s'ouvrir de l'extérieur.
Livaï: Cache toi, je vais toquer à une des fenêtres et je ouvrirai de ma chambre.

Je me mis à l'arrière du toit pour pas qu'on le voie.
J'entendis la voie d'Hanji.

Hanji: Livaï ? Qu'est-ce que t'as ?
Livaï: Laisse moi passer, ma fenêtre est bloquée.

J'attendis environ 20 secondes puis j'entendis un bruit.

Livaï: C'est bon t/p, viens.

Je me rendis devant la fenêtre de Livaï.
Il me tendît sa main pour m'aider à renter. Il posa sa main sur ma hanche et me dit:

Livaï: On l'a échappé belle.

Je lui sourit.

Moi: C'est clair.

Il embrassa tendrement ma joue. Je mis mes mains sur son torse musclé.

Livaï: Ne dit rien à personne, on aurait des problèmes. Les relations chef d'escouade et soldats sont interdite. Ça reste secret.
Moi: Pas de soucis, je le savais.
Livaï: Va te reposer, fait de beaux rêves.
Moi: De vous ? Pas de soucis.

Je l'embrassa longuement une dernière fois et partie dormir. Qu'est-ce qui m'arrive ? Il est tellement parfait. Musclé, beau, mystérieux... Sa voix, son air blasé, ses cheveux si fins, sa peau divinement douce... Tout était si beau avec lui. Même son côté petit maniaque ne me déplaisait pas. Sa façon de s'endormir assis. Sa façon vulgaire d'insulter ses soldats. Sa façon peut habituelle de tenir sa tasse. Tout me plaît chez lui.
Suis-je amoureuse ?

Livaï x reader : "Un amour interdit"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant