Livaï x reader : "Un amour interdit"

- Chapitre 14-

À midi, je revenu à la salle de réception pour aller manger. Livaï était assis à sa place habituelle. Il me regarda, je lui souris mais il baissa les yeux. Les phrases qu'il m'avait dit dans la matinée me tourmentait. J'étais en incompréhension complète. Quand Tim me vit arriver il cria presque :

Tim: T/P !! ENFINN !! TU AS DES CHOSES À ME DIRE JE TE RAPPELLE !!

Génial, très discret Tim, merci !
Arrivée à la table, tout le monde se tu. Sauf Alicya, forcément.

Alycia: Je le savais ! Je trouvais bizarre que tu ne l'insulte plus de nain ! Je veux tout les détails !

Tim aurait pu garder notre discutions avec Hanji pour lui...

Eliott: Vous parlez du caporal-chef Livaï ? J'ai raté quelque chose ?
Moi: Non tu n'as rien raté du tout. Vraiment.
Tim: Aller raconte ! Comment ce fait-il qu'Hanji t'ai vu sortir de sa chambre l'autre soir ?
Moi: C'est qu'un malentendu... j'avais escaladé de ma fenêtre jusqu'au toit pour regarder les étoiles et il m'a surpris. Il m'a dit de passer par sa chambre pour éviter que je tombe en allant dans ma chambre. C'est tout.
Alycia: Oh... je te cache pas ma déception. J'm'attendais à mieux. dit elle en rigolant

Transition soir

Après un rude entraînement en forêt, avec le caporal encore plus désagréable, je décida de revenir à son bureau. Il était peu être juste de mauvaise humeur ce matin...

Livaï: Nom, prénom, raison du dérangement.
Moi: Caporal c'est t/p, je peux vous parlez s'il vous plaît ?
Livaï: Tch, entre mais dépêche.

J'ouvris la porte et doucement et entra en silence.

Livaï: Alors, je t'écoute.

Il ne m'adressais même pas un regard, debout devant son bureau, sa tasse dans une main, une feuille dans l'autre.

Moi: Heum... En fait... je comprend pas votre réaction. Hier vous m'embrassez et ce matin vous ne m'adressais même pas un regard, vous me parlez désagréablement...
Livaï: C'était une erreur ce qui s'est passé hier. C'est tout. Je suis ton supérieur, c'est interdit.

Je suis restée bouche bée. Il n'a toujours pas levé la tête. Je partie en claquant la porte. Je marchais rapidement jusqu'à ma chambre. Les larmes me montait aux yeux qui fixait le sol.
J'entendis une voix devant moi.

Hanji: T/p ! Ohh, tu pleures ? C'est ta moitié qui te fait pleurer ? Enfin, ta demie-portion...
Moi: Non, c'est rien. Je suis juste... fatiguée.
Hanji: Mmh, je vois. Je vais chercher Timi va dans ta chambre te reposer.

Quelques minutes plus tard, dans mon lit :

Tim: T/p ! Qu'est-ce qu'il y a ? Hanji m'a dit que tu pleurais. Tu es juste "fatiguée", tu es sûre ?
Moi: Mais oui, ne t'en fait pas pour moi.

On toqua à la porte. C'était maya.

Maya: Salut t/p. J'étais avec Tim quand Hanji nous a dit que tu pleurais. Ça va, tu es sûre ?
Moi: Oui, merci tous les deux, vous êtes géniaux, j'ai de la chance de vous avoir.

Pendant le repas, Livaï n'était pas là. Il devait sûrement avoir de la paperasse ou être en train de dormir. Penser à lui me donnait une étrange sensation. J'aimais sa personnalité mais depuis ce matin, il me rendait à la fois triste, et à la fois en colère.

Après manger je me rendit directement sur le toit, espérant retrouver le vrai livaï, celui qui m'aidait avec mes faiblesse en me donnant des cours, qui acceptais que je l'aide avec ses papiers, qui allait jusqu'à enfreindre le règlement pour que je mange un morceau de pain, qui se confiait sur son passé et m'écoutait parler du miens, qui me complimentait, très peu mais ça m'étais amplement suffisant, ...
A ma grande surprise il était là.

Moi: L-livaï ?
Livaï: Tu es venue ? Je pensais pas, après ce que je t'ai dit...
Moi: J'me fous de ce que vous m'avait dit. Vous pouvez pas niez le fait que ce qui c'est passé hier n'étais pas une erreur. Et si sa l'était, c'est la plus belle erreur que j'ai pu faire de ma vie entière !
Livaï: C'était une merveilleuse erreur, mais une erreur quand même. Et comme je te l'ai dit, on ne refait pas-
Moi: ...plusieurs fois les mêmes erreurs, je sais, mais je ne comprend quand même pas votre réaction caporal.
Livaï: Si tu sais cette phrase et la comprend, alors tu devrais comprendre ma réaction.
Moi: Non justement. J'ai des milliers de possibilités qui me traverse l'esprit, mais se ne sont pas des raisons suffisante.
Livaï: Dit-les moi.
Moi: Vous avez peurs de perdre à nouveau une personne qui vous ai chère.

Le silence se fit entendre, lourdement.

Moi: C'est pas ce que je voulais dire, je-
Livaï: Mais c'est ce que tu as dit.

J'essayais de ma rattraper mais rien a faire, je ne faisais qu'empirer les choses.
Après un long silence, je repartie me coucher, les larmes aux yeux.