Addict d'un biker

#9 Addict d'un biker: Billy #5

Je contemple mon tatouage, ça me pique encore un peu mais je le trouve magnifique.

- Spencer est très douer, me dit Linda en s'avancent

- Oui, c'est vrai.

- Et c'est un gentil garçon, continue t-elle.

- Oui, enfin pour le peu que je le connaisse.

- Pourtant j'ai bien vue que vous vous entendiez bien, rajoute-t-elle en souriant.

- Il est gentil, c'est tout ce que j'ai a dire.

- Très bien, je vais te laisser dormir, demain tu me rappellera qu'il faut s'occuper de ton tatouage.

- Oui.

Une fois partie, je m'allonge dans mon lit, mon regards sur mon tatouage, passer un moments seule avec lui m'as beaucoup plus.

Plusieurs semaines se sont écouler, j'ai fait beaucoup d'efforts pour me rapprochée des autres, Poly, Jax, Abby, je mange même toujours avec elle et nous avons découvert que nous avions plusieurs passions en commun, mon cours c'est terminer plus tôt, je parcours le couloirs et fini par voir Poly assise sur le sol, je m'approche et vois même qu'elle pleure.

- Poly ça va ?

- Non, pas trop, dit-elle en reniflant.

- Qu'est ce qu'il y as ?

- J'ai rompus avec Sam.

- Ah tu veux en parler ? Lui proposais-je gentillement.

Elle me regarde toujours en pleure.

- Il m'as quitter car je ne voulais pas coucher avec lui.

Je sert mes poings.

- Ce mec ne mérite pas tes larmes Poly.

Je me redresse, abandonne mon sac à ses pieds.

- Oú tu vas ? Me demande-t-elle.

- J'ai un truc à faire, tu peux appeler Linda et lui dire de venir ?

- Pourquoi ?

Je ne lui réponds pas et me dirige vers le stade de foot, d'un pas décider je marche sur la pelouse, ce gros connard est en train de rire, alors que mon amie est en pleure. Il est dos à moi mais certains de ses coéquipiers le prévienne, il n'as rien le temps de faire où de réagir quand mon poing vient s'abattre sur son visage, les autres n'intervienne pas, bande de lâche, au sol je continue de le frapper jusqu'à me sentir soulever, j'ai le sourire aux lèvres quand je vois son visage en sang.

- Non mais ça va pas ! Hurle t-il. C'est quoi ton problème salope !

Je lui fait mon plus beau doigts d'honneur.

Spencer

- Alors qu'est ce que tu en pense Marc ?

- Toujours aussi douer, me dit mon supérieur.

Nous sommes couper par la sonnerie de son téléphone.

- Salut be....

Il ne fini pas sa phrase que son interlocuteur n'arrête pas de parler.

- Je vais y aller, rejoint moi aux lycée.

Il raccroche  tout de suite je pense à Billy.

- Qu'est ce qui se passe ?

- Billy c'est battu avec le quaterback de l'équipe de foot.

- Le mec de Poly ?

Il ne me répond pas, monte sur sa moto et file. Putain c'est quoi se bordel ?

Billy

Je suis assise dans le bureau du directeur, il me hurle littéralement dessus mais si il savais que j'en avait rien à foutre. Nous entendons frapper, le directeur se tais et nous voyons apparaître Linda et Marc, M. Pomson change de tête quand mon père d'accueil fait son entré. Leurs regards ne sont même pas tourner vers moi.

- Je vous entend hurler depuis l'autre bout du couloir, lui dit Marc.

- Il y a de quoi ! Votre petite protéger à casser le nez de notre quaterback qui ne pourra pas jouer pendant plusieurs mois ! Et elle ne veux pas dire la raison.

- Billy, est ce que se jeune homme t'a fait du mal ? Est ce qu'il méritait se que tu lui a fait ?

- A moi non mais à une amie oui. Et oui il le méritait, je suis peut être aller fort quand même.

- Et vous trouvez ça drôle !

- J'ai jamais dis ça, dis-je. 

- Mais qu'est-ce que je vais faire de vous   Billy ! Ses parents exige un renvoie immédiat !

- Bah virée moi, qu'est ce que vous voulez que ça me fasse ?

- Billy, gronde Linda.

Je m'enfonce dans mon siège, s'ensuit une nouvelle heures de remontrance, ma main me fait mal, mais ça il en a rien à foutre, il en a que pour son footeux à la con.

Ma sanction tombera dans la semaine, nous sortons de son bureau, je marche devant, les amoureux derrière à discuter de ce qui vient de se passer. Je m'arrête net en voyant Spencer adosser à sa moto. Je m'approche de lui, son regards noir, ne me dit rien qui vaille. Sans demander l'accord de Linda et Marc, je monte sur sa moto, il monte ensuite. Nous partons à vive allure dans les rues de la ville. Spencer s'arrête près du parc où nous avons l'habitude de passer un peu de temps, c'est en silence que je m'installe alors que lui reste debout à faire les cent pas.

- Tu t'es battue !

Je me lève.

- Oui et alors ?

- Contre le quaterback bordel ! Il fait deux têtes de plus que toi et je n'ose même pas imaginer les kilos en plus mais qu'est ce qui t'a pris ?!

- Il a larguer Poly comme une merde.

- C'est pas une raison ! Bordel il aurait pu de blesser.

- Ça sera pas le premier ni le dernier.

- Pourquoi tu dis ça ?

- Rien laissé tomber.

- Billy, pourquoi tu la frapper ?

- Ce n'est pas à moi de te le dire Spencer.

- Billy !

- Il l'a larguer parce qu'elle n'as pas voulu coucher avec lui ça te vas ?!

- Tu l'as défendue ?

- C'est mon amie ! On ne force pas quelqu'un à passer le capte ! J'ai vue rouge, j'ai pas réfléchi.

- Quelqu'un t'a forcer ? On t'a violer ?

- Non, c'était pas super mais je pense que toute les premières fois ne son pas super. On peux changer de conversation ?

Je me retourne un peu honteuse de notre conversation.

- Billy, tourne toi et regarde moi.

Je fini par faire ce qu'il me dit, il écourte l'espace entre nous. Sa main se pose sur ma joue.

- Même si ce que tu a fait n'est pas super, tu a défendu Poly, un membre de ma famille, de notre famille. Mais ne recommence pas, je n'est pas envie de m'inquiéter encore plus.

- Tu n'as pas besoin de t'inquièter pour moi, il n'y a pas de raisons.

- Si, surtout quand je tiens à toi.

Son visage se rapproche du miens, ses lèvres finissent pas toucher les miennes, je ne réagit pas, choquer par ce qui est en train de se passer. Mon cœur tambourine dans ma poitrine, prêt à se rompre à tout moments, Spencer fini par s'éloigner, gêner, sa main passe derrière sa nuque.

- Excuse moi, je ne sais pas ce qui m'as pris, j'ai cru... enfin  je suis...

- Oui ! Non ! Enfin c'est juste que j'ai été surprise et surtout que je n'est pas l'habitude de... enfin  qu'on me dise tout ça.

C'est à mon tour de venir poser mes lèvres sur les siennes, contrairement à moi tout à l'heure, il répond à mon baiser.