Addict d'un biker

#5 Addict d'un biker: Lucie #5

Je me réveille chez moi encore toute chambouler de ce qui c'est produit hier soir, Miller m'a donner un orgasme. J'ai vite quitter l'endroit après ça. Ce n'était pas prévu, je devais juste danser pour lui et pas recevoir le plus belle orgasme de ma vie. Je me demande ce que sa doit faire d'avoir sa queue en moi. Merde Lucie ne pense pas à ça! C'est ton patron et un président d'un Club de moto!

Je fini par me préparer et essaie d'avoir du courage pour aller parler à Miller.
Une fois prête, je me rend au Club de Streeptease. Je vois Easer derrière le bar.

- Tu est déjà là? Me demande-t-elle.

- Oui, je doit voir Miller.

- Il est dans son bureau, comme toi il était tôt quand il est arrivé.

- Très bien merci.

Je me dirige vers son bureau, mon coeur va exploser dans ma poitrine mais il faut que je le fasse
Je frappe et attend qu'il me dise d'entrée. Ce que je fait quelques second après. Aller Lucie courage.

- Lucie?

- Bonjours, je voudrais te parler de hier soir...

- Lucie...

- Il ne faut pas que ça se reproduise, tu est mon patron et même si j'ai aimer ce que tu m'a fait, c'est mal.

- Je suis d'accord. On va arrêter tout ça. Ce n'ai pas bon pour toi et pour moi. Si tu veux tu n'ai pas obliger de travailler ce soir, si tu veux quitter le Club je ne te retiendrais pas.

- J'ai dit que je voulais arrêter avec toi mais pas de quitter le Club. Je danserai ce soir et tout les soirs jusqu'à avoir assez d'argent pour aider ma mère.

Je me retourne et quitte son bureau énervée. Je me rend dans les loges et m'installe à ma place. 

- Tout va bien? Me demande Jessica.

- Oui.

Quelques minutes plus tard je me retourne vers elle.

- Est ce que tu peux me parler de Miller?

- Qu'est ce que tu veux savoir?

- Tout? Pourquoi il est comme ça?

- Il a perdu Sarah sa régulière brutalement, ils était fou amoureux et ne cherchait qu'à avoir des enfants, un jours le Club a été pris pour cible, et pour nous protéger Sarah a tout fait. Mais c'est pauvre connardsnon eu aucune pitié. Ils l'on tuer d'une balle dans la tête, après ça Miller est devenue un autre homme, je crois qu'il n'a coucher avec personnes d'autre, en tout cas je ne l'ai jamais vue avec une autre femme.

Alors pourquoi m'a t'il toucher?

- D'accord, je comprend mieux maintenant le fait qu'il soit froid comme ça.

- Faut pas lui en vouloir, me dit-elle en souriant.

Nous sommes couper par l'arrivez des filles.
Plusieurs jours se sont écouler et je me rend à l'hôpital où se trouve mon père, j'ai demander à ma mère de ne rien lui dire pour l'argent que je gagne.

- Alors comment tu va?

- Bien mais c'est a toi que je doit le demander.

Il me sourit.

- Ça va, je suis épuisé, les médecins veulent essayer un autre traitement.

- D'accord.

- Raconte moi ce qu'il se passe dans ta vie en ce moment.

- Pas grand chose, je travaille.

- Tu n'auraisjamais du arrêter tes études pour moi.

- Ce n'ai pas grave, je pourrais toujours les reprendrent après.

- Et tu a un petit copain?

- Papa!

- Je veux que ma fille soit heureuse.

- Je le suis et je n'ai pas besoin d'un homme pour me rendre heureuse.

Il me sourit et me serre la main.

Plusieurs semaines son passer. J'évite au maximum Miller, même si je me sens surveiller quand je danse.
Je suis sur la scène vêtu d'une jupe noir et d'un haut court noir. Je me met a danser sensuellement, j'entends siffler.

- Vient chercher un petit billet chérie! Vient voir papa.

Rien qu'entendre ce genre de parole me donne envie de vomir mais je m'approche de lui, une lumière arrive sur son visage mais je me fige, son regards n'a pas changer, et je craint que lui aussi mes reconnue.

- Lucie.

Je me fige, après avoir récupéré mon billet je me retourne mais il m'attrape la main et me tire.

- Je me suis taper la mère, je vais me taper la fille.

Même si son regard est le même, son visage ces ridées, son corps a pris du gras, mais son odeur reste pareil.

- Je ne suis pas une pute, lâche moi.

- Tu va le devenir pour moi.

- Bolton lâche là, fini-je par entendre.

- Miller laisse moi m'amuser. J'ai baiser sa mère et je veux voir si elle est mieux qu'elle.

- Tu ne la touchera pas, elle est chasse garder.

- Et par qui?

- Moi.

Je me retourne pour lui faire face.