#9 Addict d'un biker : Billy #Épilogue

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Le jour se lève, allonger dans notre lit, nos mains entrelacés, je le regarde en souriant.

- On la fait, dit-il.

- Oui, vraiment... qu'est ce qui va se passer maintenant ?

- On va rentrez, on va aller récupérer tes affaires poir que tu vienne t'installer chez moi, puis on avisera. Pour ce qui est de ta mère et tous se bordel, ne t'inquiète pas.

Nous nous sourions, no corps se rapprochent de nouveau et s'unissent une nouvelle fois, je suis amoureuse de lui, de son corps, de ce qui me fait ressentir.
Vers les midis, nous libérons la chambre, remontons sur sa moto et rentrons à la maison, en fin de journée, nous arrivons devant chez Marc et Linda qui nous accueille le sourire aux lèvres et câlin en plus.

- J'ai pris les devant et j'ai prévenu Margaret de ton nouveau statue, elle va prévenir ta mère.

Je suis soulager qu'elle l'ai faite, je n'aurais jamais su comment le dire, quoi faire. Je sais que maintenant les regards vont changer sur moi, mariée à dix-sept ans, à quand le gamin ? Mais pour l'instant c'était hors de question. Le téléphone se met à sonner, Linda répond, son regard se pose sur moi, Margaret doit être à l'autre bout du file, Linda ne réagi pas plus que ça.

- Billy, c'est pour toi, me dit-elle. C'est ta maman.

Ma mère ? C'est une blague ? Je fini par prendre le téléphone, je m'en vais ensuite dans le jardin.

- Allô.

- Billy mais quest ce qui se passe dans ta tête ! Tu te rend compte de la connerie que tu as faite ! On peut encore l'annuler, il ta forcer c'est ça ? On va aller porter plainte.

- Pardon !? Mais il en est hors de questions ! Pour qui tu te prend !

- Je suis ta mère !

- Non, tu ne l'ai pas ! J'ai fini dans des famille d'accueil horrible à cause de toi ! Je ne veux pas retourner chez toi, hors de questions ! Tu n'es pas ma mère, tu ne le saura jamais, tu m'as jamais accepté dans ta vie, je ne veux pas de toi dans la mienne, j'aime Spencer, je sais que c'est complètement fou de mettre marier avec lui, mais j'ai rencontrer des personnes formidable, tu n'as rien à me dire, et je ne veux rien provenant de toi. Je te souhaite une belle vie.

Je raccroche, il me faut quelques minutes pour assimilés ce qui vient de ce passer, je sursaute en sentant des mains se poser sur mes hanches.

- Tous va bien ? Me demande Spencer.

- Oui, enfin je crois.

- Qu'est ce qu'elle te voulais ?

- Me dire que ce n'était qu'une connerie,  que nous allions porter plainte... des conneries comme ça.

- Tu ne va pas le faire ? Me demande t-il en souriant.

- Bien sûr que non, dis-je en souriant.

- Et si nous rentrions à la maison, dit-il. 

- Bonne idée.

Spencer me prend la main, nous retournons à l'inter de la maison, je récupère quelques affaires. Après des au revoir, il nous conduit jusqu'à chez lui.

- Bon ce n'est pas un château mais je pense qu'on pourra bien y être.

- C'est parfait.

Spencer me prend dans ses bras, je relève ma tête et nos lèvres se rencontrent.

10 ans plus tard

- Qu'est ce que tu en pense ? Demandais-je a Spencer.

- J'adore, tu pourrais même encore forcer sur le noir là, dit-il en souriant.

- J'avais un peu peur que ça fasse trop.

- Essaie pour voir.

Spencer disparaît dans sa salle de tatouages.
Après le lycée, je n'est pas poursuivi mes études, Spencer est tomber sur mes dessins et m'as proposer de m'apprendre à tatouer, j'ai eu le meilleure des professeurs avec Punk. Nous avons agrandi le shop, puisque maintenant je suis tatoueuse.

- Bon les gars j'y vais ! Et interdiction de baisers dans ma salle ! Crie Punk en sortant du shop.

Je sourit, c'est vrai qu'il y as quelques années nous nous sommes un peu laisser aller avec Spencer, et Punk est arriver à ce moments, pile pendant mon orgasme. Depuis il ne m'as jamais plus regarder comme avant, j'étais nu, seule le corps de Spencer me cachait. Depuis ce jours, Punk ne m'as plus regarder comme l'adolescente que j'était. Je termine mon dessin, puis par retrouver Spencer. Je frappe.

- Entre bébé, dit-il. 

- Je ne te dérange pas ?

- Jamais, vient là. J'ai avancer sur les plan de la maison.

- C'est vrai ?

- Oui, regarde.

Nous vivons toujours dans le petit appartement, mais avons pour projet de faire construire notre maison.
Sa main se pose sur mon ventre qui commence a s'arrondir.

- Et ça c'est la chambre des garçons, qu'est ce que tu en pense ?

- Parfait, dis-je en souriant. N'oublie pas qu'on dîne chez maman ce soir.

- Oui, Marc me la rappelé.

Je n'ai jamais eu et pris de nouvelle de ma mère, depuis l'appel d'y il a dix ans, nous ne nous sommes pas reparler, puis ça ne me dérange pas, Margaret à essayer de nous réconcilier mais c'était peine perdu, je ne veux pas d'elle dans ma vue, jamais.

- Tu continue ton tatouage ?

Spencer me regarde en souriant, il commence à détacher ta ceinture, puis défait le boutons de son jean.

- Tu est bien le seule mec que je connaisse qui se fait tatouer au dessus du sexe ? Même Punk ne le veux pas.

- C'est le prénom de ma femme que je me tatoue,  et tu est ma femme alors c'est normal que ça soit toi qui le fasse, puis tu porte mon prénom.

- Je me demande comment les sage-femmes vont réagir quand elles verront ça, dis-je en riant.

- La même tête que le gynéco à fait.

Je me met a rire, Spencer s'installe, je prépare le matériel, écrit mon prénom à main lever sur sa peau.

- Tu est prêt ?

- Oui.

Je me met alors à la tatouer, son regards ne me quitte pas.

- Il faut aussi qu'on regarde pour une date, me dit-il.

- Pourquoi faire ?

- Ça fait dix ans que nous sommes mariés.

- Oui, déjà, dis-je en souriant.

- Je t'avais promis un vrai mariage.

Je stop la machine.

- C'était une promesse comme ça, notre cérémonie de mariage était bizarre mais elle me convenait.

- Tu mérite mieux qu'un Elvis défraîchi bébé.

- Comme tu veux, de toute façon je te dirais oui de nouveau.

- Tu peux encore changer d'avis.

- Tu m'as mise enceinte, et de jumeaux, tu crois vraiment tu que vas te défiler ?

- Non et j'en ai pas envie, ajoute-t-il en souriant.

- Maintenant tais toi, je veux me concentrer.

- Bien madame, dit-il en riant.

Je sourit, ma main près de son sexe, je le vois réagir et automatiquement mes hormones me joue des tours. Sans qu'il le vois, je pose mes lèvres sur son sexe, le prend dans ma bouche, je l'entend gémir.

- Bordel bébé je t'aime tellement.

Addict d'un bikerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant