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Les années ont passé et Obanai et toi rester toujours coller l'un sans vous lâcher. Vous sentez un lien à côté de l'autre vous aider énormément.
Les étranges femmes dont tu ne connais pas l'identité font des aller-retour dans votre prison. Vous mangez ensembles, vous jouez ensembles, vous dormez ensembles en une phrase vous faites tout ensemble.
Voilà, maintenant, quelques jours, tu pouvais remarquer qu'Obanai était du plus en plus stresser.
Il regardait les murs, ses yeux analysaient chaque mouvement des nombreuses femmes qui rentrait.
Il t'avais alors avouer quelques jours auparavant que toutes ces femmes faisais partie de sa famille.
Sur le coup, tu n'as pas su comment réagir alors tu as accepté, tu pouvais alors comprendre pourquoi des femmes et une vieille dame venait souvent lui apporter tout a un t'a de dessert et de plat copieux. Malgré ton jeune âge (tu as bientôt 9 ans.), tu pouvais facilement reconnaître que quelque chose n'allait pas, tu as donc décidé d'en parler avec lui. Il était assis sur le mûr, la tête s'enfuit entre ses jambes. Tu as donc lâché ta boule de riz, le posant sur le petit plateau apporté par les femmes.
Tu t'es redressé sur tes jambes et tu t'es rapproché de lui. Arrivé à son niveau, il a comme senti ta présence et il a relevé la tête pour m'enfuir de son regard vairon dans tes yeux. Sans hésiter, tu es venue te réfugier dans ses bras dans l'espoir de l'apaiser. Ton visage se plaqe contre le petit torse du jeune garçon, tu peux ressentir le petit choc du jeune garçon avant de sentir les bras d'Obanai venir se caller dans ton dos.
MUZAN
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Trois jours sont passés depuis l'apparition du mystérieux homme, tu restes éternellement dans ton lit. Les personnes défilent devant, mais tu finis toujours par te retrouver seul dans cette grande pièce qu'est ta chambre. Entre tes mains, se tenait encore l'éternelle boisson que tes serviteurs t'apportaient chaque soir avant que tu ne te couches. À chaque fois, les paroles de l'homme de l'homme te revenaient en tête. On avait tenté de t'empoisonner, pourquoi. Tu te le demandais et comme d'habitude la boisson finit dans la plante se trouvant dans ta chambre. Les derniers rayons du soleil te disent au revoir, tu souffles sur la bougie, seul source de lumière de la salle. Maintenant allonger dans ton lit, tu fermes tes paupières dans l'unique but de dormir. Les minutes passent et tu sens qu'elle que chose de froid voir glaciale te caresser la joue te réveillant sur le coup. En ouvrant les yeux, tu entres directement en contact avec des yeux rouges. Tu les reconnais directement. Tu te redresses alors sur les fesses le corps entièrement tourné vers l'inconnu.
