Des sensations nouvelles.

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Puis il sort. J'aimerais papa. J'aimerai ne pas la lâcher mais est ce seulement possible ? Dans la mesure où je ne sais pas toujours ce qui se passe? Quand je ne contrôle qu'un tiers de ma vie? Je ne sais pas. Et elle, me laissera t'elle ne pas la lâcher et le plus important m'acceptera t'elle le jour où la vérité sera au grand jour ?

...

Ça fait un quart d'heure qu'on attend ces femmes. On est tous en costard et comme si on s'était donné le mot, on est tous en bleu nuit. Mon oncle a le crâne rasé. Un fine couche de cheveux sur son cailloux avec une liaison avec sa barbe. Il a un certain charme, et le développement de son physique le rend plus.. charmant je dirais. Personne ne parle à l'autre. On attend nos cavalière.

Je relève la tête quand j'entends les battements de cœur des trois femmes. Je sens la tension d'Ana. Je permets d'entrer dans sa tête. Je comprends qu'elle est intimidée par les deux autres. Elle les trouve confiante, sans peur alors qu'elle, elle n'est pas habituée par ce genre de soirée. Mais en même temps, elle les admire, elle trouve que ce sont des femmes fortes et admirables. Oui c'est totalement vrai.

Quand elles arrivent, nous les regardons avec admiration. Je sens la tension sexuelle dans l'air émanant de mes parents et mon oncle et sa femme. C'est assez désagréable. Je me focalise sur la femme qui sera ma cavalière pour cette soirée. Elle est magnifique. Elle est une coiffure qui.. en fait je sais pas c'est compliqué et je m'en fou, un rouge à lèvres sur ses lèvres pulpeuses, sa peau est un peu plus clair mais ça reste dans le naturel, on a noircit un peu ses yeux et ses cheveux remontés laissent voir son cou et ses épaules dégagés.

Je descends vers sa robe, et elle porte la robe que je lui est offerte. Une robe bleu nuit, longue traînant un peu au sol. Elle a une fente sur le côté droit et faisant rêver tous les hommes de voir cette peau de cette femme qui te fait croire à un petit chaton, un être fragile.

Oui c'est comme ça que je vois Ana. Un petit chaton mais qui reste une femme forte. Elle est innocente, un esprit sans noirceur, elle me donne envie de la protéger, de garder près de moi sous mon oeil. De là, un sentiment plus violent s'en suit, je la veux d'une façon que je ne m'explique pas, une envie que je ne connais que théoriquement. Elle nourrit en moi d'étranges sentiments et d'émotions. Juste, je reconnais qu'au fil du temps, je deviens possessif, cette femme je le veux pour moi, je veux avoir pour moi son coeur, son esprit, son corps tout. De la même façon que je sens qu'elle me tient dans ses bras de fée, mon âme semble emprisonnée et les chaînes vont directement vers elle.

Je reviens à moi quand j'entends les pensées d'Ana. Madame est charmée.

_Mon Dieu! C'est pas possible de descendre et de trouver tels spécimens. Ils sont magnifiques Seigneur. Leurs trois pièces leur vont parfaitement. Ça moule parfaitement leurs corps de Dieux grecs. Oh mon Dieu, Ethan est magnifique. Son habillement nous fait oublier qu'il arrive qu'il peut être un enfant. La carrément c'est un homme, un vrai, qui te fait tourner la tête. Maintenant je comprends mieux le soucis de sa mère avec les femmes. Quelles femmes bien constituées ne voudraient de lui.

Elle regarde mon père et mon oncle qui marchent vers leurs femmes. Mon oncle attrape sa femme et l'embrasse fougueusement et mon père caresse le ventre de ma mère qui est mis en évidence et sa tête pour l'embrasser avec passion. Je me dis que ma famille a eu vraiment de la chance. Je m'approche d'Ana et j'entends la vitesse de son cœur augmenter.

_Seigneur protège moi d'une crise cardiaque. Ethan n'est pas normal. Son regard a changé, il est plus.. intense et sa façon de marcher, sans bruit.. c'est terrifiant et passionnant. Ethan qu'est ce que tu me fais ? Se demande t'elle.

Toi qu'est ce que tu me fais ? Là carrément j'étais sur le point de faire comme mon oncle, t'attirer vers moi et t'embrasser d'une façon intense que j'en prendrai la tête. Je suis pas normal Ana et tout ça, je le dois à toi. Terrifiant Ana? Oui.. je me vois tuer chaque homme qui oserait te regarder, regarder ce corps si parfait, tes courbes qui m'enivre à chaque pas que tu fais. Je sens mon corps tremblé que je me demande la drogue que j'ai pris.

Trois vies pour une vie. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant