J'avais chaud. Pas une chaleur a transpirer, seulement une chaleur. Il y avait le chant mélodieux d'oiseaux et une douce brise me caressait le visage. Je me sentais bien, prospère. Un bruit sourd attira mon attention. Il ressemblait a un clignotement qui devint de plus en plus audible. J'ouvris les yeux et un lumière me les brûla. Je les ferma et porta mon bras en visière, ce que me fit pousser un grognement de douleur. M'habituant a cette lumière aveuglante, je rouvris les yeux. J'étais dans une petite pièce. Les murs étaient peint d'un blanc déprimant et il n'y avait pas de décoration. L'odeur de désinfectant me prit a la gorge. Un seul mot me vient a la tête.
" Hôpital "
Je remercia la petite voix dans ma tête. Je fonça des sourcils et promena ma regard dans la pièce. J'étais dans un lit de couleur bleu. Mais pas le beau bleu turquoise, bleu moche délavé. J'étais moi même dans une chemise verte a motifs bizarres. Une énorme machine est a côté de moi ET reliée à moi par plusieurs choses. Une perfusion est plantée sur le dos de ma main et un oxymètre est pincé sur mon index. Un bonbonne d'oxygène et accrochée sur la machine et un masque est scotché sur ma face. La seule fenêtre présente dans le pièce et qui est en face de mon lit donne sur une forêt. Elle est ouverte et un rouge-gorge est venu se poser sur le rebord.
Après quelques minutes ou quelques secondes, je ne sais pas, une infirmière entre dans la chambre. Elle me sourie et s'approche de moi.
- Bonjours Axelle, tu t'es réveillée ! Comment te sent tu ?
- Ça va. J'ai affreusement mal à la tête.
Ma voix rauque me faisait peur moi même.
- Tiens, prend ça, sa ira mieux.
Elle sorti une petite pilule de sa poche. Elle me la tendit puis partit chercher un verre d'eau. A son retour, elle revint s'asseoir sur mon lit a côté de moi. Je posa le médicament sur ma langue et bu le verre d'eau d'un trait, et me rendis compte que j'avais la gorge sèche.
- Ça va mieux ?
- Beaucoup !
Elle regarda sa montre.
- Tu dois avoir faim. Il est l'heure du repas. Je vais vite te chercher ton plateau.
Elle avait raison : mon estomac criait famine. Elle se leva et son stéthoscope glissa un peu. Elle le remit en place et ouvrit la porte.
- Au fait, je m'appelle Sophie.
- Attendez, il est quelle heure ?
Elle regarda sa montre.
- 12h 04.
- Une dernière chose. Quelle est la date d'aujourd'hui ?
- Nous sommes le 4 mars.
- Merci...
Elle sortit. Derrière la porte se trouva un couloir aux mur rouges et un parquet de bois claire. Sur la porte était visée un plaque portant le numéro 128, celui de ma chambre.
Un rayon de soleil perça le rideau crème de ma chambre. Sophie revint quelques minutes plus tard, un plateau a la main. Sur celui-ci était posés plusieurs choses. Un verre d'eau, un assiette qui contenait de la viande, des petits pois et de la purée de pomme de terre. Il y avait aussi un yaourt a la myrtille. Elle posa le plateau sur la commode au coin de ma chambre, vint vers moi, remonta un plaque qui se trouva maintenant au dessus de mon ventre, retourna chercher mon repas et le posa devant moi. Elle sortit de la chambre après m'avoir enlever le masque a oxygène et me laissa manger seule. La délicieuse odeur de la viande se mêla à celle de la sauce brune. Je pris ma fourchette et m'attaqua a la nourriture. Les petits pois étaient délicieux, la purée était crémeuse et la viande était la meilleur que j'eus manger, bien que manger fut compliquer a cause de ma perfusion. Je repoussa le plateau du bras et Sophie vint le reprendre. Elle me laissa seule, encore un fois.
Je regarda a l'extérieur. Le bois qui de trouva a l'extérieur était magnifique. Des oiseaux voltigeaient a la cîme des arbres et leurs chants était transporté jusqu'à moi. Les feuilles laissaient paraître des ombres impressionnantes grâce aux lueurs du soleil. Un chat blanc au collier rouge traversa la chemin de gravier. Des fleurs colorées étaient parsemées le long du chemin et un cerisier se trouvait au milieux d'un clairière. Ses pétales blanches légèrement rosés tombaient au sol. Elles tournaient pendant un longe minute avant de se poser avec légèreté sur le tapis de mousses et d'herbe.
J'entendis un léger grattement sur la porte qui me sortit de mes pensées. Je le leva avec beaucoup de mal. Je fis quelques pas mais quelque chose m'en empêcha. L'énorme machine a la quelle j'étais reliée ne bougea pas. Je revins sur mes pas. empoigna la poignée et tira. La machine étant légère bougea sans problèmes.
A la porte se trouva le chat blanc de toute à l'heure. Il entra dans la chambre et sauta sur mon lit. Je passa la tête dans l'embrasure de la porte. Sophie passait par là. Elle me sourit. Je fronça des sourcils et alla questionner Sophie mais elle me devança.
- Ce chat appartient a l'hôpital. Ne t'inquiète pas. Il vient souvent dormir avec les patients.
Elle tourna au coin avant que je n'ai pus lui dire quelque chose. Je referma la porte et retourna me coucher.
Je passa la couverture sur mes jambes quand le chat vint se coucher sur celles ci. Je pris le pendentif pendant a son collier.
" Wild "
- Alors, tu t'appelle Wild ?
Le chat se mît a ronronner pour réponse. Je lui gratta entre les oreilles et il ferma les yeux avant de s'endormir.
J'allais moi aussi m'endormir quand on frappa a la porte...
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A story, My story
Novela JuvenilA story, My story Moi, Axelle Saprk, 16 ans, seul fille que l'école déteste. Tous les jours, je le vois. Tous les jours, je l'observe. Lui, le capitaine de l'équipe de basket de l'école. Le gars le plus beau, le plus populaire. Tous les jours, il m'...