La porte s'ouvrit et Paul entra. Il était vêtu de son éternel smoking gris a rayures blanches et de sa cravate rouge. Sa barbe grisonnant venait d'être coupée et ses cheveux argenté n'étaient pas coiffé. Il referma la porte et vint s'asseoir sur la chaise présente a côté de mon lit. Il remit la plaque au dessus de mon ventre, ce qui fit protester Wild au passage, et posa une énorme boîte en carton dessus.
- C'est quoi ?
- Tu verras. Ouvre !
Sa voix enrouée et les cernes présent sous ses yeux indiquaient un nuit courte. Je ne protesta pas, ce qui sortit de mon ordinaire habitude, et souleva le couvercle. Il y avait un gâteau a l'intérieur. Il était nappé d'un glaçage au chocolat et un guirlande de fleur faisait le tour du gâteau. " Revient Vite ! " était marqué en lettre d'or, et le message était signé par trois personnes : Aria, Juliana et Papa. Cette attention me toucha droit au cœur et je souris bêtement. Mon père s'approcha de moi.
- Alors, Il te plaît ?
- Tu rigoles il est magnifique et il a l'air délicieux !
- C'est moi qui l'ai fait, mais c'est Aria qui a eut l'idée.
Je me tortilla dans mon lit et essaya, aussi bien que je pus, car le gâteau et Wild m'en empêchaient, de serrer mon père dans mes bras. Il me prit a son tour, et je pus deviner qu'il pleurait car un goutte se posa sur mon épaule. Je me desserra de son étreint et reposa mon attention sur le gâteau.
- On a le droit de le manger ?
- Ne t'inquiète pas pour ça, ils m'ont laisser passer, et j'ai même penser au couteau.
J'applaudis comme une enfant de 6 ans, bien que j'en ai 10 de plus, et regarda mon père couper le gâteau. Il me tendit un part.
Le gâteau possédait deux couches de cake au chocolat, séparées par un couche de crème vanille , et les fleurs étaient réalisées avec du massepain. Du vrai massepain, celui qu'on trouve seulement en Europe. Les lettres étaient en sucre. Je porta la part dans ma bouche et une explosion de saveurs me submergea. Le gâteau était en même temps moelleux et délicieux, le glaçage croquait sous les dents avant de fondre sur la langue et le massepain était le plus tendre que j'eus goûter. Je finis ma part en moins de deux et me lécha les doigts du chocolat fondu. Mon père éclata de rire et sortis un miroir de poche avant de l'ouvrir et de me le tendre. J'avait une moustache de chocolat qui s'étendait jusqu'au milieux de mes joues. J'éclata de rire a mon tour.
Cela faisait quelques heures que mon père était là, mais il était 15h30. Cette heure signifiait la fin des visite. Sophie entra.
- Salut Axelle, bonjours Mr Spark. L'heure des visite touche a sa fin, je vais vous demander de sortir. Vous pourrez venir voir votre fille demain, car les visites commence a 9h.
- D'accord. Au revoir Axelle, a demain.
Il me prit dans ses bras et posa un baiser sur mon front. Il reprit sa veste et sortit. Sophie s'approcha de moi. Elle débrancha mon masque de ma bombe a oxygène et sorti une canule de sa poche. Elle la brancha sur la bombe et la mit sur un chariot. Elle sortit un poche semblable a celle de ma perfusion et me la changea. Elle décrocha la perfusion du crochet et la glissa dans un poche du chariot.
" pourquoi ? " se questionna ma conscience.
- L'oxygène est juste là pour t'aider a respirer. Une partie de ton cerveaux n'est pas encore remit du choc et elle ne permet pas a certains organes de fonctionner correctement. En l'occurrence et dans ton cas, tes poumons. Mais ne t'inquiète pas, d'ici quelques jours, tu sera remise sur pieds.
"Je me demande comme elle fait. Elle doit certainement être voyante."
Sophie m'enleva l'oxymètre du doigt avant de sortir la chambre et l'envie de sortir me prit. Je me leva et sortit. Le couloir rouge étant de la même couleur de la veste de mon père, je sourit légèrement. Je tira mon chariot derrière moi, et je me sentis comme Hazel Grace, dans the fault in our stars, un film que j'ai vu au moins dix fois.
Après dix minutes de recherche, je tomba sur un panneau " ➡ sortie " je le suivis et me perdit une fois de plus. A ce moment là, je trouva un ascenseur et descendit au rez de chaussée. Je passa la porte vitrée automatique et trouva l'air pure. Je fit un fois le tour de l'hôpital avant de m'engager sur le chemin. Le gravier crissa sous mes pieds et se bruit se produit à chaque pas. Je m'assieds sur un banc et Wild vint se frotter contre mes jambes.
Je resta la pendant environ deux heures en regardant les pétales du cerisier tomber. Je finis par me lever car le soleil déclinait. Je m'engagea sur l'allée et fit quelques pas quand un main me saisit le poignet...
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A story, My story
Teen FictionA story, My story Moi, Axelle Saprk, 16 ans, seul fille que l'école déteste. Tous les jours, je le vois. Tous les jours, je l'observe. Lui, le capitaine de l'équipe de basket de l'école. Le gars le plus beau, le plus populaire. Tous les jours, il m'...