la cérémonie de Mirabel

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Aujourd'hui était un jour particulier à Encanto.
Tous les habitants se préparaient pour assister à la cérémonie de Mirabel,
la plus jeune des Madrigal.
La foule était existé et impatient du  moment où le don de Mirabel serait révélé enfin révélés.

Aujourd'hui était un jour de célébration, un jour où la magie et la famille étaient célébrées, et Canela était déterminée à se joindre à l'esprit festif qui régnait dans le village.

Canela :Bon, cette journée doit être parfaite et je dois faire de tout mon possible pour ne rien gâcher

Canela s'approcha de la porte de sa mère

Canela : Maman, puis-je entrer ?

Pepa : (Ouvrant la porte ) Oh, Canela...

Canela : Maman, qu'est-ce qui ne va pas ?

Pepa  : Oh, désolée ma chérie, je suis tellement occupée par les préparatifs de la cérémonie de Mirabel...

Canela : Je pourrais t'aider tu sais...

Pepa : Tu devrais rester dans ta chambre aujourd'hui, en tout cas jusqu'à ce que tu contrôles ton don.

(Sa mère s'en va, semblant la fuir)

Canela s'approche alors vers sa grande sœur qui s'apprêter a rentrer dans sa chambre

Canela : Dolores, puis-je te parler ?

Dolores : Laisse-moi tranquille, Canela. Je suis épuisée

Canela :Mais j'ai besoin de toi, Dolores. Je me sens tellement seule en ce moment.

Dolores : (Détournant le regard) Je suis désolée, Canela, mais je suis occupée en ce moment. Peut-être un autre jour.

Canela :(Le cœur lourd, sentant le rejet de sa sœur) D'accord, je comprends. Si jamais tu as besoin de moi, je serai là.

(Dolores referme la porte, laissant Canela seule avec ses pensées tourmentées.)

Elle vit Camilo se diriger vers la chambre pour enfant là où se trouver Mirabel
Et se dirige vers lui afin de lui parler

Camilo : (Froidement) Qu'est-ce que tu veux, Canela ?

Canela :J'ai juste besoin de parler, de me sentir un peu moins seule...

Camilo : (Dédaigneux) Désolé,mais abuela a dit que c'était très dangereux de s'approcher de toi avec ton don, donc ...

Canela :  (Le cœur brisé, sentant le rejet de son frère) Très bien, je comprends.

(Camilo s'éloigne sans un regard en arrière, laissant Canela se sentir plus isolée que jamais.)

En se retournant canela tombe nez à nez avec son abuela

Abuela :  Canela, j'ai besoin  te parler.

Canela : Oui, Abuela ?

Abuela : Après ce qui s'est passé récemment, je suis inquiète pour toi et pour la sécurité de notre famille.

Canela : Je comprends, Abuela. Je suis tellement désolée pour tout ce qui s'est passé.

Abuela : Je le sais, ma chère. Mais tant que nous ne serons pas sûrs que tu as un contrôle total sur ton don, je crains que tu puisses involontairement mettre en danger ceux qui t'entourent.

Canela : Comment ça ?

Abuela :  Je veux que tu restes dans ta chambre, Canela. Pour le moment, c'est le seul moyen de garantir la sécurité de tous. Je sais que ce ne sera pas facile, mais c'est pour le mieux.

Canela : Mais je veux aider, je veux être utile à ma famille.

Abuela :  Mais tu nous rend service Canela en évitant de cacher cet heureux événement , tu aide beaucoup de personnes

Canela : D'accord, Abuela. Je ferai ce que vous dites.

Abuela : Merci, Canela. Je suis fière de toi

Canela par donc s'isoler  dans sa chambre, tandis que la cérémonie de Mirabel battait son plein à l'extérieur. Les murmures de la foule et les éclats de joie lui parvenaient à travers les murs, amplifiant sa solitude et son chagrin.

Assise sur son lit, elle fixait le sol avec tristesse, se demandant ce qu'elle avait fait pour mériter un tel exil.

Les paroles d'Abuela résonnaient dans sa tête, lui rappelant qu'elle était un danger pour sa famille, un fardeau à éviter à tout prix.

Elle avait tant espéré pouvoir participer à la cérémonie, ou en moins aidé pour les préparatifs de la cérémonie de sa cousine , Mirabel.

Mais maintenant, elle se sentait exclue, indésirable, condamnée à vivre dans l'ombre de sa propre famille.

Des larmes silencieuses roulaient sur ses joues alors qu'elle se demandait si un jour les choses pourraient changer, si elle retrouverait jamais sa place parmi les siens. Mais pour l'instant, elle devait se résigner à rester seule, prisonnière de son propre don et de sa propre culpabilité.

----------------------le soir ----------------------
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Canela: (seul dans sa chambre) Bon, après avoir fini ce dessin sur  la famille, je crois que je mérite bien une  pause . J'ai vraiment faim en plus

Canela se lève de sa chaise et se dirige vers la porte de sa chambre, une pointe de nervosité dans le ventre. Il sait qu'Abuela lui a demandé de rester confiné, mais la faim est trop forte pour être ignorée.

Canela: (à soi-même) Juste un rapide détour vers la cuisine, personne ne le saura.

Elle ouvre la porte doucement et jette un coup d'œil rapide  dans le couloir avant de s'éclipser discrètement, espérant ne croiser personne en chemin.

Après s'être pris des gâteaux et du jus de raisin , canela fit demi tour et rencontre Mirabel en chemin

Canela: Hey, Mira, toutes mes félicitations pour ta cérémonie. Alors, c'est quoi ton don ?

Mirabel détourne le regard, ses épaules secouées par des sanglots silencieux.

Canela:Mira, que se passe-t-il ?

Avant qu'elle ne puisse répondre, Mirabel se détourne brusquement, les larmes coulant librement sur ses joues. Elle bouscule Canela alors qu'elle se précipite vers la crèche, sans dire un mot de plus.

Canela: (perplexe) Mais qu'est-ce qui lui est arrivé ?

- CANELA !!

Canela sursaute violemment en entendant son prénom résonner dans le couloir.
Elle se retourne précipitamment, et dans son geste brusque, renverse maladroitement son verre de jus sur la robe d'Isabella.

Canela: Oh non, je suis tellement désolée !

Isabella: Sérieusement ?!

Canela: Je suis désolée, Isa...

Isabella: Ne m'appelle pas comme ça.

Les crie d' Isabela attirent  abuela qui semblait être très en colere de voir canela hors de sa chambre

Abuela: Canela, comment peut tu toujours à tout gâcher autour de toi  ! Regarde ce que tu as fait à la robe de ta prima !

Isabella:Tu sais, Canela, je commence à croire que ton vrai don est d'être terriblement méchante.

Le ton cinglant des paroles d'Isabella transperce le cœur de Canela, tandis qu'elle perçoit le rire amer d'Abuela.a

Abuela:  Isabella a raison.

Canela, submergée par la douleur et la honte, ne peut supporter le poids des accusations et des moqueries. Elle se précipite dans sa chambre, laissant les larmes couler librement sur son visage

et c'est la l'âge de 5 ans que j'ai pensé

je ne mérite pas de pleurer, c'est de ma faute, tout est de ma faute

[ Mise À Jour ] La Madrigal Oublié Où les histoires vivent. Découvrez maintenant