III.Pedro

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PDV de Dalila

18h39 : supermarché

Il parle italien, et comment il pouvait savoir que j'allais comprendre, c'est vrai on m'a toujours dit que je ressemblais plus à une russe cas une italienne.

Ça se trouve il a fait des recherches sur moi, et que c'est un psychopathe ou un tueur en série et qu'il découpe ses victime au coutea...

- Madame, c'est à votre tour. Me dis une cliente derrière moi.

- Oui désolé.

J'étais parti faire des courses je suis bien payé mais ce n'est pas une raison pour manger tous les jours dehors.

- Ca fait quarante pesos s'il vous plaît. Par carte ou espèce ? Me demande la caissière.

- Espèce.

Je finis de payer et prends mes course , Andrea m'attend dans la voiture. Elle est venue avec moi pour faire les course. Personnellement j'aurai été elle je ne serai pas venue.

Je mets les course dans le coffre de sa voiture puis j'entre dans celle-ci. Je m'allume une cigarette et baisse ma vitre je sais qu'Andrea n'aime pas quand je fume.

On arrive à mon appartement elle m'aide à porter les courses heureusement que j'habitais au deuxième étage. On se jette sur le canapé quand on a fini de ranger les courses.

- Dalila il faut que je te demande quelques chose d'important. Quand elle m'appelle Dalila c'est que c'est vraiment important.

Je savais qu'elle ne faisait pas tout ça pour rien. Elle m'aide toujours à faire quelque chose quand elle a besoin d'un service et c'était bizarre qu'elle me pardonne aussi vite.

- Je t'écoute.

- Euh... comment dire...

Elle prend du temps pour me poser sa question et elle sait que je n'aime pas quand on passe par quatre chemin pour me demander quelques chose.

- Passe pas par quatre chemin et parle. Lui dis-je sèchement.

- Enfaite mon frère a des problèmes avec un dealer et il m'a demandé de l'aide parce qu'il doit de l'argent à son dealer et comme...

- Combien il lui doit ? La coupait-je.

- Cent mille.

-  CENT MILLE! Il a fait quoi avec ces cent mille pesos. Hurlais je

- Je sais pas il n'a pas voulu me dire. Se justifie-t-elle.

- Et pourquoi as-tu besoin de mon aide ?

Elle n'a même pas intérêt à me demander de l'argent parce que moi quand je lui en demande ça devient toute une histoire.

- Mon frère ne peut pas aller rendre cette somme d'argent il sait que son dealer voudra lui casser toutes ses dents, et moi je ne peux il y aller car ...

Elle baisse la tête, je connais Andrea quand elle baisse la tête c'est parce qu'elle a honte ou qu'elle est gêné. Donc elle doit vraiment avoir honte.

- Car ... dis-je avec de la colère.

Je suis en colère alors qu'elle ne m'a encore rien dit mais juste le fait qu'elle prenne dix ans pour me dire ce qu'elle a me dire m'énerve.

- On a déjà couché ensemble. Dit-elle d'une voix à peine audible.

- J'entends rien quand c'est pour me crier dessus quand je suis défoncé là tu peux faire plus de bruit qu'une pute qui baise, mais là madame n'a plus de voix, donc merci de parler fort avant que je ne m'énerve vraiment. Dis-je en hurlant.

La noche del serpiente [ EN PAUSE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant