Tu seras mienne (clexa)

« l'écoute des cries de douleurs »

Le chapitre 7 sera basée que du point de vue de Lexa. Je trouvais bien de vivre à travers d'elle un peu. J'espère que j'ai réussie à retranscrire la souffrance de ce moment.
Je vous laisse avec cette page.

Donnez votre avis à la fin svp!

Je fais signe de tête au garde de m'ouvrir cette cellule. Il la déverrouille. Ne l'ouvre pas.

-Attend moi ici Indra. Je lui ordonne. Prenez une heure pour vous soldat. Le jeune homme incline la tête puis part.

Ma main attrape le barreau en métal. Le froid y résonnant m'offre la chair de poule sur un plateau d'argent. Le métal grisant quand j'ouvre cette porte de métal. Entrant. Mes bottes claques au sol. Allument deux torches de chaque côtés de cette porte. Offrant enfin une lumière sur cette individu. Enchaîner pars les poignets. Offrant une posture des plus insupportable à son corps frêle.

-Ferme Indra.

-Mais-. S'indigne t'elle.

-Ferme cette porte à clé et ouvre la seulement quand je te l'ordonne. Ma voix est sec. Froide voir même hostile.

Je m'approche de cette homme. Attrapant son visage d'une poigne forte et douloureuse pour sa mâchoire. Je contemple son visage. Sombre de la faible lumière. Il ouvre ses yeux marron sombre. M'offrant un sourire fier et pervers. Je le relâche fortement.

-Vous vous êtes enfin décidée à venir Heda. Dit il de sa voix rauque.

-Oui pour devenir ton pire cauchemar. Je lui lance en rigolant.

M'approchant du mur. Attrapant un fouet de cuir. Le serrant de mes mains. S'entend la fermenter du cuir à travers mes doigts. Je m'approche de lui.
Son expression faciale change. Devenant un visage paniquée. Sa chemise blanche couverte  de poussière et de crasse brûlerons les futurs marques de son corp.

Attrapant fermement le manche du fouet je commence à le tendre. Pour s'élancer dans sa direction. Visant ses petits bras qui ont osée encercler ma femme. Un bruit strident n'ai au contact de sa peau et du cuir.

-Aahhh, s'écrit t'il face à la douleur ressentie.

Faisant n'aitre en moi une palpitation dans mes veines. Je souris.
Répétant une nouvelle fois ce procéder. Sur son autre bras. Criant de douleur. Bougeant son être pour essayer de s'échapper.

-Tu souffre? Je lui demande.

-À vôtre avis? Me crache t'il.

-Pas assez à mon goût.

Rapidement je m'élance pour le fouettée sur le thorax. Créant une fissure de sa chemise blanche. Saignant son corp pâle. Soufflant tout l'air de ses poumons pour hurler t'elle un animal habitue. Je répète une fois de plus mon acte, ne lui laissant pas le temps de me supplier. Encore, et encore. Faisant vibrer les murs de cette prison. Comme un echo qui résonne entre ses murs. Donnant sa douleur. Je lui crie.

-Ma femme a souffert aussi! Tu souffrira jusqu'à ta mort!.
Abattant mon fouet contre son visage.  Saignant sa peau mélangée à sa barbe. Il pleure. Me suppliant d'arrêter. Quand je constate l'étendue de mes actes. Je me rend compte que son sang est présent sur mes mains. Le fouet en as déposée. Créant en moi une nausée appréciable. Doucement je fais passée le fouet à Indra part les barreaux.

-Passe moi le sel.

Elle s'exécute sans un mot. Un simple regard de tristesse.

Je m'approche de Cillian, ce simple animal. M'accroupissant à une distance raisonnable.

-Ce ci te brûlera la chair vif. Tu souffrira, ta peau brûlera comme la peau de Klork quand tu as posée t'es lèvre sur elle. Je lui dis fixant son regard engorgé de larmes.

Je lui jettes du sel sur les plaies de ses bras. Sur son torse, et rapidement sur son visage. Il hurle à chaque grains de sels déposée sur cette chair comblée de sang.

Je j'êtes le sachet dans un coin de la pièce. Faisant de nouveau grincer cette porte. Que je ferme à clé je fois sortie. Je confie les clés à Indra. Les soupires et mots de douleur qu'il exprime font echo dans cette environnement hostile.

-Monte la garde jusqu'à que le garde reprennent place, fait nettoyer mon fouet aussi.

-Bien heda. Autre chose demande t'elle récupérant les clés.

Je réfléchie avant d'ajouter.

-Ne le nourrissez pas avant demain midi. Et de l'eau seulement dans deux heures.

Repartant seule en direction de la salle du trône. Dans un silence pesant. Mes mains dans mes poches. Saluant quelques gardes sur ma route.

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