chap 2. 𝑚𝑜𝑛𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛

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- « REPRENONS DEPUIS LE DÉBUT... » déclara-t-elle d'une voix claire. Vidhi James, les fesses contre son plan de travail faisait, dans sa cuisine face à l'ensemble de ses hôtes. De haut, car tous avait préféré se trouver une chaise sur laquelle s'asseoir, la jeune femme pouvait s'amuser à les dévisager. En levant un sourcil suspect, elle poursuivit.





« Que font deux aurors, 

une professeure en sortilèges, 

un magizoologiste 

et Albus Dumbledore 

dans ma salle à manger ? »





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Car elle méritait de poser les bases sur la table et de recentrer leur visite surprise en tant que sujet principal de leur discussion. Que venaient-ils faire ici ? Seulement, poser cette question, c'était tendre une perche que le professeur saisit à la première occasion :

- « N'avez-vous pas avouer posséder la réponse à cette question ? » rétorqua-il immédiatement dans une ironie évidente. Albus Dumbledore, dans un costume plus clair que la terre de son chemin, s'était permis de lui renvoyer l'ascenseur. De lui faire remarquer qu'elle avait, sans la moindre humilité affirmer qu'elle connaissait la raison de leur présence. Quelle blague !

- « Que savez-vous ? » enchaîna d'une voix bien trop sérieuse l'ancienne directrice du bureau des Aurors américains, soit avec sa propre identité la personne de Mademoiselle Porpentina Goldstein. Ses mèches noires déposées sur sa chemise d'une blancheur certaine, lui donnait encore et toujours cet air de femme d'affaire. Point commun évident entre Madame, et Mademoiselle. Assise à la droite du professeur, elle la fixait. Tout comme Madame Vidhi James, elle s'était senti dans l'obligation de froncer les sourcils. C'était sa manière à elle de mener la discussion, de la guider vers le sujet qu'ils devaient normalement et ce depuis le début, aborder. Le temps leur était compter et pas question de s'éparpiller en mille et unes petites questions personnelles ! Allons immédiatement et directement, à la véritable raison de leur visite, celle que leur hôtesse avait prétendu connaître.

Le regard de la métisse tomba sur elle, sur la figure élégante et sombre de l'Auror. Elle lui répondit avec la clarté et la fierté d'une Serpentarde connaissant la réponse à la question. Comme à son habitude, elle passa difficilement pas quatre chemins :

« Ce que je sais... » commença-t-elle en se redressant légèrement. « Que vous Madame, n'êtes autre que Porpentina Goldstein, anciennement haut-gradée au MACUSA et depuis quelques mois, transférée ici au Ministère britannique.  À vos côtés, Norbert Dragonneau. » Elle le regarda, entre temps le jeune homme s'était redressé à la hâte, quittant sa chaise pour poser la main sur celle de sa compagne. Légèrement penché sur lui même car peu ravi qu'on lui fasse sa propre biographie, il écouta pourtant les dires de son ancienne collègue. « Auteur des Animaux Fantastiques : Vie & Habitat, ayant lui aussi travaillé au Ministère, Département du contrôle et de régulation des créatures magiques. » La demoiselle esquissa un sourire nostalgique, bon nombres de souvenirs la conduisait tout droit à cette période-ci de sa vie. « Vous êtes le premier a avoir arrêté Gellert Grindelwald, il y a de ça six ans- 

𝐌𝐚𝐝𝐚𝐦𝐞 [𝐟𝐟;𝐟𝐛]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant