Huitième partie

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Ce chapitre est sous le point de vue de Bellatrix.
Oh, et désolée d'avance pour les fans de Ron...
Bonne lecture !

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Bella, je t'aime. Je t'ai toujours aimée et je t'aimerais jusqu'à ma mort. Sois en certaine.》

Je suis sous le choc. Je m'attendais à tous -cris, pleurs, coups...- sauf à cela.

Je soupire un grand coup et j'ouvre cette fichue lettre. Une fois éventrée, y'a pas d'autres mots, quelque chose en tombe.
Je me penche pour le ramasser. Je découvre avec stupeur une petite boîte en fer blanc. Comment ai-je la louper, alors que j'avais palper minutieusement la lettre ? Certainement à l'aide d'un sort.
J'ouvre la boîte et j'y trouve...du cyanure ?!

Par Merlin, Granger, qu'est-ce que tu fout ?!

Je laisse le poison de côté, et je commence à lire la lettre.
La belle écriture de Granger me rappel tant de souvenirs tous plus douloureux les uns que les autres.

《𝓒𝓱𝓮̀𝓻𝓮 𝓑𝓮𝓵𝓵𝓪𝓽𝓻𝓲𝔁,
𝓢𝓲 𝓽𝓾 𝓵𝓲𝓼 𝓬𝓮𝓽𝓽𝓮 𝓵𝓮𝓽𝓽𝓻𝓮, 𝓬'𝓮𝓼𝓽 𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓼𝓾𝓲𝓼 𝓶𝓸𝓻𝓽𝓮.
𝓙𝓮 𝓼𝓪𝓲𝓼 𝓺𝓾𝓮 𝓽𝓾 𝓶'𝓮𝓷 𝓿𝓮𝓾𝔁. 𝓔𝓽 𝓽𝓾 𝓮𝓷 𝓪 𝓵𝓮 𝓭𝓻𝓸𝓲𝓽.
𝓜𝓪𝓲𝓼 𝓽𝓾 𝓪𝓼 𝓻𝓪𝓲𝓼𝓸𝓷, 𝓲𝓵 𝓯𝓪𝓾𝓽 𝓺𝓾𝓮 𝓽𝓾 𝓼𝓪𝓬𝓱𝓮.

𝓓𝓮́𝓳𝓪, 𝓼𝓲 𝓳𝓮 𝓽'𝓪𝓲 𝓭𝓸𝓷𝓷𝓮́ 𝓭𝓾 𝓬𝔂𝓪𝓷𝓾𝓻, 𝓬'𝓮𝓼𝓽 𝓹𝓪𝓻𝓬𝓮
𝓺𝓾𝓮 𝓽𝓾 𝓮𝓼𝓽 𝓬𝓸𝓭𝓸𝓷𝓭𝓪𝓶𝓷𝓮́𝓮 𝓪𝓾 𝓑𝓪𝓲𝓼𝓮𝓻 𝓭𝓾
𝓓𝓮𝓽𝓻𝓪𝓺𝓾𝓮𝓾𝓻. 𝓔𝓽 𝓳𝓮 𝓻𝓮𝓯𝓾𝓼𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓽𝓾 𝓯𝓲𝓷𝓲𝓼𝓼𝓮
𝓬𝓸𝓶𝓶𝓮 𝓬̧𝓪. 𝓙𝓮 𝓽'𝓪𝓲 𝓭𝓮́𝓳𝓪 𝓪𝓼𝓼𝓮𝔃 𝓪𝓫𝓪𝓷𝓭𝓸𝓷𝓷𝓮́𝓮
𝓬𝓸𝓶𝓶𝓮 𝓬̧𝓪.

𝓔𝓷𝓼𝓾𝓲𝓽𝓮, 𝓳𝓮 𝓿𝓪𝓲𝓼 𝓽𝓮 𝓭𝓲𝓻𝓮 𝓹𝓸𝓾𝓻𝓺𝓾𝓸𝓲 𝓳𝓮 𝓼𝓾𝓲𝓼
𝓹𝓪𝓻𝓽𝓲𝓮 𝓬𝓮𝓽𝓽𝓮 𝓷𝓾𝓲𝓽 𝓵𝓪̀. 𝓒𝓮 𝓷'𝓮𝓼𝓽 𝓹𝓪𝓼 𝓹𝓪𝓻𝓬𝓮
𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓷𝓮 𝓽'𝓪𝓲𝓶𝓪𝓲𝓼 𝓹𝓪𝓼, 𝓪𝓾 𝓬𝓸𝓷𝓽𝓻𝓪𝓲𝓻𝓮.
𝓙𝓮 𝓼𝓾𝓲𝓼 𝓯𝓸𝓵𝓵𝓮 𝓭𝓮 𝓽𝓸𝓲. 𝓔𝓽 𝓳𝓮 𝓵'𝓪𝓲 𝓽𝓸𝓾𝓳𝓸𝓾𝓻𝓼 𝓮́𝓽𝓮́.
𝓔𝓽 𝓳𝓮 𝓵𝓮 𝓼𝓮𝓻𝓪𝓲𝓼  𝓽𝓸𝓾𝓳𝓸𝓾𝓻𝓼. 𝓐𝓵𝔀𝓪𝔂𝓼.

𝓢𝓲 𝓳𝓮 𝓼𝓾𝓲𝓼 𝓹𝓪𝓻𝓽𝓲𝓮, 𝓬'𝓮𝓼𝓽 𝓹𝓪𝓻𝓬𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓡𝓸𝓷𝓪𝓵𝓭 𝓶'𝓪 𝓶𝓮𝓷𝓪𝓬𝓮́𝓮. 𝓘𝓵 𝓮́𝓼𝓽 𝓭𝓮𝓿𝓮𝓷𝓾 𝓬𝓸𝓵𝓮́𝓻𝓲𝓺𝓾𝓮 𝓵𝓸𝓻𝓼𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓵'𝓪𝓲 𝓺𝓾𝓲𝓽𝓽𝓮́, 𝓶𝓪𝓲𝓼 𝓲𝓵 𝓮𝓼𝓽 𝓭𝓮𝓿𝓮𝓷𝓾 𝓿𝓲𝓸𝓵𝓮𝓷𝓽 𝓮𝓽 𝓪𝓰𝓰𝓻𝓮𝓼𝓲𝓯 𝓺𝓾𝓪𝓷𝓭 𝓲𝓵 𝓼'𝓮𝓼𝓽 𝓻𝓮𝓷𝓭𝓾 𝓬𝓸𝓶𝓹𝓽𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓬'𝓮𝓼𝓽 𝓹𝓸𝓾𝓻 𝓽𝓸𝓲 𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓵'𝓪𝓲 𝓺𝓾𝓲𝓽𝓽𝓮́

𝓢𝓲 𝓳𝓮 𝓹𝓪𝓻𝓵𝓮 𝓪𝓾 𝓹𝓻𝓮́𝓼𝓮𝓷𝓽, 𝓬'𝓮𝓼𝓽 𝓹𝓪𝓻𝓬𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓽𝓸𝓾𝓽 𝓬𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓳'𝓪𝓲 𝓭𝓲𝓽 𝓮𝓼𝓽 𝓮𝓽 𝓼𝓮𝓻𝓪 𝓽𝓸𝓾𝓳𝓸𝓾𝓻𝓼 𝓿𝓪𝓵𝓪𝓫𝓵𝓮.

𝓔𝓽 𝓵𝓪, 𝓽𝓾 𝓭𝓸𝓲𝓽 𝓽𝓮 𝓭𝓮𝓶𝓪𝓷𝓭𝓮𝓻 𝓹𝓸𝓾𝓻𝓺𝓾𝓸𝓲 𝓳𝓮 𝓷𝓮 𝓽'𝓮𝓷 𝓪𝓲 𝓳𝓪𝓶𝓪𝓲𝓼 𝓹𝓪𝓻𝓵𝓮́, 𝓷'𝓮𝓼𝓽 𝓬𝓮 𝓹𝓪𝓼 ?
𝓔𝓱 𝓫𝓲𝓮𝓷, 𝓳'𝓪𝓿𝓪𝓲𝓼 𝓹𝓮𝓾𝓻. 𝓟𝓸𝓾𝓻 𝓾𝓷𝓮 𝓖𝓻𝓲𝓯𝓯𝓸𝓭𝓸𝓻, 𝓸𝓾𝓲 𝓳𝓮 𝓽𝓮 𝓵'𝓪𝓬𝓬𝓸𝓻𝓭𝓮, 𝓬'𝓮𝓼𝓽 𝓹𝓮𝓾 𝓬𝓸𝓶𝓶𝓾𝓷.
𝓙'𝓪𝓿𝓪𝓲𝓽 𝓹𝓮𝓾𝓻 𝓭𝓮 𝓬𝓮 𝓺𝓾'𝓲𝓵 𝓹𝓸𝓾𝓻𝓻𝓪𝓲𝓽 𝓶𝓮 𝓯𝓪𝓲𝓻𝓮. 𝓐𝓵𝓸𝓻𝓼 𝓳𝓮 𝓶𝓮 𝓼𝓾𝓲𝓼 𝓮𝓷𝓯𝓮𝓻𝓶𝓮́𝓮 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓶𝓸𝓷 𝓶𝓾𝓽𝓲𝓼𝓷𝓮. 𝓘𝓵 𝓬𝓸𝓷𝓽𝓲𝓷𝓾𝓪𝓲𝓽 𝓪̀ 𝓶𝓮 𝓶𝓮𝓷𝓪𝓬𝓮𝓻, 𝓳𝓸𝓾𝓻 𝓮𝓽 𝓷𝓾𝓲𝓽, 𝓶𝓪𝓲𝓼 𝓳'𝓪𝓲 𝓻𝓮𝓯𝓾𝓼𝓮́ 𝓭𝓮 𝓵𝓾𝓲 𝓬𝓮́𝓭𝓮𝓻.
𝓜𝓪𝓲𝓼 𝓾𝓷 𝓳𝓸𝓾𝓻𝓼, 𝓲𝓵 𝓮𝓼𝓽 𝓪𝓵𝓵𝓮́ 𝓽𝓻𝓸𝓹 𝓵𝓸𝓲𝓷. 𝓘𝓵 𝓶'𝓪 𝓪𝓰𝓰𝓻𝓮𝓼𝓼𝓮́𝓮 𝓹𝓱𝔂𝓼𝓲𝓺𝓾𝓮𝓶𝓮𝓽. 𝓘𝓵 𝓪 𝓪𝓵𝓸𝓻𝓼 𝓿𝓸𝓾𝓵𝓾 𝓶𝓮 𝓿𝓲𝓸𝓵𝓮𝓻, 𝓶𝓪𝓲𝓼 𝓳𝓮 𝓶𝓮 𝓼𝓾𝓲𝓼 𝓭𝓮𝓯𝓮𝓷𝓭𝓾𝓮. 𝓒'𝓮𝓼𝓽 𝓪𝓵𝓸𝓻𝓼 𝓬𝓮𝓽𝓽𝓮 𝓷𝓾𝓲𝓽 𝓵𝓪̀ 𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓽'𝓪𝓲 𝓺𝓾𝓲𝓽𝓽𝓮́𝓮.

Un jour, peut être...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant