Danse au clair de lune {𝑍ℎ𝑜𝑛𝑔𝑐ℎ𝑖}

Chapitre 2 : Malade ou non ?

PDV : Tartaglia

Je me réveilla, la lumière du soleil sur mon visage. Zut, j'ai pas fermé les rideaux hier soir... Je me redresse, mais un poids sur ma taille m'en empêche. Je regarde sur le côté et vois Yun. Je vous jure, celle là... Je la décale lentement, lui fis un bisous rapide sur le front et m'habilla. N'ayant pas faim, je me dirigea tout de suite vers le funérarium. Mais une fois sorti de chez moi, je me posa une question : Zhongli était-il vraiment debout à l'aube ? Non, je ne pense pas... Je marcha alors vers le petit coin d'eau près de la maison et m'y posa. Je regardais la surface calme de l'eau. Les souvenirs d'avant hier soir me revinrent en tête. Ces demis adeptes nous ont donné du fil à retordre... Même Scaramouche a eu du mal. Son chapeau est tombé, un Fatui l'avait pris pour un gosse du village. La carnage que ça a fait. Je rigola doucement. Le vent soufflait doucement, et j'entendis des bruits de pas. Je tourna la tête et vis Zhongli

Tartaglia : Oh, Zhongli? Qu'est ce que tu fais la ?

Zhongli : Je voulais venir te rendre visite, pour voir si tu allais mieux

Tartaglia : Aussi tôt ?

Zhongli : L'heure importe peu. Je peux m'assoir ?

Tartaglia : Oh oui, vas-y

Zhongli s'installa a côté de moi.

Zhongli : Tu va bien ?

Tartaglia : Je suis encore un peu faible mais je vais bien.

Zhongli : Tu prend bien tous tes repas ?

Tartaglia : Euh... Oui...

Zhongli : Tu as déjeuné ?

Tartaglia : On dirais que tu me fait passer un interrogatoire...

Zhongli : Parce que je dois prendre soin de toi.

Tartaglia : Mais je suis assez grand pour me gérer tout seul

Zhongli : C'est sur que vu ton état tu peux te gérer tout seul. Tu as encore utilisé ta transformation alors que tu ne t'étais pas encore remis de la dernière fois.

Tartaglia : Comment tu-

Zhongli : Je te connais par cœur Childe, il est inutile de me mentir.

Zhongli me fit un tendre sourire. Soudain, mon cœur devins léger. Je ne savais pas pourquoi, mais il a toujours le don pour rendre mon cœur fou. En même temps, on ne peut résister aux paroles d'un homme aussi charismatique...

Zhongli : Allo Childe !

Tartaglia : Oh pardon, j'étais dans mes pensées

Zhongli : Si tu ne te sens pas bien, il vaut mieux que tu te repose. Je t'apprendrai à manger avec des baguettes plus tard.

Tartaglia : Mais je me sens bien !

Ping Yun : Pas du tout !

Nous sursautons tous les deux et nous nous tournons, voyant Yun, les poings sur les hanches.

Zhongli : Bonjour Ping Yun

Ping Yun : Bonjour Sieur Zhongli. N'écoutez pas Childe, il ne va pas bien.

Tartaglia : Bien sur que si je vais bien !

Ping Yun : Tututut! Allez, tu va aller prendre un bon déjeuner et après je m'occupe de toi !

Tartaglia : Mais et mon cours...

Zhongli se leva et retira la feuille qu'il avait sur l'épaule.