Les pouvoirs perdus

Chapitre 17 : Léo Valdez devient organisé, by Jason & Percy

Dédié à mooncookie5, Merci de me suivre depuis le début ❤️

PDV JASON

- LÉO !! NON !!!

Piper avait crié tellement fort et s'était ruée vers notre ami. Hazel et Annabeth en firent autant, suivi de Frank. J'étais trop sonné pour bouger. Pas encore !! Je vis qu'à côté de moi Percy tremblait de rage.
L'histoire se répétait.
Piper avait les yeux remplis de larmes, et Hazel semblait voir s'il était bel et bien mort grâce à ses talents de fille d'Hadès.

- Comment avez-vous pu ! aboya Percy à l'intention de Tartre et Circé.

Eux ricanaient diaboliquement. Circé répondit près avoir verser le sang de mon meilleur ami dans son chaudron :

- Très simple. Nous nous sommes vengé. Voilà ce qu'il avait fait à notre mère la Terre. On récolte ce que l'on sème.

Tartare ricana toujours, mais cette fois d'une façon plus... flippante. Vous voyez, quand Léo s'était fait poignarder, il avait ri comme pour dire : bien fait. Maintenant s'était plutôt : vous avez déjà perdu, inutile de continuer. Filppant quoi.
À ce moment, un toussotement me sortir de mes réflexions. Je me retournai et vis Léo lentement se redresser. Il était vivant !  Au même instant, nos ennemis se turent et écarquillèrent les yeux.

- Comment...? commença Circé.

Léo se leva et ri.

- Comment j'ai fait pour survivre ? Vous croyez sérieusement que j'ai rien appris pendant ces derniers mois ?

Je ne compris pas se qu'il voulait dire. En toute réponse il se frappa mollement le ventre. Clag !

- Tu avais mis une armure sous ton armure ?! demanda Piper.

- Ouaip. On est pas organisé nous ?

J'écarquillai les yeux face aux paroles de mon ami. Néanmoins, je sentis un énorme sentiment de soulagement. Léo n'était pas mort ! Mais Circé avait quand même son sang. Moins cool.
C'est Tartare qui brisa notre silence de réflexions en hurlant :

- Cela ne change rien !

Il claqua des doigts et trois autres ogres accoururent. Il y en avait donc maintenant cinq.

- Attrapez les !

Les ogres se ruèrent sur nous, nous laissant aucun répit. En moins de deux secondes, Piper, Hazel, Léo, Frank et moi nous retrouvâmes prisonniers des bras des ogres de terre. Annabeth et Percy se retrouvèrent seuls, sans couverture.

- Alors, on se retrouve ? ironisa Tartare.

- Que nous voulez vous ? demanda Annabeth.

La panique s'entendait dans sa voix.

- Nous avons besoin des âmes des deux sang-mêlés qui avaient donné leur sang pour réveiller Gaïa.

Nous étions mal. Tartare allait tuer nos amis ! Ce qui, en réalité, ne changeait pas de ses habitudes.

- Mais, interrompit Circé, il faut qu'ils se sacrifient de leur plein gré !

- Alors là, vous pouvez toujours rêvé ! cracha Percy.

Comme réponse il eu un nouveau ricanement du dieu de l'abîme.

- Si vous refusez, vos amis serons tués ! Je vous conseille de réfléchir.

Ah. Ouais alors là, on était vraiment mal.
Annabeth regarda Percy d'un air entendu. Son regard avait à la fois l'air mélancolique et, comment dire, comme pour dire : t'es prêts ?
Mon ami acquiesça. Il prit pointa sa lame à son cou et Annabeth en fit autant.
Circé avait l'air satisfaisante, son collègue maléfique aussi.
Je vis à ma gauche de Frank les regardait. Il avait l'air terrorisé. Léo, qui était seulement à moitié conscient, fixait tristement le bocal dans lequel se trouvait les pouvoirs des dieux. Hazel et Piper pleuraient silencieusement toutes les larmes de leur corps. Soudain, Percy hocha la tête, comme pour dire : allons y !
Au moment où ils étaient supposé se tuer, ils se ruèrent vers nous. En moins de deux secondes les ogres se transformèrent en poussière, n'ayant pas pu combattre face à la vitesse de nos amis.

Circé poussa un cri et cracha :

- Vous avez intérêt à faire se qu'on vous dit, sinon vous mourez tous, et pas seulement deux d'entre vous !!

PDV PERCY
C'était le moment ! Tartare nous fixait d'un air, hum, furieux, et Circé, qui venait de nous menacer, se retourna, reprenant son occupation à son chaudron. Cette femme avait vraiment des problèmes mentaux. Je me tournai vers mes amis, qui avaient récupéré leurs armes et étaient prêts au combat. Nous nous lançâmes tous le même regard.
Il était temps.
Nous devions appliquer notre plan. Je fermai les yeux et me concentrai. Dans le puit, à côté du chaudron, il y avait de l'eau. Beaucoup d'eau. Assez pour réussir ma part du plan. Je lavai les bras, me concentrant de plus belle. L'eau vint à moi, et mes amis amis reculèrent. Je commandai à l'eau d'encercler nos ennemis. Ces deniers furent bien vite prisonniers de la prison de boule d'eau. Tartare et Circé ne pouvaient pas utiliser leurs pouvoirs s'ils étaient en position de faiblesse.

- Maintenant ! criai-je à mes amis.

Ils s'élancèrent vers le bocal de pouvoirs.

- Nous devons le détruire, entendis-je déclarer Hazel.

- Unissez vos pouvoirs pour triompher.

Hm. Si je comprends bien, nous devions utiliser nos pouvoirs pour détruire ce bocal. Mais, en vrai, ce n'était qu'un bocal. On doit bien pouvoir le détruire sans se vider de nos forces !
Léo paru lire dans mes pensées. Il s'approcha d'un bocal et sortit un tournevis de sa ceinture. Il le leva et frappa le bocal en plein fouet. Soyons clairs ; un bocal ordinaire se serait fracassé en milliers de petits éclats avec un coup pareille. Mais non. Il s'en sorti sans la moindre égratignure.
Je commençais à m'affaiblir. Tartare se débattait et Circé en faisait autant. Je n'aurai bientôt plus de force pour les retenir. Annabeth paru comprendre et cria à l'intention de mes amis :
- Ok, stop !! Percy n'aura bientôt plus de force pour retenir nos ennemis donc ils font ait agir vite ! La prophétie dit clairement qu'il faut utiliser nos pouvoirs !
Mes compagnons semblèrent enfin comprendre. Ils se ressemblèrent autour du bocal. Piper commença son enjôlement :

- S'il te plaît, ouvre toi. Nous pourrons ainsi libéré les pouvoirs des dieux.

Je crus apercevoir une mini griffure qui se formait sur le bocal.
Léo alluma une flamme au creux de sa main et la braqua sur le bocal. Jason fit de même avec sa foudre.

- Vous ne vous en sortiez pas aussi facilement !!

La voix de Tartare commençait à presser. Ses pouvoirs étaient beaucoup plus puissants que les miens.

- Dépêchez vous ! articulai-je.

Hazel ferma les yeux et fit sorti de la terre une demi douzaine de pierres précieuses.
Le bocal avait maintenant accumulé une dizaine de griffures. Ils semblait être à deux doigts de se briser. Frank se retransforma en grizzly et commença à frapper de toute ses forces le bocal. Annabeth susurrait à mi-voix les œuvres d'Aristote. Il ne restait plus que moi. À ce moment là, Tartare et Circé réussirent à ce libérer. Mais il fallait de le bocal goute à mon eau !