L'abatteuse de Rêve

chapitre 3

J'ouvre  les yeux. La lumière filtre à travers les feuilles. Où suis-je ?
Je vois, des cornes de cerf sur...un corps de femme. Elle a des longs cheveux noir. Je regarde à droite, je vois un étang, je me lève pour m'y dirigé. Mes jambes me bloquent je ne peux bouger que ma tête ... Le ciel se couvre, tout devient noir. Je bouge mes mains, c'est bon, je peux les bouger ! Je tâtonne, je sens objet dure sous les doigts, je l'attrape. Je sens un bouton, j'appuie dessus. Je retrouve la vue, je vois, peu... Le brouillard m'emporte, je vole...

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Je me réveil haletante et trempé de sueur, je vois sœur Bernadette assise sur une chaise, une bible à la main.
- Où est la forêt ? Dis-je.
- Ô seigneur elle est réveillé, elle est réveillé, ô soeur Dominique, voyez, elle est réveillé!
Le temp que je reprenne mes esprits, je me rend compte que je suis à l'infirmerie. Mais, qu-y fais-je? (Que-ce que  j'y fait).
-Ma soeur, que fais-je ici?
- Ô seigneur, vous êtes réveillé !
- Ma soeur-
- Ma chère, figurez vous qu'une de vos camarde de dortoirs est venu me réveiller car vous vous agitiez dans votre sommeil et que vous hurliez  à la mort, vous auriez pus faire fuire n'importe qui, vous étiez  effrayante, voyez vous, j'en tremble encore !
- je vois je vois ma sœur, combien de temp cela fait t'il que je suis ici ?
- Et bien, il est midi.
- Ho, je vois, j'ai eu peur, je pensais que je ne mettais pas réveillé depuis quelques jours.
-Ho si, cela fait 1 semaines que vous ne vous étiez pas réveillé, aujourd'hui est donc votre anniversaire. Mais le médecin est passé hier et il a dit que tu aurai le droit de sortir du lit a midi .Autrement, tu ne bouge pas de se lit pendant 2 heures encore.
- pourra-t-on fêter mon anniversaire quand même ?
- mais bien sûr, me répondit elle, tu connais la tradition ! Aux jours des anniversaires, nous faisons des activités manuelles et tous le monde fais un cadeau à la personne concernée !
- Je sais, mais comme je suis à l'infirmerie, je me demandais si je mangerais quand même du gâteau...
- bien sûr, bien sûr, les élèves ont préparé les cadeaux hier.
-mais, qui m'a remplacé pendant mon absence ?
-Justement, c'est ce dont je voulais te parler, te souviens tu de ma proposition de devenir bonne soeur ou de former un enfant ? Et bien justement, cette enfant qui m'a aidé se débrouille plutôt bien, mais il aurai quand même besoin d'être formé et je ne peux pas tout lui apprendre de moi même, je n'ai pas le temp... Voudrais tu bien lui apprendre tt ce qu'il faut savoir ?
Yes, je vais enfin pouvoir avoir un remplaçant, depuis le temp, je vais enfin pouvoir prendre un peu de temp pour moi.
-Bien sûr, répondis-je, comment s'appelle-t-il ? 
-C'est une fille et elle s'appelle Jeanne !
-Et bien, commence-je, dites à cette Jeanne de me rejoindre demain à 10 heures pétante dans la bibliothèque, je ne supporterais aucun retard!
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Il est 19 heure, nous sommes dans la grande salles, cette grande salle est nécessaire car nous sommes approximativement 400, soit 100 par tables, car, comme je l'ai dit auparavant, il y a 4 grande tables.
Deux cuisinier apportent un grand gâteau sur un plateau d'argent. Il est très beau!
- c'est un chocolat coco comme tu nous avais demandé l'an dernier ! Me déclare sœur Bénédicte.
-woawwww trop bien merci !!
Tout les élèves vinrent l'un après l'autre me présenter leurs cadeaux, il y avais de tout, des dessins, de la pâtes à sel, des crayon, des cartes, Lorène qui a 4ans et qui me considère comme ça mère a voulut m'offrir son doudou, mais j'ai tout de suite refusé, quand on connais la petite Lorène, on sais que quand elle n'a pas son doudou, c'est un tsunami de larme et une avalanche de colère et d'objet cassé, mais son attention m'a beaucoup touché, je suis la plus agée dans l'orphelinat et beaucoup d'enfants me considère comme leurs mère, mais Lorène est la petites fille la plus gentille que je n'ai jamais connu, elle est doué d'une grande bonté et veux toujours faire plaisir.
Soeur Ma Jé, qui est d'origine antillaise, c'est dirigé vers moi d'un pas pressé.
- ma chère, wous deyez venir, soeu Dominic wou démande.
- dites lui que j'arrive, lui répondis-je.
-wé loui dirai.
J'aime beaucoup soeur Ma Jé, elle est gentille, elle s'occupe de la nurserie et elle nous berce et nous raconte des histoires, sont accent chantant nous bercais et nous faisais voyager dans les tropiques, mais maintenant je suis trop grande pour les histoires et les chansons, maintenant c'est moi qui chante et qui conte. Je fait un gros câlin à la petite Lorène et je me dirige vers les bureaux, en face de la nurserie.
Je toque trois coup pour signaler ma présence, mais au moment où je tape le troisième coup, la porte s'ouvre à la volé.
-  Je t'attendais Sombrune, entre!
J'entre dans le petit bureau de soeur Dominique, il y a une petite table rectangulaire, deux chaises sont disposé d'un bout à l'autre de la table, une grande crois et accroché au mur.
- Assis toi, ça peut être long
Mais de quoi vat elle me parler ???
- Tu sais que nous t'avons recueilli alors que tu n'avais que quelques heures ? Te souviens tu de ce qu'il y avais dans le panier dans le quel tu étais ?
- bien-sûr que je m'en souviens, il y avais le doudou, une couverture, moi, et deux lettres. HO !!  Mais bien sûr, c'est de ça que vous voulez me parler, aujourd'hui est mon anniversaire est je vais recevoir ma lettre!
- et bien, commence soeur Dominique, comme tout les cadeau que les enfants reçoivent, nous les ouvrons, je ne veux pas te décevoir, mais la lettre était vierge, il n'y avais qu'un seul mot en bas à droite. Je te laisse la prendre, elle est dans la boîte qui est à coté de toi. Mais tu peux aussi la laisser, je pense que cette lettre n'apporte rien de bon.
Je regarde à ma droite et aperçois une belle lettre jauni par le temp, une écriture italique indique le nom de l'expéditeur.
Est ce vraiment la peine, me demande- je, ce n'est qu'un mot.
Je me desside et je l'attrape.  Elle semble lourde.
- Tu peux aller l'ouvrir dans ton dortoir ! Me dit soeur Dominique.
Je sort du bureau,prend à gauche et tourne a droit en contournant le réfectoire, je prend l'escalier au bout du chemin, je débouche tout droit et arrive devant la porte qui mène au dortoir, je me dirige vers mon lit qui est au fond, il y a une personne sur mon lit, elle a les cheveux noir de jais comme dans mon rêve, elle tourne la tête et voit que je la regarde, et elle disparaît. Je suis, finalement plus très sûr de vouloir lire la lettre. Elle doit porter malheur, d'abord mon rêve puis ça, c'est étrange...
Je m'assois maladroitement sur mon lit. Et ouvre l'enveloppe.