Les yeux vers le futur

Chapitre 12

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Le temps était maussade, et la météo avait annoncé un orage, jimin avait atterri dans dans un endroit inconnu, et la faim qu'il ressentais en ce moment l'empêchait de réfléchir calmement à une solution, à son problème. Il n'avait que ces vêtements sur le dos, il était encore heureux qu'elle le réchauffé un peu, mais jusqu'à qu'on plus que l'orage montré le bout de son nez.

*Que vas-tu faire maintenant qu'on est ici, nous sommes dans la rue à prendre la pluies, et tu ne penses qu'à toi et pas au bébé *

- il n'y a plus de bébé, je te l'ai dit, l'autre jimin là. Soupira-t-il tout en essayant de ce réchauffé.

* C'est ce que tu crois, et comment tu explique la faims que tu ressens en ce moment, elle est insupportable pas vrai, ce bébé est bien réel, alors ne fais plus comme s'il n'était pas là *

- j'ai un peu peur c'est tout, il fait froid et je ne sais pas quoi faire pour me sortir de là, et je sais que tu m'en veux d'être parti, c'est pour pour ça que tu me parles aussi durement. Soupira jimin tout en sentant une goutte d'eau tombée sur lui.

Il soupira tout en observant les gouttes de pluie, tomber sur le sol avant qu'une averse ne les remplace. Il faisait froid et il ne savait pas où il pourrait allé. Il ferma les yeux tout en se balançant sur lui-même tout en fredonnant, une chanson que lui chantait sa grand-mère, lorsqu'il avait peur, et c'était ce qu'il ressentais en ce moment, il avait peur pour lui et pour sont bébé. Un parapluie se plaça au dessus de sa tête, il leva les yeux vers l'inconnu qui avait posé l'objet sur sa tête.

-  Que fais-vous dans cette averse, vous allez attrapé froids, vous n'avez pas un endroit où allez ? Demanda l'homme en face de jimin qui tenait le parapluie.

- Je... Je n'ai nulle part où aller, je suis seul au monde. Dit-il tout en laissant couler une larmes sur sa joues.

-  Tu n'a nulle part ou allez, et je ne peux pas vous laisser sur la pluie, je ne suis pas sans cœur, je sais que je suis un inconnu, mais ma maison es ouverte pour toi, mais je ne peux pas vous forcé à me suivre. Dit-il tout en tendant sa main

Sont cœurs battait à cents à l'heure, et ces joue prirent des couleurs, sans raison, il était simplement devant lui et ce simple fait, avait su réveillé en lui son côté oméga, qui c'était endormi dans l'autre dimension. Peut-être que c'était ici l'endroit où il devait être, cet endroit qui lui donnera que du bonheur, il n'était pas non plus bête, il savait que ce bonheur devant lui serait accessible s'il se battait pour cela, il voulait ce blottir contre son torse, plus que tout, c'était une envie qu'il ne pouvait expliquer, mais maintenant, pour l'instant il devait saisir sa chance, alors il attrapa la main de ce dernier, qui l'aida à ce relevé, et laissa ce dernier à le conduire jusqu'à la voiture garer au loin. Elle était belle d'après lui qui ne s'y connaissait pas du tout à la nouvelle technologie. Il s'installe dans la voiture à côté de son sauveurs, qui referma la portière derrière avant de posé ces yeux le chauffeur qui attendait des ordres de sa part.

- Ramène nous à la maison. Ordonna-t-il tout en reposant ses yeux sur jimin qui tremblait de froid.

Il retira la veste qu'il avait sur le dos et la déposa sur le corps du plus jeune qui avait fermé les yeux, il était si fatigué son corps étais about. Son souffle était si rapide ce qui inquieta encore plus l'homme qui l'avait pris avec lui. Il soupira il ne pouvait pas demander au chauffeur de conduire plus vite, dans un cet orage. La voiture s'arrêta dans le parking de la maison,  le chauffeur descendi de la voiture, parapluie à la maison, et se dirigea vers la portier arrière pour permettre à son patron de sortir sans ce mouillé, ce dernier en sortie, et porta jimin dans ses bras, jusqu'à dans la maison, tout les domestiques avaient les yeux rivé sur la personne qui se trouvait dans les bras de leur patron, avec curiosité, c'était la première fois qu'il le voyait et leur patron, n'en menée personne d'étranger chez lui. Il monta les escaliers et pénétra dans sa chambre, ou il déposa jimin sur son lit, avant retirer les vêtements de ce dernier sans arrière pensée.

-  Demande au docteur de venir de toute urgence ! S'exclama-t-il au majordome qui avait apporté un boule d'eau.

Jimin était brûlant de fièvre, il avait passé quatre assise sur la pluie à ce demander comme il allait faire, pour ce nourrir car son estomac déclarer déjà. Et maintenant il était inconscient. Quelque minutes plus tard la porte de sa chambre s'ouvrit sur son médecin et ami.

-  Tu peux sortir et me laisser faire mon travail, je n'est pas besoin de toi dans mes pattes. Dit-il tout en poussant le maître de maison à l'extérieur de sa propre chambre.

Ce dernier soupira tout en faisant les cents pas dans le couloir. Il ne se comprenais plus, c'était la première fois qu'il voulait autant prendre soin de quelqu'un, il ne c'était jamais arrêté pour proposer à quelqu'un de loger chez lui, de surcroît un inconnu, il s'inquiétait beaucoup trop pour ce dernier qu'il n'y comprenait pas lui-même. Il soupira tout en sa dosant contre le mur attendant patiemment que son ami sorte de sa chambre et lui dire ce qui ne va pas avec le gamin qu'il a ramené chez lui.  Quelques minutes plus tard, la porte s'ouvrit sur le jeune médecin, qui avait un sourire sur les lèvres.

-  Dis-moi où tu a pu avoir un oméga, il n'en existe plus et il en a un chez toi, tu me cache des choses maintenant sur tes partenaires. Dit-il tout en posant ces mains sur ses hanches.

- mec tu te trompe, je ne savais même pas qu'il était un oméga, avec cet orage, comment distinguer les odeurs, et je viens juste de le rencontrer. Soupra-t-il tout en soutenant le regard de son ami.

-  Je te crois, mais tu peux m'expliquer pourquoi le bébé qu'il porte l'odeur de tes phéromones, à ce je sache seul ton enfant a naître porte l'odeur du père pour que personne, ne puisse refuser la grossesse. Dit-il faisant écarquillé les yeux de son ami.

Namjoon ne comprenais plus rien, comment pouvait-il être le père de cette enfant alors qui n'avait jamais vu cet oméga de sa vie et maintenant il savait dans quel problème il c'était mise.