Des cries qui résonnent dans ma tête. Mélanger aux images devant moi. Le regard vide de ce qui ce produit devant mes yeux. Lourd de mes douleurs. Allongée contre le sol plein de boue, sous les larmes du seigneur à la recherche de l'âme déchut que je suis, tombant du ciel gris qui à remplacer le bleue de tout à l'heure, ce depuis quelques heures.
J'entends les parents dirent à leurs enfants de rentrer rapidement. Moi, je reste allongée. Mon tento à mes côtés, un petit couteau de poche de couleur noir-gris avec des perles doré, à côté de ma tête, devient aussi tremper que moi. Je ne suis pas supposer le sortir de son fourreau. Mais parfois je le fais. Pour qu'on vient me chercher. Me tuer. Mais jamais ça c'est produit. Toujours, j'ai mon coeur qui bat, ma respiration qui entre et ressort de mon corps.
Je ferme les yeux pour me souvenir. Toujours ce souvenir qui passe dans ma tête. Comme une boucle temporel.
-Hey, reste pas là, tu vas être malade.
Je ne réponds pas. Je tourne mon regard lentement vers la personne. Un vieux. Cheveux blanc et barbe légère de la même couleur. Il s'accroupit près de ma tête. Son visage au dessus de mien, me regarde. Un sourire se pose sur ses lèvres.
-Dit, tu n'a pas vraiment envie de te lever hein?
Je ne réponds toujours pas. Je n'ai pas le droit de parler. Car depuis cette nuit, ma voix s'est perdu dans les larmes d'un enfant de huit ans.
-Tu as un endroit où rester?
Je secoue la tête. Je lui réponds par geste. Je ne dors jamais à la même place. Je suis même pas sensé être ici. Je serais très mal vue.
-Tu veux un endroit?
Il me tend la main pour que je me redresse. Je la prend avec lenteur et mon corps se lève. Il prend mon tento et me regarde. Dans ses yeux, je vois bien qu'il a comprit. Qu'il sait par un simple objet qui je suis. Mais je ne fais rien.
-Ok, on vas te sécher, t'habiller, t'installer et on en reparle de ça d'accord?
Je ne dis rien. Il me soulève avec douceur et me serre la main sans là lâcher. Je baisse la tête. Le suis. Docile.
Je relève la tête une fois que nous sommes devant un portail. Il entre. Moi, je reste à l'entrée. Je ne peux y pénétré. Il se stoppe et me regarde. Il fait un signe de croix. Me laissant un passage pour que mes pas m'y amène.
-Je sais qui tu est, mais je sais aussi que tu n'est pas méchante.
Je ne dis rien. Il me fait entré. Là, j'y vois pleins d'homme. Mais tous me fixent comme si j'étais pas de ce monde. Après tout, c'est la vérité.
-Comment tu t'appelle? Me demande le vieux en me faisant asseoir sur un banc.
Je ne réponds pas et fixe le vide. Malgré que cette tragédie c'est produite il y a sept ans, je ne veux toujours pas parler. Il me tend une feuille et un crayon.
-Écris le.
Je prends doucement le crayon. Commence à griffonner mon nom.
«Hina Yamamoto»
Il lit mon nom. Hoche la tête.
-Je t'ai retrouver.
Je le regarde rapidement à ses paroles. Me retrouver? Pourquoi? Il ne dis rien d'autre. Il ne fait que me sourire. Caresser ma joue. Je le regarde doucement, en silence, sans rien dire.
-Reste ici, tu pourra t'y sentir comme chez toi. Puis tu sera entourer.
Je ne dis rien de nouveau. Les larmes coulent sur mes joues.
-Hey, petite, t'est qui?
Je regarde le monsieur habiller de sa toge noir de prête, de pratiquant. Il me regarde, les bras croiser.
-Tu vient de où? T'est si trempée! Les gars, aller chercher des serviettes et des vêtements propres!
-On a que ceux de Rin et Yukio.
-Apporter des vêtements c'est tout!
Il me regarde de nouveau, sans prêter attention à celui qui est déjà devant moi. Je tourne mon regard vers le vieux.
-Je m'appelle Shiro Fujimoto. Va voir Mephisto. Il t'aidera.
Je ne dis rien. Mephisto...Je ne le connais que trop bien...Je hoche la tête. Je regarde l'homme qui s'est approcher pour crier. Il me regarde. Prend les serviettes qu'on lui tend et me les déposes sur mes épaules. Je le laisse faire en silence.
-Aller, contacter l'académie, elle sera mieux là-bas.
Je relève la tête et je ne vois pas le vieux. Il n'y est plus. Je balance mon regard partout pour le trouver. Je me lève rapidement et fait le tours de moi-même. La respiration rapide. En laissant un seul nom franchir mes lèvres cousue depuis des années.
-Shiro...
***
Devant l'académie, aider par les hommes du monastère où je me suis rendu, je regarde l'établissement. Mon sac en bandoulière sur mon épaule, mes cheveux de couleur grisante, qui change pour un bleu-mauve quand je dégaine mon tento, attacher proprement, habillée de l'uniforme de l'école, sauf que j'ai mis ma touche personnelle, j'ai mis des collant sous ma jupe, n'aimant pas montrer mes jambes, ma queue de démon entourer autour de mon ventre, je tremble doucement de peur.
Je vois les élèves discuter entre eux dans la cours derrière la barrière. Je mets ma main instinctivement sur mon tento à ma hanche du côté droit. Je ferme les yeux, prenant une grande inspiration.
-Tu vas rester là longtemps?
Je ouvre rapidement les yeux en entend la voix masculine. Un jeune homme, habiller de l'uniforme, cheveux bleuté en bataille, oreille pointue, les canines qui ressortent pointue, me sourit doucement.
-Je suis Rin. Rin Okumura. Je connais ta douleur. Aller vient. Je vais montrer ton dortoir.
Il avance vers l'entrée. Je m'empresse de le suivre. Il me fait visité le bâtiment. Puis il se stoppe devant une porte. Il me sourit doucement.
-À toi l'honneur.
Je le regarde incertaine. Mais pousse la porte. Me laissant voir deux lit normal, ainsi que un improviser au sol. Je regarde l'intérieur.
-Ouais, on a improviser un lit, évidement, je voulais que tu partage le mien, ça n'a pas de sens que tu dorme au sol. Mais tu va devoir partager la chambre avec mon frère et moi, vue ta condition. Au fait, t'est la fille de quel démon?
Je serre la main sur ma ganse de mon sac. La tête baisser je fixe le sol.
-OH! La nouvelle est arriver!! Retourne toi pour que je te vois!
Je connais cette voix. La voix de mon père...Celui qui m'a fait renaître en démon...tuant ma mère par le fait même...Lui qui à semer la merde dans mon village. Dans ma vie. Tuant ma famille entière à cause que je me suis laisser emportée sans le vouloir après avoir trouver mon tento dans le tiroir du bureau de ma mère.
Je me tourne pour lui faire face. Il sourit bêtement avant de me voir. Là son sourire s'efface.
-Hina...
-Mephisto...Souffle-je doucement. Ou devrais-je dire Papa?
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Vivre avec un démon: Rin Okumura(Ao No Exorcist)
FanfictionJe n'ai que vue les ténèbres. Des cries, comme piégée dans le passer de cette nuit de terreur, tournent en boucle dans ma tête. Me laissant jamais dans un repos que je voudrais éternel. Toujours, j'ai dû vivre avec ma faute. Ma douleur. Ma panique...