- Je viens te chercher, aujourd'hui. m'annonça Sanzu en me souriant.
- Tu m'amène quelque part? Où? dit-je curieuse.
- Où tu veux.
- C'est sensé être un rancard?
- Je sais pas. J'avais juste envie de sortir avec toi, encore une fois.
- Le dit pas comme si c'est la dernière fois! C'est d'accord. Je t'attendrai, ici, devant le collège. T'as bien dit où je veux?
- Oui, t'as un endroit dans la tête?
- Pas vraiment. Je voulais faire une balade en moto. Ça fait longtemps qu'on a pas fait moi et mon frère.
- D'accord.
- Aller. À plus.
Il s'en alla que lorsque je n'était plus dans son champ de visition.
C'est drôle comment il me colle d'un coup, enfin il veux que je sois avec lui. Lui se coller à une personne? Jamais.
Cela me plaisait de le sentir aussi à attentionné à mon égard. Il avait changé d'attitude si soudainement mais je sais qu'il le cachait début et maintenant il se révélait tout doucement, il comblait le vide que Naoto m'avait laissé.
L'orsque je mis les pieds à l'intérieur de la classe, sans que je je ne me contrôle, mon regard n'avait cherché que ce denrier.
J'avais le sourire aux lèvres malgré que Naoto avait toujours cette distance entre nous.
Mais cette fois j'ai fait comme mon frère me l'avait dit, juste hier. Je m'étais assis et j'avais poursuivi le cours comme de rien n'était. Même si j'avais mal. Je voulais comprendre ses motifs mais je voulais pas m'humilier, alors c'était décidé, je ferai comme lui.
C'était infernal. Cette journée ne voulait plus se terminer. Je gardai une allure normal mais en fait ça me faisait mal. Pourquoi tout avait mal tourné entre nous? J'avais rien fait dutout.
La sonnerie de midi retentit. Je me levai dans le but d'aller au toilette et me laver le visage.
C'était un etageven dessous, j'arrivai et l'avait mes mains moites. C'était désagréable.
Tout ça est con, tout est complètement con.
- T'es qu'un con! Qu'un con Naoto! avais-je soufflé un grognement.
- Il a fait quelque chose, Naoto?
Mes yeux se levèrent vers le miroir, c'était Hinata, sa sœur.
- Dit moi, est-ce que ça va? Tu n'as pas l'air en point. s'inquiéta l'aînée en s'approchant.
- Je vais bien.
Vace ma main mouillé je fermai le robinet puis pris un mouchoir en papier en sortant pour m'assurer les mais. Je l'avais laissé.
Tout va bien. Snazu est la pour moi.
Je souris.
Oui il me laissera pas, j'en suis sûr.
Je repris un peu l'humeur pour poursuivre cette journée, ensuite je retournai en classe.
...
PDV Takemichi
- Naoto est triste ces jours. balbutia-t-elle en baissant légèrement la tête.