Je fit deux pas jusqu'à Hanma, les poings serrés
- Assume que ton plan "deux oiseaux en une pierre" à été un échec. lui criai-je en pointant mon doigt sur lui.
- Tu met en doute mes capacités, salope?
- Boss, j'ai fait ce que je devait faire.
- Est-ce que t'as vraiement tout raconté à Naoto? dit-il d'une voix calme en s'approchant progressivement de moi.
- Quand il était presque vingt-trois heures oui, Hanma avait fini ce qu'il devait faire. dit-je en fuyant son regard.
Je vis ses pieds se poser sur le sol devant moi. Quand mon regard remonta je le vis me sourire, mais je savais bien que c'était une fausse expression. Je sus donc que tout était foutu.
- Qu'est-ce que tu lui as dit exactement?
- Juste que les deux était mort à ce moment là par le plant d'Hanma.
- Donc t'as ouvert ta gueule inutilement.
Plus aucun mots ne sortit de moi.
Je suis conne! Je devait juste partir quand j'ai demandé l'heure...
- Je vais te laisser la vie cette fois. Mais ton frère va rester avec moi encore un peu.
Il retourna devant las vitre, sans enlever ses mains de ses poches.
- Non... j'ai fait tout ça pour rien...
- Tu peux disposer.
- Ecoute moi!
- Je doit me répéter?
Ses yeux me traversèrent par dessus son épaule.
Il est quoi ce mec?
Je me dirigeai vers le porte le regard vide. Il était injuste, dès le jour où je l'avais vu pour le première fois.
Dans le couloir je glissais mon dos sur le mur pour m'effondrer sur le sol.
Allez vous faire foutre...
Je voulais juste revoir M-
- T'es toujours là? dit Hanma sorti du bureau et prenant bien soin de fermer la porte derrière lui.
Il vint se pancher vers moi, l'air serein.
- Tu m'en veux pas, hein?
Je voulais lui foutre mon poing dans la gueule pour ce qu'il m'avait fait. Mes yeux se levèrent jusqu'à lui.
- Va te faire foutre.
À paine avait-je prononcé mes mots que je me fit claquer contre le mur par son pied qui ne cessait d'appuis sur le bas de mon épaule. Il s'écrasait clairement avce essa longue jambe.
- Je t'avais dit de surveiller ton langage.
Alors que j'essayais d'éloigner son gros pied, ses doigts vinrent relaver ma tête par le menton.
- Je veux pas te faire du mal, mais si tu dépasse tes limites, je vais être obligé de te remettre à ta place.
- Si t'avais pas dit j'aurai pu revoir mon frère.
- Pourquoi tu cours autant après lui?