Merde qu'est-ce que je me fait chier là!
J'étais couché sur le ventre en train de relire mes formules de math sur min lit. Mes jemes s'agitaient en l'air chaque fois que je ne comprenais pas quelque chose, ce qui était pratiquement tout les cinq minutes.
- J'EN AI MARRE JE COMPREND RIEN! criai-je en tapant mes pieds sur le matelas du lit.
Je me retournai sur mon dos en levant les mains tenant mon cahier vers le haut.
Et si je vais demander à Naoto? Il pourra m'aider. Je sais où il habite aussi.
Le ciel par la fenêtre était plus au moins dégagé. J'entendais des voitures passer ainsi que des voix qui parlaient fort.
La porte d'entrée s'ouvrit, je le sus par le bruit du poignet.
Il est revenu!
Je déposai tout et pour aller retrouver mon frère revenu de sa baston. Me feuille vola et atterri sur le sol mais je m'en souciais pas tant que cela. Mon frère ouvrait la porte avce un visage loin d'être joyeux, il dégageait des émotions sombres, il était abattu?
- C'était comment? avais-je commencé apre une hésitation. Oh toi aussi t'es là? Ça va, vous avez pas trop de blessures. Votre adversaire était nul?
- Putain tu parles trop. lacha mon frère en détachant le rubans derrière son dos tout en marchant vers le salon.
- Mais- il a quoi?
- Y a eu un mort. m'annonça l'autre en le suivant.
- Je savais pas que les bastons pouvaient arriver aussi loin.
Je passai par la salle de bain pour chercher la trousse de secours puis je revenai jusqu'à eux.
- Montre moi ton visage. avais-je demandé à mon frère.
Il trouna uniquement sa tête vers moi.
- Et c'était qui le mort?
- Un ancien chef d'une division.
- Ducoup il était pas avec vous si il est ancien?
- T'as tout à fait compris.
Je n'avais qu'à essuyer le sang sur son visage, il n'avait que des petits égratignures.
- Voilà, t'as rien de grave sur le visage. En même temps y a pas grand monde qui peut t'atteindre.
- Je suis sensé rire?
- Fait comment tu veux. lançai-je en allant près se Sanzu cette fois.
Il s'écarta légèrement mais je fis semblant de n'avair rien vu et m'approchai encore plus.
J'enlevai le masque coloré en rouge et vu son nez rempli de sang.
- Toi t'as eu un coup sur le visage.
Je l'orientai vers moi parce que décidément il comptait pas le faire de lui-même.
- Pas qu'un coup. Attend deux secondes.
Je reviens avec des glaçons qu j'enroulai dans un tissu pour la lui coller au visage.
- Tien ça. C'est pour que ça gonfle pas.
Il la tint avec sa main droite et garda sa tête orientée vers moi, me facilitant ma tâche.
